Le cas du Cardinal Barbarin
Posté : 31 mars19, 22:15
Ce sujet car je viens d'entendre le pape François s'exprimer sur le sujet, de retour du Maroc, dans l'avion.
Le pape François a refusé la démission du Cardinal Barbarin car puisqu'il y a eu appel du Jugement le pape François dit qu'il faut laisser la justice aller jusqu'au bout car s'il y a appel du Jugement il y a présemption d'innocence et le public, dont lui dit faire partie, ne peut pas condamner quelqu'un en acceptant une démission qui constitue une condamnation de crime alors que l'affaire poursuit son jugement en appel.
Du point de vue laïc le pape a raison et souvent les cas d'appels ont fait surgir l'innocence de personnes qui allaient subir des injustices si elles étaient condamnées à l'emprisonnement voire à la mort pour les états des USA où la peine de mort est permise.
Mais du point de vue Religieux le pape a tort car c'est acquiescer son tacite accord qu'il y a chez le Cardinal Barbarin de l'innocence alors qu'il sait très bien le pape que durant la période où le Cardinal Barbarin avait pour charge le diocèse, le prêtre Prenât a sévi dans le crime, et le sachant puisque le prêtre Prenât a fait l'objet de reproches puis cantonné dans un secteur où il chapote 6 églises, comme une pré retraite, le Cardinal Barbarin qui est celui qui l'a laissé toujours en fonction a rendu la pire offense et c'est contre Dieu.
Donc du point de vue Religieux aussi bien le Cardinal Barbarin que le pape François sont coupables, le premier d'avoir laissé libre un homme de toujours être revêtu d'un habit de prêtre avec les risques que cela entraine à savoir profiter de cet habit pour faire d'autres victimes d'une part, mais aussi d'avoir laissé comme étant revêtu de sainteté, aux yeux de Dieu, un homme qui a tout du démon.
Et le Pape qui est au dessus en hiérarchie en refusant la culpabilité du Cardinal cautionne que le Cardinal ait pu laisser libre le prêtre Prênat à sévir encore et libre de montrer une figure de sainteté en offense à Dieu, ce qui pour un pape n'est pas digne du poste qu'il occupe et qui doit privilégier son rapport à Dieu et non pas aux hommes qui eux s'occupent de la part juridique de l'affaire.
Le pape François a refusé la démission du Cardinal Barbarin car puisqu'il y a eu appel du Jugement le pape François dit qu'il faut laisser la justice aller jusqu'au bout car s'il y a appel du Jugement il y a présemption d'innocence et le public, dont lui dit faire partie, ne peut pas condamner quelqu'un en acceptant une démission qui constitue une condamnation de crime alors que l'affaire poursuit son jugement en appel.
Du point de vue laïc le pape a raison et souvent les cas d'appels ont fait surgir l'innocence de personnes qui allaient subir des injustices si elles étaient condamnées à l'emprisonnement voire à la mort pour les états des USA où la peine de mort est permise.
Mais du point de vue Religieux le pape a tort car c'est acquiescer son tacite accord qu'il y a chez le Cardinal Barbarin de l'innocence alors qu'il sait très bien le pape que durant la période où le Cardinal Barbarin avait pour charge le diocèse, le prêtre Prenât a sévi dans le crime, et le sachant puisque le prêtre Prenât a fait l'objet de reproches puis cantonné dans un secteur où il chapote 6 églises, comme une pré retraite, le Cardinal Barbarin qui est celui qui l'a laissé toujours en fonction a rendu la pire offense et c'est contre Dieu.
Donc du point de vue Religieux aussi bien le Cardinal Barbarin que le pape François sont coupables, le premier d'avoir laissé libre un homme de toujours être revêtu d'un habit de prêtre avec les risques que cela entraine à savoir profiter de cet habit pour faire d'autres victimes d'une part, mais aussi d'avoir laissé comme étant revêtu de sainteté, aux yeux de Dieu, un homme qui a tout du démon.
Et le Pape qui est au dessus en hiérarchie en refusant la culpabilité du Cardinal cautionne que le Cardinal ait pu laisser libre le prêtre Prênat à sévir encore et libre de montrer une figure de sainteté en offense à Dieu, ce qui pour un pape n'est pas digne du poste qu'il occupe et qui doit privilégier son rapport à Dieu et non pas aux hommes qui eux s'occupent de la part juridique de l'affaire.