ESPION SIONISTE à LA MOSQUEE

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Espions sioniste dans la mosquée de la rue jean-pierre timbaud

le professeur Emmanuel Sivan,l’un des plus célèbres orientalistes israeliens,s’est récemment rendu en France pour enquêter sur les réseaux islamistes.
Parlant couramment arabe,il a assisté incognito à la prière du vendredi à la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbeaud.Durant le prêche de l’imam,l’universitaire a été frappé par les réactions d’hostilité manifestées à l’égard des institutions républicaines.

Source :

Actualité juive N°862 du 28/10/04, page 6 ,rubrique : indiscrétions
par Martin perez pseudonyme de clément-weil raynal
journaliste à france3 -chronique judiciaire
ultra sioniste on le voit souvent avec Alexandre del val pseudonyme de Marc danna

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Perquisition chez Steve Rosen

Les policiers du FBI enquetant sur l’affaire d’une éventualle taupe israheilienne au Pentagone ont éffectué une perquisition la semaine derniére dans la bureau de steve Rosen, l’un des responsables juifs les plus influents de l’AIPAC= American Israel Public Affairs, le très puissant LOBBY JUIF de Washington.
A l’issue de cette perquisitioin,les enquetteurs ont emporté le disque dur de l’ordinateur de Steve Rosen ainsi que d’autres documents.

Actualité juive N° 856 du 09/09/04, page 6

par clément weil raynal alias martin perez

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ACTUALITÉ JUIVE -N°881 DU 10/03/05

Sylvia Rafael : mort d’une espionne de légende

PATRIOTISME SANS FAILLE L'agent du Mossad, qui avait défrayé la chronique en 1973, s'est éteint le mois dernier en Afrique du Sud où elle s'était retirée.


un enterrement aussi discret qu'inhabituel qui a eu lieu le mois dernier au kibboutz Ramat-Ha- kovesh, situé non loin de Tel-Aviv. Quelques agents du Mossad, retraités ou encore en service, ont assisté à l'inhumation des cendres de Sylvia Rafael.
Née en 1937 au Cap, en Afrique du Sud, d'un père juif et d'une mère chrétienne, elle avait demandé à être incinérée et à reposer en Israël, dans le kibboutz qui l'avait accueillie lors de son alyah, dans les années soixante. Qui était-elle ? Son nom avait été porté à la connaissance du public lorsqu'elle avait été arrêtée en Norvège en 1973, àl'occasion d'une monumentale bavure des services secrets israéliens du Mossad. Mais on ignore encore jusqu'à aujourd'hui l'essentiel des faits d'armes qui ont, de son vivant, fait d'elle une espionne légendaire. « Un jour, peut-être, lorsqu'il y aura la paix, on pourra écrire un livre sur sa vie. On fera des films, on baptisera des rues à son nom », ont confié lors de ses obsèques des anciens du Mossad. Sylvia Rafael était arrivée en Israël, au Kibboutz Ramat-Hakovesh en 1963, à l'âge de 26 ans où elle fut professeur d'anglais avant de s'établir à Tel-Aviv. À quel moment fut-elle recrutée par les services secrets ? Une chose est sûre, le Mossad sut rapidement détecter chez elle des aptitudes exceptionnelles au métier d'espion. La jeune Sud-Africaine avait ce profil très particulier que l'on recherche dans les milieux du renseignement. Durant sa carrière d'agent secret, elle fut envoyée à plusieurs reprises dans des pays arabes en guerre contre l'Etat hébreu. Ce type d'opérations, extrêmement dangereuses, est réservé aux agents les plus àguerris, à l'élite du renseignement.
Mais c'est à Paris que le Mossad, à l'issue de sa formation, lui assigna sa première mission. Arrivée en 1970 dans la capitale française avec un faux passeport canadien au nom de Patricia Roxburgh, la jeune femme commença par fréquenter les milieux gauchistes et pro-palestiniens en se présentant comme une joumaliste free-lance. Elle multiplia ainsi les contacts grâce auxquels elle effectua plusieurs reportages dans les camps de réfugiés palestiniens de Jordanie et du Liban qui, à l'époque, constituaient autant de bases militaires de l'OLP. Utilisant au mieux sa couverture de journaliste, elle parvint même à réaliser un authentique scoop en interviewant le roi Hussein de Jordanie et en se faisant photographier avec les deux fils du roi sur ses genoux !

«Je n'ai pas besoin de la garantie des rabbins»

En 1972, après le massacre des athlètes israéliens par un commando palestinien lors des Jeux Olympiques de Munich, le Mossad décida d'éliminer systématiquement tous les res- ponsables de l'OLP impliqués dans l'attentat. Pour mener à bien ce plan, il put compter sur l'un de ses agents les mieux infiltrés dans les milieux palestiniens : Sylvia Rafael. Elle participa à de nombreuses opérations clandestines dont la liquidation en avril 1973 de trois collaborateurs de Yasser Arafat, en plein coeur de Beyrouth.
Trois mois plus tard, en juillet 1973, elle fut arrêtée en Norvège, à Lillehammer, avec cinq autres agents du Mossad à la suite d'une tragique bavure. Le commando auquel elle appartenait avait en effet assassiné en pleine rue un serveur marocain, Ahmed Bouchiki, que les Israéliens avaient identifié à tort comme étant Ali Hassan Salameh, un haut responsable de l'OLP. Condamnée à cinq ans de prison par la justice norvégienne, Sylvia Rafael fut libérée après onze mois de détention. Après avoir épousé l'avocat norvégien qui avait assuré sa défense, elle vécut quelque temps en Israël puis en Norvège et s'établit dans les années 80 à Pretoria en Afrique du Sud où elle est morte le mois dernier d'une leucémie. Peu de temps après sa libération et son retour en Israël, le Mossad lui avait proposé de la convertir ha-lachiquement au judaïsme. La jeune femme avait alors décliné l'offre : « Vous rn' avez acceptée comme combattante juive, je n'ai pas besoin de la garantie des rabbins ».
Clément Weill-Raynal alias Martin Perez
jounaliste à France 3 (chronique judiciaire)

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Rabbi Shneour Zalman de Liadi ( 1745 - 1812) qui affiche un soutien inconditionnel au Tsar de Russie, connu aussi sous le nom d' Admour Hazaken, est en effet convaincu que, bien que l'émancipation des Juifs prônée par l' Empereur peut ameliorer le sort de ses frères, un danger bien plus grand les guette si la France l'emporte: celui de l'assimilation. « Si Bonaparte est victorieux, écrit-il à l'un de ses disciples, la richesse juive va augmenter et le prestige des Juifs va s'accroître mais leurs coeurs se désintègreront et ils seront éloignés de leur Père dans le Ciel. Mais, si A (le tsar Alexandre -Ndlr) remporte la victoire, bien que la pauvreté juive augmentera et leur prestige (des Juifs -Ndlr) diminuera, leurs coeurs seront joints, liés et unis avec leur Père dans le Ciel ».
Non content de cette prise de position théorique, l'Admour Hazaken passe
à l'action. Il adresse des lettres aux Juifs de l'Empire russe pour leur enjoindre d'aider le gouvernement par tous les moyens. << Et en ce qui VOUS concerne, conclut-il, n'ayez pas peur. Ne prêtez pas attention aux victoires temporaires de l'ennemi. La victoire finale et complète sera celle du tsar >>.
Par ailleurs, la tradition veut qu'à l'instigation de Rabbi Shneour Zalman, le plus jeune de ses disciples, Rabbi Moshe Meisels de Vilna, qui connaissait le français, s'etait engagé en tant qu'interprète auprès du haut commandement des armées napoléoniennes. Grâce à ce poste, celui qui était en fait un espion tsariste, avait transmis des plans de bataille cruciaux aux gé néraux russes. Il avait en outre prévenu le commandant russe de Vilna que des infiltrés allaient essayer de faire sauter l'arsenal de la ville.

Catherine Garson

ACTUAliTÉ JUIVE N°881 DU 10/03/05 page 37

[Saladin1986]

tu te fais un debat tout seul?

[zered]

rachel ?

[Simplement moi]

Serait-on au "carnaval de Venise" ????