L'évolution, science ou croyance
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 07 janv.20, 07:42L'évolution, science ou croyance
Evolution des espèces : 2 piliers de la théorie s'écroulent
L'embryologie et l'homologie, considérées comme 2 preuves majeures de la théorie de l'évolution, montrent au contraire que l'évolution n'a jamais existé.
Il existe aujourd'hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l'évolution.
Cette vidéo aborde rapidement ce que nous enseigne l'embryologie, étude du développement de l'embryon - et ce que nous apprennent en vérité les organes homologues.
Un petit poisson ancêtre de l'homme
Ils ne savent plus quoi inventer.
Jean Rostand - Biologiste - Contre l'évolution.
.
Evolution des espèces : 2 piliers de la théorie s'écroulent
L'embryologie et l'homologie, considérées comme 2 preuves majeures de la théorie de l'évolution, montrent au contraire que l'évolution n'a jamais existé.
Il existe aujourd'hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l'évolution.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 07 janv.20, 08:15Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 07 janv.20, 16:05Et la théorie de la création d'animaux carnivores par un dieu psychopathe qui aurait inventé la mort, la souffrance et la violence ?
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 07 janv.20, 18:49À l'attention de Benfis
Datation au carbone 14 : La dure vérité
Lorsqu’on entend parler de vestiges, que ce soient des ossements ou artéfacts, on entendu aussi parler, la plupart du temps, des résultats d’une datation au carbone 14 de ces vestiges. Nous avons l’habitude de penser – et les scientifiques perpétuent cette croyance – que la datation au carbone 14 fournit une preuve définitive de l’âge d’un échantillon. La vérité s’est avérée plus complexe, et bien moins définitive.
La datation au carbone 14 repose sur la présence de carbone radioactif, que les organismes absorbent de l’environnement. Le radiocarbone se désintègre à un taux prévisible. Alors ne peut-on pas se reposer sur la datation au carbone 14 ?
Nous avons en premier lieu le problème de la contamination. Le radiocarbone moderne, créé après 1950, trouble les résultats.
C’est pourquoi les dates radiocarbone s’expriment en années “before present” (B.P.) – pour lesquelles “présent” veut dire “avant 1950.” Les scientifiques se sont battus pour développer de nouvelles façons d’éliminer la contamination moderne. Une de ces méthodes, appelée ABOX, a produit des résultats étonnants. Selon ABOX, les tests actuels au radiocarbone produiraient des résultats erronés de plus de 10,000 ans.
Oui, vous avez bien lu. Dix mille ans !
Toutes les formes de datation au carbone 14 demandent un “calibration”- des ajustements qui rendent les résultats conformes à ce qui est attendu. Le type de calibration le plus commun vient des anneaux de croissance des arbres. Les résultats au radiocarbone sont ajustés afin de correspondre aux dates obtenues par l’examen des anneaux. Bien sûr, cette méthode suppose que nous connaissons exactement l’âge des arbres. Pour un arbre vivant, les anneaux peuvent nous le dire. Mais pour des arbres fossilisés ? Ils doivent en déterminer l’âge, car compter les anneaux n’aide pas.
Comment les scientifiques déterminent l’âge ?
En comptant les couches de terre de l’endroit où a été trouvé l’arbre. Comment connaissent-ils l’âge de ces couches de terre ? Par les artéfacts et ossements trouvés à l’intérieur. Comment connaissent-ils l’âge des os ? En comptant les couches de terre ou en utilisant la.
Datation au carbone 14.
Le serpent se mord la queue. Le cercle n’a pas de fin, et pas de commencement définitif non plus.
Référence
Barry, Carolyn. “Rolling Back the Years : Radiocarbon Dating Gets a Remake.” Science News : Dec. 1, 2007 ; p. 344.
Jsf : Ci-dessous, un extrait de La science antique (épreuve de L’histoire secrète du monde disponible ici) par Laura Knight-Jadczyk à propos des problèmes en lien à la datation.
Quelques mots de la datation radiométrique
La méthode la plus répandue pour déterminer l’âge d’un fossile est de le dater par “l’âge connu” de la strate rocheuse dans lequel se trouve. Et la méthode la plus répandue pour déterminer l’âge de la strate rocheuse est de la dater par “l’âge connu” des fossiles qu’elle contient. Dans cette méthode “circulaire” de datation, tous les âges sont basés sur des assertions “uniformitaires” concernant les époques et l’ordre dans lesquels on pense que plantes et animaux ont évolué. La plupart des gens sont surpris qu’il n’existe en fait aucune manière directe de déterminer l’âge de n’importe quel fossile ou roche. Les méthodes prétendument “absolues” de datation (méthodes radiométriques) ne mesurent en fait que les taux présents d’isotopes radioactifs et de désintégration spontanée dans des échantillons appropriés, mais elles ne mesurent pas leur âge. Ces mesures de taux sont ensuite extrapolées en détermination “d’âges”.
Le problème de toutes les “horloges” radiométriques est que leur précision dépend étroitement de plusieurs hypothèses de départ, en grande partie basées sur de l’inconnaissable. Pour dater un échantillon par radiométrie il faut d’abord connaître la quantité de départ d’isotope père au début de l’existence de l’échantillon. En deuxième lieu, il faut être certain qu’il n’existait aucun isotope engendré au début. En troisième lieu, il faut être certain qu’aucun isotope père ou engendré n’a jamais été ajouté ou ôté de l’échantillon. Et quatrièmement, il faut être certain que le rapport isotopique de décomposition spontanée de l’isotope père en isotope engendré n’a jamais varié. Il est manifeste, d’après les “dates” radiométriques trouvées dans la littérature (pour ne rien dire des dates “rejetées”) que souvent, une ou plusieurs de ces prémisses sont erronées.
L’un des problèmes les plus évidents est que plusieurs échantillons provenant d’un même endroit donnent souvent des âges très différents. Par exemple, les échantillons lunaires ramenés par Apollo ont été datés par deux méthodes : la méthode à l’uranium thorium-plomb et la méthode au potassium-argon ; et les résultats obtenus varient de 2 millions à 28 milliards d’années. Les coulées de lave en provenance du volcan du bord septentrional du Grand Canyon (qui est entré en éruption après la formation de celui-ci) donne des datations au potassium-argon plus anciennes de 2 milliards d’années que les plus anciennes roches du fond du canyon. Des échantillons de lave en provenance de volcans sous-marins des environs d’Hawaii (et que l’on sait être entrés en éruption au XIXe siècle : en 1801) ont été datés par le potassium-argon, méthode qui a donné des dates variant entre 160 millions et 3 milliards d’années. Il n’est dès lors pas étonnant que tous les laboratoires qui pratiquent la datation de roches exigent de connaître à l’avance l’âge “évolutionnaire” (par rapport à l’évolution) de la strate dont les échantillons ont été extraits. Ainsi, ils savent quelles dates ils peuvent accepter comme “raisonnables” et quelles dates ils peuvent écarter d’office.
Plus précisément, cette datation est basée sur la prémisse que rien de “vraiment exceptionnel” ne s’est passé dans cet intervalle de temps. Ce que j’entends par “vraiment exceptionnel” est ceci : un événement théoriquement possible, mais dont le mécanisme n’est pas encore compris en termes de paradigmes établis. Par exemple : deux univers différents qui se seraient croisés. Ceci est théoriquement possible, selon les théories physiques modernes, mais est trop spéculatif pour qu’on puisse discuter de cette probabilité et des conséquences éventuelles.
Est-ce qu’un tel événement pourrait changer les données de la désintégration spontanée radioactive ? Est-ce qu’il pourrait changer les valeurs de certaines constantes physiques fondamentales ? La réponse est “oui”.
Est-il possible que des événements de ce genre se soient produits dans le passé ? La réponse est “oui”. Combien possible ? Nous ne le savons pas. Nous ne savons pas, en fait, ce que veut dire exactement “deux univers qui se croisent”.
En plus de l’idée de cataclysmes qui pourraient avoir détruit à plusieurs reprises des civilisations anciennes, il y a encore autre chose à prendre en considération, qui a un rapport particulier avec la décomposition spontanée radioactive : que d’anciennes civilisations pourraient avoir été détruites par des guerres nucléaires.
Selon les scientifiques Richard Firestone du Lawrence Berkeley Laboratory et William Topping, la datation au Radiocarbone montre que des restes du Pléistocène en provenance du nord-est de l’Amérique, seraient de plus de 10.000 ans plus jeunes que ceux en provenance de l’ouest de l’Amérique. La datation par d’autres méthodes, comme par exemple la thermoluminescence (TL), la géo-archéologie, ou la sédimentation suggère que de nombreuses dates obtenues par le radiocarbone sont grossièrement erronées. Par exemple, pour des matériaux provenant du site paléo-indien de Gainey Paleoindian dans le Michigan, le radiocarbone donne une date de 2.880 avant J.C., et la TL donne une date de 12.400 avant J.C. Il semble que de telles anomalies soient nombreuses vers le nord des Etats-Unis et au Canada, et elles ne peuvent être expliquées par d’anciennes aberrations dans l’atmosphère, d’autres réceptacles de radiocarbone, ni par une contamination des échantillons (source habituelle d’erreur dans la datation au radiocarbone). En supposant l’utilisation de méthodes correctes de datation au radiocarbone, des restes organiques associés avec un produit manufacturé ne donneront un âge radiocarbonique plus jeune que ces restes ne le sont en réalité que s’contiennent une base de radiocarbone ils élevée artificiellement.
Nos recherches indiquent que toute la région des Grands Lacs (et au-delà) a subi des bombardements par des particules et une irradiation nucléaire catastrophique qui a produit des neutrons thermiques secondaires en provenance d’interactions de rayons cosmiques. Les neutrons ont produit des quantités anormalement élevées de Pu239 et ont ainsi substantiellement altéré les quantités d’uranium naturel dans les produits manufacturés et dans d’autres matériaux exposés, y compris les chailles [des morceaux de verre composés de silice presque pure chauffée jusqu’à former de petits éclats de verre], les sédiments, et le paysage tout entier. Ces neutrons ont nécessairement transmué en radiocarbone l’azote résiduel se trouvant dans les charbons datés, ce qui explique les anomalies de dates. [. ]
Le niveau de C14 dans le fossile étudié se serait alors élevé. L’excès global de radiocarbone se serait ensuite décomposé, avec une demi-vie de 5.730 ans, ce que l’on devrait pouvoir observer dans l’analyse du radiocarbone de divers systèmes.[. ]
De brusques augmentations de C14 sont observées dans des éléments marins en 4.000, 32.000-34.000, et 12.500 ans avant J.C. Ces augmentations coïncident avec des excursions géomagnétiques. [. ]
L’énorme énergie dégagée par la catastrophe de 12.500 avant J.C. pourrait avoir chauffé l’atmosphère jusqu’à plus de 1.000° C dan la région du Michigan, et le flux de neutrons dans des endroits situés plus au nord aurait pu faire fondre une quantité considérable de glace. Les effets des radiations sur les plantes et les animaux exposés aux rayons cosmiques auraient été mortels, comparables à une irradiation dans un réacteur de 5 méga Watts pendant plus de 100 secondes.
Le schéma général de la catastrophe suit celui des extinctions en masse d’avant les temps de l’Holocène. L’hémisphère occidental doit avoir été plus affecté que l’hémisphère oriental, l’ Amérique du Nord doit avoir été plus affectée que l’Amérique du Sud, et le nord-est de l’ Amérique doit avoir été plus affecté que le nord-ouest. L’extinction dans la région des Grands Lacs a été plus rapide et radicale que partout ailleurs. Les grands animaux ont été plus atteints que les plus petits, un schéma qui est conforme au fait que l’ exposition aux radiations affecte davantage les grands corps que les petits.
Les preuves découvertes par Firestone et Topping sont surprenantes à plus d’un égard. Mais le fait est que l’on a trouvé ce qui semble être des preuves de cela dans des régions aussi distantes les unes des autres que l’Inde, l’Irlande, l’Ecosse, la France, et la Turquie : d’anciennes cités dont la brique et les murs de pierre ont littéralement été vitrifiés, c’est-à-dire fondus comme du verre. Il y a également des éléments de preuve qu’il y a eu vitrification dans des forteresses et des cités bâties en pierre. Il semble que les seules explications à de telles anomalies soient ou bien une explosion atomique ou bien quelque chose qui a pu produire des effets similaires, et sur lequel nous reviendrons bientôt.
Notes – Firestone, Richard B., Topping, William, Terrestrial Evidence of a Nuclear Catastrophe in Paleoindian Times, dissertation research, 1990 – 2001.
Datation au carbone 14 : La dure vérité
Lorsqu’on entend parler de vestiges, que ce soient des ossements ou artéfacts, on entendu aussi parler, la plupart du temps, des résultats d’une datation au carbone 14 de ces vestiges. Nous avons l’habitude de penser – et les scientifiques perpétuent cette croyance – que la datation au carbone 14 fournit une preuve définitive de l’âge d’un échantillon. La vérité s’est avérée plus complexe, et bien moins définitive.
La datation au carbone 14 repose sur la présence de carbone radioactif, que les organismes absorbent de l’environnement. Le radiocarbone se désintègre à un taux prévisible. Alors ne peut-on pas se reposer sur la datation au carbone 14 ?
Nous avons en premier lieu le problème de la contamination. Le radiocarbone moderne, créé après 1950, trouble les résultats.
C’est pourquoi les dates radiocarbone s’expriment en années “before present” (B.P.) – pour lesquelles “présent” veut dire “avant 1950.” Les scientifiques se sont battus pour développer de nouvelles façons d’éliminer la contamination moderne. Une de ces méthodes, appelée ABOX, a produit des résultats étonnants. Selon ABOX, les tests actuels au radiocarbone produiraient des résultats erronés de plus de 10,000 ans.
Oui, vous avez bien lu. Dix mille ans !
Toutes les formes de datation au carbone 14 demandent un “calibration”- des ajustements qui rendent les résultats conformes à ce qui est attendu. Le type de calibration le plus commun vient des anneaux de croissance des arbres. Les résultats au radiocarbone sont ajustés afin de correspondre aux dates obtenues par l’examen des anneaux. Bien sûr, cette méthode suppose que nous connaissons exactement l’âge des arbres. Pour un arbre vivant, les anneaux peuvent nous le dire. Mais pour des arbres fossilisés ? Ils doivent en déterminer l’âge, car compter les anneaux n’aide pas.
Comment les scientifiques déterminent l’âge ?
En comptant les couches de terre de l’endroit où a été trouvé l’arbre. Comment connaissent-ils l’âge de ces couches de terre ? Par les artéfacts et ossements trouvés à l’intérieur. Comment connaissent-ils l’âge des os ? En comptant les couches de terre ou en utilisant la.
Datation au carbone 14.
Le serpent se mord la queue. Le cercle n’a pas de fin, et pas de commencement définitif non plus.
Référence
Barry, Carolyn. “Rolling Back the Years : Radiocarbon Dating Gets a Remake.” Science News : Dec. 1, 2007 ; p. 344.
Jsf : Ci-dessous, un extrait de La science antique (épreuve de L’histoire secrète du monde disponible ici) par Laura Knight-Jadczyk à propos des problèmes en lien à la datation.
Quelques mots de la datation radiométrique
La méthode la plus répandue pour déterminer l’âge d’un fossile est de le dater par “l’âge connu” de la strate rocheuse dans lequel se trouve. Et la méthode la plus répandue pour déterminer l’âge de la strate rocheuse est de la dater par “l’âge connu” des fossiles qu’elle contient. Dans cette méthode “circulaire” de datation, tous les âges sont basés sur des assertions “uniformitaires” concernant les époques et l’ordre dans lesquels on pense que plantes et animaux ont évolué. La plupart des gens sont surpris qu’il n’existe en fait aucune manière directe de déterminer l’âge de n’importe quel fossile ou roche. Les méthodes prétendument “absolues” de datation (méthodes radiométriques) ne mesurent en fait que les taux présents d’isotopes radioactifs et de désintégration spontanée dans des échantillons appropriés, mais elles ne mesurent pas leur âge. Ces mesures de taux sont ensuite extrapolées en détermination “d’âges”.
Le problème de toutes les “horloges” radiométriques est que leur précision dépend étroitement de plusieurs hypothèses de départ, en grande partie basées sur de l’inconnaissable. Pour dater un échantillon par radiométrie il faut d’abord connaître la quantité de départ d’isotope père au début de l’existence de l’échantillon. En deuxième lieu, il faut être certain qu’il n’existait aucun isotope engendré au début. En troisième lieu, il faut être certain qu’aucun isotope père ou engendré n’a jamais été ajouté ou ôté de l’échantillon. Et quatrièmement, il faut être certain que le rapport isotopique de décomposition spontanée de l’isotope père en isotope engendré n’a jamais varié. Il est manifeste, d’après les “dates” radiométriques trouvées dans la littérature (pour ne rien dire des dates “rejetées”) que souvent, une ou plusieurs de ces prémisses sont erronées.
L’un des problèmes les plus évidents est que plusieurs échantillons provenant d’un même endroit donnent souvent des âges très différents. Par exemple, les échantillons lunaires ramenés par Apollo ont été datés par deux méthodes : la méthode à l’uranium thorium-plomb et la méthode au potassium-argon ; et les résultats obtenus varient de 2 millions à 28 milliards d’années. Les coulées de lave en provenance du volcan du bord septentrional du Grand Canyon (qui est entré en éruption après la formation de celui-ci) donne des datations au potassium-argon plus anciennes de 2 milliards d’années que les plus anciennes roches du fond du canyon. Des échantillons de lave en provenance de volcans sous-marins des environs d’Hawaii (et que l’on sait être entrés en éruption au XIXe siècle : en 1801) ont été datés par le potassium-argon, méthode qui a donné des dates variant entre 160 millions et 3 milliards d’années. Il n’est dès lors pas étonnant que tous les laboratoires qui pratiquent la datation de roches exigent de connaître à l’avance l’âge “évolutionnaire” (par rapport à l’évolution) de la strate dont les échantillons ont été extraits. Ainsi, ils savent quelles dates ils peuvent accepter comme “raisonnables” et quelles dates ils peuvent écarter d’office.
Plus précisément, cette datation est basée sur la prémisse que rien de “vraiment exceptionnel” ne s’est passé dans cet intervalle de temps. Ce que j’entends par “vraiment exceptionnel” est ceci : un événement théoriquement possible, mais dont le mécanisme n’est pas encore compris en termes de paradigmes établis. Par exemple : deux univers différents qui se seraient croisés. Ceci est théoriquement possible, selon les théories physiques modernes, mais est trop spéculatif pour qu’on puisse discuter de cette probabilité et des conséquences éventuelles.
Est-ce qu’un tel événement pourrait changer les données de la désintégration spontanée radioactive ? Est-ce qu’il pourrait changer les valeurs de certaines constantes physiques fondamentales ? La réponse est “oui”.
Est-il possible que des événements de ce genre se soient produits dans le passé ? La réponse est “oui”. Combien possible ? Nous ne le savons pas. Nous ne savons pas, en fait, ce que veut dire exactement “deux univers qui se croisent”.
En plus de l’idée de cataclysmes qui pourraient avoir détruit à plusieurs reprises des civilisations anciennes, il y a encore autre chose à prendre en considération, qui a un rapport particulier avec la décomposition spontanée radioactive : que d’anciennes civilisations pourraient avoir été détruites par des guerres nucléaires.
Selon les scientifiques Richard Firestone du Lawrence Berkeley Laboratory et William Topping, la datation au Radiocarbone montre que des restes du Pléistocène en provenance du nord-est de l’Amérique, seraient de plus de 10.000 ans plus jeunes que ceux en provenance de l’ouest de l’Amérique. La datation par d’autres méthodes, comme par exemple la thermoluminescence (TL), la géo-archéologie, ou la sédimentation suggère que de nombreuses dates obtenues par le radiocarbone sont grossièrement erronées. Par exemple, pour des matériaux provenant du site paléo-indien de Gainey Paleoindian dans le Michigan, le radiocarbone donne une date de 2.880 avant J.C., et la TL donne une date de 12.400 avant J.C. Il semble que de telles anomalies soient nombreuses vers le nord des Etats-Unis et au Canada, et elles ne peuvent être expliquées par d’anciennes aberrations dans l’atmosphère, d’autres réceptacles de radiocarbone, ni par une contamination des échantillons (source habituelle d’erreur dans la datation au radiocarbone). En supposant l’utilisation de méthodes correctes de datation au radiocarbone, des restes organiques associés avec un produit manufacturé ne donneront un âge radiocarbonique plus jeune que ces restes ne le sont en réalité que s’contiennent une base de radiocarbone ils élevée artificiellement.
Nos recherches indiquent que toute la région des Grands Lacs (et au-delà) a subi des bombardements par des particules et une irradiation nucléaire catastrophique qui a produit des neutrons thermiques secondaires en provenance d’interactions de rayons cosmiques. Les neutrons ont produit des quantités anormalement élevées de Pu239 et ont ainsi substantiellement altéré les quantités d’uranium naturel dans les produits manufacturés et dans d’autres matériaux exposés, y compris les chailles [des morceaux de verre composés de silice presque pure chauffée jusqu’à former de petits éclats de verre], les sédiments, et le paysage tout entier. Ces neutrons ont nécessairement transmué en radiocarbone l’azote résiduel se trouvant dans les charbons datés, ce qui explique les anomalies de dates. [. ]
Le niveau de C14 dans le fossile étudié se serait alors élevé. L’excès global de radiocarbone se serait ensuite décomposé, avec une demi-vie de 5.730 ans, ce que l’on devrait pouvoir observer dans l’analyse du radiocarbone de divers systèmes.[. ]
De brusques augmentations de C14 sont observées dans des éléments marins en 4.000, 32.000-34.000, et 12.500 ans avant J.C. Ces augmentations coïncident avec des excursions géomagnétiques. [. ]
L’énorme énergie dégagée par la catastrophe de 12.500 avant J.C. pourrait avoir chauffé l’atmosphère jusqu’à plus de 1.000° C dan la région du Michigan, et le flux de neutrons dans des endroits situés plus au nord aurait pu faire fondre une quantité considérable de glace. Les effets des radiations sur les plantes et les animaux exposés aux rayons cosmiques auraient été mortels, comparables à une irradiation dans un réacteur de 5 méga Watts pendant plus de 100 secondes.
Le schéma général de la catastrophe suit celui des extinctions en masse d’avant les temps de l’Holocène. L’hémisphère occidental doit avoir été plus affecté que l’hémisphère oriental, l’ Amérique du Nord doit avoir été plus affectée que l’Amérique du Sud, et le nord-est de l’ Amérique doit avoir été plus affecté que le nord-ouest. L’extinction dans la région des Grands Lacs a été plus rapide et radicale que partout ailleurs. Les grands animaux ont été plus atteints que les plus petits, un schéma qui est conforme au fait que l’ exposition aux radiations affecte davantage les grands corps que les petits.
Les preuves découvertes par Firestone et Topping sont surprenantes à plus d’un égard. Mais le fait est que l’on a trouvé ce qui semble être des preuves de cela dans des régions aussi distantes les unes des autres que l’Inde, l’Irlande, l’Ecosse, la France, et la Turquie : d’anciennes cités dont la brique et les murs de pierre ont littéralement été vitrifiés, c’est-à-dire fondus comme du verre. Il y a également des éléments de preuve qu’il y a eu vitrification dans des forteresses et des cités bâties en pierre. Il semble que les seules explications à de telles anomalies soient ou bien une explosion atomique ou bien quelque chose qui a pu produire des effets similaires, et sur lequel nous reviendrons bientôt.
Notes – Firestone, Richard B., Topping, William, Terrestrial Evidence of a Nuclear Catastrophe in Paleoindian Times, dissertation research, 1990 – 2001.
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2) http://arlad.forumactif.org/
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 01:08Arlitto utilise une bonne vieille technique qui consiste à discréditer toutes les méthodes de datation du vivant. On croirait lire les propos des créationnistes américains. Souvent les mêmes qui nous explique que la terre est plate parce que selon la Bible, elle repose sur des piliers.
Gageons que compte tenu du crédit qu'Arlitto accorde à la Bible, il est aussi platiste, et croit fermement que la terre repose sur des piliers.
Quel crédit peut-on apporter à ce genre de fanatique religieux ?
Gageons que compte tenu du crédit qu'Arlitto accorde à la Bible, il est aussi platiste, et croit fermement que la terre repose sur des piliers.
Quel crédit peut-on apporter à ce genre de fanatique religieux ?
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 01:21.
La première étape insurmontable: l'origine de la vie
La théorie de l'évolution prétend que toutes les espèces vivantes proviennent d'une seule cellule vivante qui apparut sur terre il y a de cela 3.8 milliards d'années. Comment une seule cellule aurait-elle pu produire des millions d'espèces aussi diverses et complexes?
Si une telle évolution a vraiment eu lieu, pourquoi ses traces ne sont-elles pas observées dans les fossiles répertoriés?
Ces questions font certainement parties de celles auxquelles la théorie ne peut pas répondre.
Avant tout, il nous faut attirer l'attention sur cette prétendue première étape du processus évolutionniste et se demander comment cette "première cellule" a bien pu se produire.
Puisque la théorie de l'évolution nie la création et rejette toute sorte d'intervention surnaturelle, elle se doit de maintenir que "la première cellule" est le produit du hasard, soit qu'elle n'est rien d'autre que le résultat des lois naturelles, sans conception, plan ni arrangement préalable.
Selon la théorie, la matière morte aurait donc par hasard produit une cellule vivante. Cela n'est pourtant qu'une prétention incompatible avec les règles de base de la biologie.
La vie provient de la vie
Dans son livre, Darwin n'a jamais fait référence au concept de l'origine de la vie. Dû au niveau primitif de connaissance scientifique de son temps, Darwin se devait de partir du principe que les êtres vivants étaient composés d'une structure très simple.
Depuis le Moyen Age prévalait une théorie se nommant "génération spontanée", qui soutenait que des matières inorganiques pouvaient former des organismes vivants après avoir été réunies par hasard.
On croyait communément que les insectes se formaient à partir de restes d'aliments et les souris à partir de blé. Des expériences intéressantes ont été réalisées pour confirmer cette théorie, comme le fait de placer du blé dans un chiffon sale et d'attendre à ce qu'une souris en sorte après qu'un certain laps de temps s'est écoulé.
Parallèlement, on était persuadé que les petits vers provenant d'une viande avariée était la preuve irréfutable de la théorie de la "génération spontanée". Cependant, peu de temps après, il s'avéra que ces vers n'apparaissaient pas de façon spontanée mais qu'ils y étaient amenés par des mouches sous forme de larves invisibles à l'œil nu.
Même à l'époque où Darwin écrivit The Origin of Species, la croyance que les bactéries pouvaient être produites à partir de matière inorganique était largement répandue dans le monde scientifique.
Et pourtant il ne fallut que 5 ans après la publication du livre de Darwin à Louis Pasteur pour réfuter cette croyance, qui n'était rien d'autre que la base de la théorie de l'évolution.
Pasteur a réitéré sa conclusion après des recherches et des expériences sur une plus longue durée: "La prétention que la matière inorganique puisse produire la vie est enterrée dans l'histoire pour toujours."
Les avocats de la théorie de l'évolution se sont longtemps opposés aux découvertes de Pasteur. Cependant, le développement de la science a révélé à quel point la structure d'une cellule d'un être vivant était complexe, reléguant aux oubliettes l'idée que la vie pouvait être le résultat du hasard.
Théorie de l'Evolution science ou une croyance documentaire
.
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La première étape insurmontable: l'origine de la vie
La théorie de l'évolution prétend que toutes les espèces vivantes proviennent d'une seule cellule vivante qui apparut sur terre il y a de cela 3.8 milliards d'années. Comment une seule cellule aurait-elle pu produire des millions d'espèces aussi diverses et complexes?
Si une telle évolution a vraiment eu lieu, pourquoi ses traces ne sont-elles pas observées dans les fossiles répertoriés?
Ces questions font certainement parties de celles auxquelles la théorie ne peut pas répondre.
Avant tout, il nous faut attirer l'attention sur cette prétendue première étape du processus évolutionniste et se demander comment cette "première cellule" a bien pu se produire.
Puisque la théorie de l'évolution nie la création et rejette toute sorte d'intervention surnaturelle, elle se doit de maintenir que "la première cellule" est le produit du hasard, soit qu'elle n'est rien d'autre que le résultat des lois naturelles, sans conception, plan ni arrangement préalable.
Selon la théorie, la matière morte aurait donc par hasard produit une cellule vivante. Cela n'est pourtant qu'une prétention incompatible avec les règles de base de la biologie.
La vie provient de la vie
Dans son livre, Darwin n'a jamais fait référence au concept de l'origine de la vie. Dû au niveau primitif de connaissance scientifique de son temps, Darwin se devait de partir du principe que les êtres vivants étaient composés d'une structure très simple.
Depuis le Moyen Age prévalait une théorie se nommant "génération spontanée", qui soutenait que des matières inorganiques pouvaient former des organismes vivants après avoir été réunies par hasard.
On croyait communément que les insectes se formaient à partir de restes d'aliments et les souris à partir de blé. Des expériences intéressantes ont été réalisées pour confirmer cette théorie, comme le fait de placer du blé dans un chiffon sale et d'attendre à ce qu'une souris en sorte après qu'un certain laps de temps s'est écoulé.
Parallèlement, on était persuadé que les petits vers provenant d'une viande avariée était la preuve irréfutable de la théorie de la "génération spontanée". Cependant, peu de temps après, il s'avéra que ces vers n'apparaissaient pas de façon spontanée mais qu'ils y étaient amenés par des mouches sous forme de larves invisibles à l'œil nu.
Même à l'époque où Darwin écrivit The Origin of Species, la croyance que les bactéries pouvaient être produites à partir de matière inorganique était largement répandue dans le monde scientifique.
Et pourtant il ne fallut que 5 ans après la publication du livre de Darwin à Louis Pasteur pour réfuter cette croyance, qui n'était rien d'autre que la base de la théorie de l'évolution.
Pasteur a réitéré sa conclusion après des recherches et des expériences sur une plus longue durée: "La prétention que la matière inorganique puisse produire la vie est enterrée dans l'histoire pour toujours."
Les avocats de la théorie de l'évolution se sont longtemps opposés aux découvertes de Pasteur. Cependant, le développement de la science a révélé à quel point la structure d'une cellule d'un être vivant était complexe, reléguant aux oubliettes l'idée que la vie pouvait être le résultat du hasard.
Théorie de l'Evolution science ou une croyance documentaire
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 02:41Et pourtant le passage de l'atomique à l'anatomique est assez constatable dans le domaine de l'histoire naturelle des êtres et des choses. La matière inorganique et organique sont venues avant l'esprit capable de s'interroger sur la nature et origines de cette matérialisation et matérialité ambiante. Preuve que la matière porte possiblement "l'esprit de connaissance".
Physique et psychisme. Dans la nature y a de la matière, force nucléaire et de la force électromagnétique. On peut facilement penser qu'une recombinaison du rapport masse physique et électromagnétisme participe à l'élaboration et compositions d'éléments chimiques qui innervent la matière et débouchent sur une perception sensorielle de plus en plus complexe , de la matière inanimée à la matière animée.
Tant que tu sépareras les " origines de la matière et esprit" en deux réalités distinctes et opposées tu ne feras que reprendre le préjugé spiritualiste ou créationniste défavorable à la matière et nature par pur conditionnement culturel et il te sera difficile d'admettre que le passage de l'inanimé à l'animé est inhérent au mouvement de la matière et matière en mouvement et que l'inanimé n'est en fait qu'une fausse représentation de la réalité universelle. L'inorganique est probablement tout aussi animé et orienté que l'animé un peu comme la frontière qui sépare " le virus" du vivant comme catégorie biologique. Évidemment même un dessin animé sera toujours plus captivant qu'une plante verte dans le coin d'une pièce.
Tu penses en créationniste et non pas en évolutionniste. Pourtant la pensée naturelle t'est venue avant ta pensée surnaturelle.
Physique et psychisme. Dans la nature y a de la matière, force nucléaire et de la force électromagnétique. On peut facilement penser qu'une recombinaison du rapport masse physique et électromagnétisme participe à l'élaboration et compositions d'éléments chimiques qui innervent la matière et débouchent sur une perception sensorielle de plus en plus complexe , de la matière inanimée à la matière animée.
Tant que tu sépareras les " origines de la matière et esprit" en deux réalités distinctes et opposées tu ne feras que reprendre le préjugé spiritualiste ou créationniste défavorable à la matière et nature par pur conditionnement culturel et il te sera difficile d'admettre que le passage de l'inanimé à l'animé est inhérent au mouvement de la matière et matière en mouvement et que l'inanimé n'est en fait qu'une fausse représentation de la réalité universelle. L'inorganique est probablement tout aussi animé et orienté que l'animé un peu comme la frontière qui sépare " le virus" du vivant comme catégorie biologique. Évidemment même un dessin animé sera toujours plus captivant qu'une plante verte dans le coin d'une pièce.
Tu penses en créationniste et non pas en évolutionniste. Pourtant la pensée naturelle t'est venue avant ta pensée surnaturelle.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 03:15a écrit :de la matière inanimée à la matière animée.
Si tu crois avoir trouvé, contrairement aux scientifiques du monde entier, l'origine de la vie, le passage de l'inerte au vivant, je suis tout ouïe
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 05:24Bien commence par relire mon poste et t'attarder à mon angle et lunette d'approche sur la dialectique entre la force physique ( nucléaire) et l'électromagnétisme qui caractérise les forces identifiées au sein de la matérialisation et matérialité comme fondement. Peux tu nier la présence d'une force électromagnétique dans la dynamique anatomique? Que mesure un électrocardiogramme ou électroencephalogramme? C'est quoi un système nerveux sinon un électro encéphale qui plonge ses racines au cœur du somatique? Pourquoi cherches tu les origines de la structure, organisation et orientation des développements physiques en dehors de la matière et nature elle même?a écrit :Si tu crois avoir trouvé, contrairement aux scientifiques du monde entier, l'origine de la vie, le passage de l'inerte au vivant, je suis tout ouïe
Tu vois bien que ton regard et observations sont décousus en ce qui a trait à l'atomique et anatomique, entre l'inanimé et animé. Je t'ai dit que tout est mouvement. Ce qui peut paraître inanimé est probablement fortement animé de l'intérieur au niveau microscopique voire quantique. Tu vois toujours selon le prisme et dualisme physique ( atomique) et métaphysique ( anatomique). Pourquoi le vivant serait il supérieur comme manifestation à " l'inanimé" ou " inorganique" qui est le support et fondement de l'organique? Pourquoi l'étincelle de l'organique serait elle exogène et d'origine surnaturelle par rapport à la matière, inorganique et inanimé?
La science dit que la physique quantique, physique fondamentale, est le support de la dite physique classique, niveau où se situe le monde animé, organique, anatomique. La science et la physique quantique plus particulièrement auraient plutôt tendance à valider l'idée que l'animé suit l'inanimé (accumulation et innovation)et invalider l'idée d'un processus extérieur et supérieur dissocié de la Physique avec un grand P pour expliquer l'avènement du vivant.
Ce que je te suggère n'est pas l'explication exhaustive du passage de l'inanimé à l'animé ( mieux comprendre pour moins croire) mais une autre logique de réflexion et observation que la logique privilégiant une dichotomie absolue et irréfutable entre matière ( atomique) et monde du vivant ( biologie) ... entre physique ( matière, nature) et métaphysique ( monde du vivant, spirituel).
Ton esprit a été " surnaturalisé". C'est souvent ce qui oppose " créationnisme et évolutionnisme". Comme je le disais Spinoza a bien essayé de " renaturaliser" l'esprit humain et divin. Ce fût mi figues mi raisins.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 07:54 J'espère que tu as conscience que les trois quarts des intervenants ne vont rien comprendre à ce que tu as écrit, ni même où tu veux en venir
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Les mécanismes imaginaires de l'évolution
Le deuxième point important qui remet en cause la théorie de Darwin est qu'il s'est avéré que les deux concepts avancés comme "des mécanismes de l'évolution" n'avaient en fait aucun pouvoir d'évoluer.
Darwin a basé toute sa théorie de l'évolution sur le mécanisme de "la sélection naturelle". L'importance qu'il a placée sur ce mécanisme est mise en évidence par le nom de son livre: The Origin of Species, By Means Of Natural Selection (De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle)…
La sélection naturelle soutient que seuls les êtres vivants les plus forts et les mieux adaptés aux conditions naturelles de leur environnement survivront dans leur lutte pour la vie.
Prenons l'exemple d'un troupeau de cerfs menacé d'être attaqué par des animaux plus sauvages et voraces. Selon la théorie, seuls survivront ceux qui pourront courir assez vite pour échapper à leurs prédateurs. Finalement, le troupeau de cerfs ne sera constitué que des individus les plus rapides et les plus forts. Cependant, et incontestablement, ce mécanisme n'entraînera aucune évolution chez le cerf et encore moins sa transformation en une autre espèce vivante, par exemple, en cheval.
Ainsi, le mécanisme de la sélection naturelle n'a aucun pouvoir évolutif. Darwin était du reste très conscient de ce fait et a dû finalement l'affirmer dans son livre The Origin of Species:
La sélection naturelle ne peut rien faire tant que des variations favorables n'ont pas la chance d'avoir lieu.
Le mensonge de l'évolution humaine
Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l'évolution est celui de l'origine de l'homme. La prétention darwiniste soutient que les hommes modernes d'aujourd'hui proviennent de quelques créatures ressemblant aux singes.
Durant le processus évolutionniste avancé, et qui est supposé avoir commencé il y a 4 à 5 millions d'années, ils prétendent que "des formes transitionnelles" entre l'homme moderne et ses ancêtres ont existé. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" de base sont listées:
1. l'Australopithèque
2. l'Homo habilis
3. l'Homo erectus
4. l'Homo sapiens
Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres de l'homme, ceux encore identiques aux singes, "Australopithèque", ce qui signifie "singe sud-africain".
Ces créatures ne sont en réalité qu'une ancienne espèce de singe qui s'est depuis éteinte. Les recherches étendues faites sur divers spécimens d'Australopithèques par deux anatomistes anglais et américain célèbres, Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont démontré que ceux-ci appartenaient à une espèce de singe ordinaire qui s'est éteinte et qu'ils n'avaient par ailleurs aucune ressemblance avec les hommes.
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine par le terme "homo", qui signifie "homme". Selon l'affirmation évolutionniste, les êtres vivants appartenant aux catégories de l'Homo sont plus développés que ceux de l'Australopithèque.
Les évolutionnistes conçoivent un schéma évolutif imaginaire en classifiant les différents fossiles de ces créatures dans un ordre particulier. Cette classification est imaginaire car aucune relation évolutionniste n'a jamais été démontrée entre ces différentes classes. Ernst Mayr, l'un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution au 20ème siècle, admit ce fait en disant que "la chaîne remontant à l'Homo sapiens est en réalité perdue".
En schématisant la chaîne de lien de la façon suivante: "Australopithèque > Homo habilis > Homo erectus > Homo sapiens" les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de la suivante. Pourtant, les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis et l'Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde et ceci au même moment.
De plus, un certain segment des humains classifiés dans la catégorie "Homo erectus" aurait vécu jusqu'aux temps les plus modernes. Quant à l'homme de Neandertal, classé parmi la catégorie "Homo sapiens", ainsi que l'Homo sapiens sapiens (l'homme moderne), ils auraient tous deux coexisté dans la même région.
Cette situation infirme donc la prétention qu'ils seraient ancêtres les uns des autres. Stéphane Jay Gould, un paléontologue de l'Université d'Harvard, explique l'impasse dans laquelle s'est trouvée la théorie de l'évolution bien qu'il soit lui-même un évolutionniste:
Qu'est-il donc arrivé à notre échelle si trois lignées d'hominiens se retrouvent coexistants (l'A. africanus, le robuste Australopithèque et l'Homo habilis) et qu'aucun ne provient clairement d'un autre? De plus, aucune de ces trois n'a démontré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre.
En bref, le scénario de l'évolution humaine, qu'on cherche à soutenir à l'aide de divers dessins de créatures imaginaires "mi-singe, mi-homme", tous paraissant dans les médias et dans les livres scolaires, n'est donc rien d'autre qu'un mensonge sans fondement scientifique animé d'une forte propagande.
Lord Solly Zuckerman, l'un des scientifiques les plus célèbres et respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout particulièrement étudié pendant 15 ans des fossiles d'Australopithèques. Il a finalement conclu, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste, qu'il n'existe en fait aucun arbre généalogique constitué de ramifications reliant directement des créatures similaires aux singes aux hommes.
Zuckerman a également établi un nouveau "spectre de la science" qui est très intéressant. Ce spectre s'étend des domaines qu'il considéra comme étant scientifiques à ceux considérés comme non-scientifiques. Selon le spectre de Zuckerman, les domaines les plus "scientifiques", soit ceux basés sur des champs de données scientifiques concrètes, sont la chimie et la physique. Après ceux-ci viennent la biologie puis suivent les sciences sociales. A l'autre extrémité du spectre, soit la partie considérée comme étant la moins "scientifique", se trouve "la perception extrasensorielle" - des concepts tels que la télépathie et le sixième sens - et finalement "l'évolution humaine". Zuckerman en explique le raisonnement:
Nous nous déplaçons alors directement du registre de la vérité objective vers ces champs de la science biologique présumée, comme ceux de la perception extrasensorielle ou de l'interprétation de l'histoire des fossiles humains, où, pour le fidèle (l'évolutionniste), tout est possible et où le croyant ardent (en l'évolution) est parfois capable de croire en même temps à plusieurs choses contradictoires.
Le mensonge de l'évolution humaine ne repose que sur des interprétations pleines de préjugés, basées sur la découverte de quelques fossiles déterrés par certaines personnes qui adhérèrent aveuglément à leur théorie.
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Les mécanismes imaginaires de l'évolution
Le deuxième point important qui remet en cause la théorie de Darwin est qu'il s'est avéré que les deux concepts avancés comme "des mécanismes de l'évolution" n'avaient en fait aucun pouvoir d'évoluer.
Darwin a basé toute sa théorie de l'évolution sur le mécanisme de "la sélection naturelle". L'importance qu'il a placée sur ce mécanisme est mise en évidence par le nom de son livre: The Origin of Species, By Means Of Natural Selection (De l'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle)…
La sélection naturelle soutient que seuls les êtres vivants les plus forts et les mieux adaptés aux conditions naturelles de leur environnement survivront dans leur lutte pour la vie.
Prenons l'exemple d'un troupeau de cerfs menacé d'être attaqué par des animaux plus sauvages et voraces. Selon la théorie, seuls survivront ceux qui pourront courir assez vite pour échapper à leurs prédateurs. Finalement, le troupeau de cerfs ne sera constitué que des individus les plus rapides et les plus forts. Cependant, et incontestablement, ce mécanisme n'entraînera aucune évolution chez le cerf et encore moins sa transformation en une autre espèce vivante, par exemple, en cheval.
Ainsi, le mécanisme de la sélection naturelle n'a aucun pouvoir évolutif. Darwin était du reste très conscient de ce fait et a dû finalement l'affirmer dans son livre The Origin of Species:
La sélection naturelle ne peut rien faire tant que des variations favorables n'ont pas la chance d'avoir lieu.
Le mensonge de l'évolution humaine
Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l'évolution est celui de l'origine de l'homme. La prétention darwiniste soutient que les hommes modernes d'aujourd'hui proviennent de quelques créatures ressemblant aux singes.
Durant le processus évolutionniste avancé, et qui est supposé avoir commencé il y a 4 à 5 millions d'années, ils prétendent que "des formes transitionnelles" entre l'homme moderne et ses ancêtres ont existé. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" de base sont listées:
1. l'Australopithèque
2. l'Homo habilis
3. l'Homo erectus
4. l'Homo sapiens
Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres de l'homme, ceux encore identiques aux singes, "Australopithèque", ce qui signifie "singe sud-africain".
Ces créatures ne sont en réalité qu'une ancienne espèce de singe qui s'est depuis éteinte. Les recherches étendues faites sur divers spécimens d'Australopithèques par deux anatomistes anglais et américain célèbres, Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont démontré que ceux-ci appartenaient à une espèce de singe ordinaire qui s'est éteinte et qu'ils n'avaient par ailleurs aucune ressemblance avec les hommes.
Les évolutionnistes classifient l'étape suivante de l'évolution humaine par le terme "homo", qui signifie "homme". Selon l'affirmation évolutionniste, les êtres vivants appartenant aux catégories de l'Homo sont plus développés que ceux de l'Australopithèque.
Les évolutionnistes conçoivent un schéma évolutif imaginaire en classifiant les différents fossiles de ces créatures dans un ordre particulier. Cette classification est imaginaire car aucune relation évolutionniste n'a jamais été démontrée entre ces différentes classes. Ernst Mayr, l'un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution au 20ème siècle, admit ce fait en disant que "la chaîne remontant à l'Homo sapiens est en réalité perdue".
En schématisant la chaîne de lien de la façon suivante: "Australopithèque > Homo habilis > Homo erectus > Homo sapiens" les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de la suivante. Pourtant, les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis et l'Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde et ceci au même moment.
De plus, un certain segment des humains classifiés dans la catégorie "Homo erectus" aurait vécu jusqu'aux temps les plus modernes. Quant à l'homme de Neandertal, classé parmi la catégorie "Homo sapiens", ainsi que l'Homo sapiens sapiens (l'homme moderne), ils auraient tous deux coexisté dans la même région.
Cette situation infirme donc la prétention qu'ils seraient ancêtres les uns des autres. Stéphane Jay Gould, un paléontologue de l'Université d'Harvard, explique l'impasse dans laquelle s'est trouvée la théorie de l'évolution bien qu'il soit lui-même un évolutionniste:
Qu'est-il donc arrivé à notre échelle si trois lignées d'hominiens se retrouvent coexistants (l'A. africanus, le robuste Australopithèque et l'Homo habilis) et qu'aucun ne provient clairement d'un autre? De plus, aucune de ces trois n'a démontré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre.
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Lord Solly Zuckerman, l'un des scientifiques les plus célèbres et respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout particulièrement étudié pendant 15 ans des fossiles d'Australopithèques. Il a finalement conclu, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste, qu'il n'existe en fait aucun arbre généalogique constitué de ramifications reliant directement des créatures similaires aux singes aux hommes.
Zuckerman a également établi un nouveau "spectre de la science" qui est très intéressant. Ce spectre s'étend des domaines qu'il considéra comme étant scientifiques à ceux considérés comme non-scientifiques. Selon le spectre de Zuckerman, les domaines les plus "scientifiques", soit ceux basés sur des champs de données scientifiques concrètes, sont la chimie et la physique. Après ceux-ci viennent la biologie puis suivent les sciences sociales. A l'autre extrémité du spectre, soit la partie considérée comme étant la moins "scientifique", se trouve "la perception extrasensorielle" - des concepts tels que la télépathie et le sixième sens - et finalement "l'évolution humaine". Zuckerman en explique le raisonnement:
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 08:21Je comprend surtout que ta pensée a trouvé sa zone de confort et demeure enfermée dans les dédales créationnistes du galvaudage de la science et théorie de l'évolution en particulier. La logique du surnaturalisme ( théologie) pour expliquer la réalité universelle ( matérialisme intégral et universel) est bien implantée au sein de ton " intelligence émotionnelle". Je ne pense pas que le surnaturalisme ou surréalisme ontologique va remettre le genre humain sur une bonne voie pour son salut.
Comprendre le continuum atomique et anatomique ou inanimé et animé pose parfois à la science des impasses dans la compréhension des phénomènes naturels. Facile de soulever le caractère incomplet de la science quand on a soi même comme vision une réponse complète, définitive, absolue et irréfutable voulant que l'esprit soit une réalité supérieure à la matière et nature. De la théologie pas de la science, de la croyance pas de la connaissance.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 08:40a écrit :De la théologie pas de la science, de la croyance pas de la connaissance.
Je suis justement en train de démontrer que la théorie de l'évolution n'est rien d'autre qu'une fumisterie, une imposture, elle n'est ni une science, ni une connassance et jusqu'ici, personne ne m'a démontré le contraire. Le bla bla, c'est bien, une démonstration vérifiable par tous, c'est mieux
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Les plus grands scientifiques de tous les temps croyaient en Dieu
Ces scientifiques croyaient en Dieu car ils considéraient qu’ils avaient suffisamment de preuves pour reconnaître l’existence d’un créateur et non pas car ils ne comprenaient pas certaines choses qu’ils attribuaient par conséquent à Dieu. En effet, c’est en analysant les mécanismes de certains phénomènes naturels que la plupart des ces scientifiques en sont arrivés à conclure qu’il est évident qu’une Intelligence soit derrière tout cela.
1/ Nicolas Copernic (1473-1543)
Nicolas Copernic est un célèbre astronome polonais considéré comme étant l’un des pionniers de la cosmologie et connu pour avoir découvert que la Terre et les planètes tournaient autour du soleil. Il mentionnait de temps en temps Dieu dans ces oeuvres et ne considérait pas que ses découvertes scientifiques étaient en contradiction avec la religion.
On rapporte que Nicolas Copernic a dit :
«Le fait de connaître les œuvres grandioses de Dieu, d’essayer de comprendre Sa sagesse, Sa majesté et Son pouvoir et d’apprécier d’une certaine manière le fonctionnement de Ses lois, est certainement une manière d’adorer Dieu, pour qui l’ignorance ne peut pas être plus reconnaissant que la connaissance» (cité dans «les chevaliers parmi les nations» (1907) de Louis E. Van Norman, p. 290)
2/ Johannes Kepler (1571-1630)
Selon le livre de Peter Barker et Bernard R.Goldstein intitulé «Les fondations théoriques de l’astronomie de Kepler», Johannes Kepler croyait en Dieu. Il pensait grâce à ses recherches et à la découverte des lois de mouvement des planètes avoir révéler comment fonctionnait l’un des plans géométriques de l’univers créé par Dieu. Dans un livre écrit par J. H. Tiner sur Johannes Kepler, il est rapporté que celui ci glorifiait souvent Dieu dans ses oeuvres en disant :
«Gloire à Dieu notre Seigneur, Son pouvoir et sa Sagesse n’ont pas de limite» (cité dans «Johannes Kepler, un Géant de la foi et de la science» (1977) de J. H. Tiner, p. 178)
Dans le même livre, l’auteur rapporte une autre parole de Kepler :
«Nous voyons maintenant comment Dieu, tout comme un architecte, a créé le monde avec une telle précision et minutie»
(cité dans «Johannes Kepler, un Géant de la foi et de la science» (1977) de J. H. Tiner, p. 193)
3/ Galilée (1565-1642)
Grand physicien, mathématicien et astronome italien, Galilée est considéré comme le fondateur de la physique expérimentale moderne. Il est notamment connu pour avoir formulé la loi mathématique décrivant la chute des corps, pour avoir donner une première formulation du principe d’inertie, pour avoir perfectionner la lunette astronomique et pour avoir découvert le sattelite de Jupiter.
Il est important aussi de rappeler que Galilée ne fut pas condamné parce qu’il pensait que la terre était ronde mais parce qu’il défendait le système de Copernic (l’héliocentrisme) qui stipulait que la terre tournait autour du Soleil tandis que l’inquisition défendait le système appelé le géocentrisme qui stipule l’inverse, à savoir que le soleil tournait autour de la terre…)
En 1981, Paul Poupart est nommé à la tête d’une commission chargée de réexaminer le procès de Galilée. Il écrit à la suite de cela plusieurs livres sur Galilé dont un intitulé «Galileo Galilei» dans lequel figure une parole très intéressante De Galilée :
«Lorsque je médite sur toute les choses merveilleuses que les êtres humains ont saisi, recherché, et fait, j’ai tendance à reconnaître encore plus clairement que l’intelligence humaine ne peut qu’être le résultat d’un Créateur» (Cité dans «Galileo Galilei» de Paul Poupard, p 101)
4/ Sir William Harvey (1578-1657)
Sir William Harvey est un médecin et physiologiste anglais, considéré comme l’un des pionniers de la médecine moderne. Il fut le premier à décrire complétement et dans le détail le système de circulation sanguine. Il découvrit aussi le rôle primordial du coeur dans la propulsion du sang et effectua de nombreux travaux remarquable dans le domaine de l’embryologie en examinant le corps de certains animaux.
Dans son livre écrit en 1651 intitulé «Les exercices anatomiques sur les génération des animaux», Harvey déclare :
«Nous reconnaissons Dieu, le Créateur suprême et tout puissant, d’être responsable pour la création de tous les animaux et Sa création et Ses travaux pointent vers Son existence. Toute chose vivante est confectionnée et ordonée avec une sagesse divine unique et avec une habilité incompréhensible des plus remarquables. Ces attributs de perfection ne peuvent que se référer qu'au Tout puissant» (William Harvey, «Les exercices anatomiques sur les génération des animaux» édition de 1989, 443)
5/ Robert Boyle (1627-1691)
Robert Boyle est un chimiste et physicien irlandais considéré comme l’un des fondateurs de la chimie moderne. Il fut le premier chimiste à isoler et à recueillir un gaz et à faire une distinction entre les acides, les bases et les sels. Il a aussi découvert une loi physique selon laquelle, dans des conditions de température constante, la pression et le volume d’un gaz sont inversement proportionnels. Cette loi est appelée aujourd’hui la loi Boyle.
Boyle pensait que l’étude de la nature et des attributs de Dieu était le but le plus noble de la vie. Dans l’un de ses écrits intitulé «L’excellence de la théologie comparée à la philosophie naturelle», Boyle déclare :
«La grandeur, beauté et l’ordre des corps celestes; la structure excellente des animaux et des plantes ainsi que d’autres phénomènes naturels ne peuvent qu’amener un observateur intelligent et sans préjudice à conclure qu’il existe un auteur suprême, puissant, juste et bon» (Robert Boyle, «L’excellence de la théologie comparée à la philosophie naturelle» cité dans un article de Raymond J. Seeger dans le journal de l’affiliation scientifique américaine,1985,183-184)
Ses recherches scientifiques lui faisait encore plus réaliser la grandeur de Dieu, comme il le déclare lui même :
«Lorsque j’observe le livre de la nature à la lumière de la chimie, je me trouve souvent contraint d’exclamer :”Quel magnifique travail,
Oh Seigneur ! Avec quelle sagesse tu as créé tout cela!» (Robert Boyle, cité dans «la relation entre la science et la religion d’après Robert Boyle» de David Woodall,p.32)
6/ John Ray (1627-1705)
John Ray est un naturaliste Anglais considéré comme le fondateur de la biologie et de l’Histoire naturelle moderne. Il fut le premier à donner une définition biologique du terme “espèce”. Il a aussi publié d’importants travaux en botanie et en zoologie et établit une classification des plantes qui aboutira plus tard à la naissance de la taxonomie moderne. En 1651, il écrit un livre intitulé «La sagesse de Dieu se manifestant dans Sa création» dans lequelle il déclare :
«Il n’y a pas d’argument plus grand, du moins plus palpable et convaincant au sujet de l’existence d’une divinité, que l’art admirable et la Sagesse qui se manifeste dans la fabrication et la constitution, l’ordre et la disposition ainsi que dans les fins et utilisations de toutes les parties et les membres de cette structure majestueuse regroupant le ciel et la terre» (John Ray, “La sagesse de Dieu se manifestant dans Sa création»)
Une autre parole aussi intéressante de John Ray :
«Il existe pour un homme libre pas d’occupation plus agréable et importante que de contempler les sublimes œuvres de la nature ainsi que
d’honorer la sagesse infinie et la bonté de Dieu» (John Ray, cité dans «Les scientifiques qui ont la foi» de Dan Graves p.66)
7/ Isaac Newton (1642-1727)
Considéré comme le deuxième homme le plus influent de tous les temps par Michael H.Hart dans son livre «Les 100, un classement des personnes les plus influentes de l’Histoire», Isaac Newton est un mathématicien et physicien Anglais qui a découvert les lois de la gravitation universelle. En plus de cela, il a éclaircit également les mystères de la lumière et de l’optique et fut l’inventeur de la branche des mathématiques appelée calcul infinitésimal.
Dans une oeuvre principal intitulé «Principa», Newton déclare :
«Ce système si merveilleux qui est l’univers avec le soleil, les planètes et les comètes ne peut que provenir de la volonté et du pouvoir
d’un être intelligent…Cet être gouverne toute chose et pas seulement le monde. Reconnaissant son pouvoir sur toute chose, on se doit de l’appeler «Seigneur Dieu» ou «Le souverain universel»…Ce Dieu suprême est un être éternel, infini et absolument parfait» (Isaac Newton, Principia, livre N°3, cité dans «Une selection des écrits de Newton» de H.S. Thayer,p.42)
8/ Louis Pasteur (1822-1895)
Louis Pasteur est un chimiste et physicien français considéré comme le fondateur de la microbiologie et de l’immunologie. Il trouva un remède contre la rage, effectua d’importants travaux sur la fermentation, développa une théorie sur les germes, fut le premier à établir une vaccination, découvrit comment éliminer la maladie des vers à soie et inventa le procédé de pasteurisation.
Après six années de recherches, Louis pasteur refuta la théorie de la «Génération spontanée» ( idée à la base de la théorie de l’évolution) selon quoi la vie pouvait apparaître à partir de rien, et les microbes être générés spontanément. Pasteur prouva donc la loi de la biogenèse (un être vivant ne peut provenir que d’un autre être vivant) en renversant l’idée matérialiste de son époque basée sur la génération spontanée.
«Plus j’étudie la nature et plus je suis émerveillé par les travaux de Notre Créateur. La science me ramène plus proche de Dieu»
(Louis Pasteur, cité dans un livre de John Hudson Tiner «Louis Pasteur, fondateur de la médecine moderne», 1990) «Un peu de science vous éloigne de Dieu. Beaucoup vous y ramène» (Louis Pasteur, cité dans «Dieu et la science» de Jean Guitton, 1991)
9/William Thomson Kelvin (1824-1907)
William Thomson Kelvin est un physicien, mathématicien et ingénieur irlandais reconnu comme étant l’un des pionniers de la thermodynamique (branche de la Physique qui étudie les phénomènes thermiques). IL contribua aussi à améliorer les boussoles magnétiques et à poser la première ligne télégraphique traversant l’Océan Atlantique, en 1866, depuis le Royaume-Uni.
Ces découvertes sur la conversion de la chaleur l’ont amené à definir une nouvelle échelle de température, appelée échelle de température absolue. L’unité de cette échelle de température porte son nom : le Kelvin. En 1871, William Thomson Kelvin devient président de
l’association britannique pour l’avancée de la science et cette même année, lors d’un discours présidentiel, il déclara :
«Il existe des preuves débordantes d’un dessein intelligent tout autour de nous et si certaines perplexités, métaphysiques ou scientifiques,
peuvent à un moment donné nous détourner de ces preuves, elles reviennent inévitablement avec une force irrésistible, nous montrant ainsi
notre nature ainsi que l’influence de notre libre arbitre, et nous enseignent que tous les êtres vivants dépendent d’un souverain et créateur»
(William Thomson, cité dans un article de Raymond J. Seeger dans le journal de l’affiliation scientifique américaine, Juin 1985, 99-101)
10/ Albert Einstein (1879-1955)
Albert Einstein est un physicien Allemand considéré comme le plus connu et le plus grand scientifique du 20ème siècle. Il reçut le prix Nobel de physique en 1921 et est à l’origine de la fameuse équation E=mc2, qui établit une équivalence entre la matière et l’énergie d’un système. Bien qu’il n’a jamais cru en un Dieu personnel ( c’est à dire en un Dieu qui intéragit avec les affaires de l’Homme) il a tout de même reconnu l’impossibilité d’un univers né au hasard.
L’Encyclopedie Britannica dit de lui: «En niant fermemant l’athéisme, Einstein a exprimé une croyance dans le Dieu de Spinoza qui se révèle dans l’harmonie de ce qui existe» Cette réalité a motivé son intérêt pour la science, comme il l’a dit un jour à un jeune physicien:
«Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde, je ne suis pas intéressé par tel ou tel phénomène, dans le spectre de tel ou tel élément.
Je veux connaître Ses pensées, le reste sont des détails» (Albert Einstein, cité dans «Une conversation avec Einstein» de E. Salaman,(1955) 370-371)
On rapporte de plus qu’en 1943, lors d’une conversation avec William Hermanns, Einstein a dit :
«Tout comme je l’ai dit de nombreuses fois, Dieu ne joue pas aux dés avec ce monde»
(Albert Einstein, cité dans le livre de Hermanns «Einstein et le poète»)
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 22:26Arlitto a écrit :Je suis justement en train de démontrer que la théorie de l'évolution n'est rien d'autre qu'une fumisterie, une imposture, elle n'est ni une science, ni une connassance et jusqu'ici, personne ne m'a démontré le contraire. Le bla bla, c'est bien, une démonstration vérifiable par tous, c'est mieux
On attend toujours la démonstration vérifiable par tous de l'existence d'Adam, d'Eve, et du serpent qui parle.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 22:36L'affaire de l'homme de Piltdown, une imposture qui a duré 43 ans
L'homme de Piltdown, passé pendant 43 ans pour une preuve hautement précieuse en faveur de l'évolution, s'est avéré être une fabrication. En 1953, des investigations sur le crâne ont révélé que l'homme de Piltdown n'était pas un fossile mais une contrefaçon associant des os humains et d'orangs-outans.
Crâne de l’homme de Piltdown – Kevan/Foter
L'homme de Piltdown, vaste supercherie...Cette histoire, qui date quand même de 1912, est tout à fait vraie.
Les chercheurs de l'époque se sont fait berner par la pseudodécouverte d'un crâne humain associé à une mâchoire inférieure d'orang-outan.
Oui il y a bien eu tromperie et fraude.
Et ce faux ancêtre de l'homme, appelé Homo (Eoanthropus) dawsoni a été repris dans de nombreuses communications scientifiques. La plupart des scientifiques se sont, à l'époque, fait avoir.
Il est toujours impossible de savoir qui est le faussaire de l'époque et de nombreux noms ont été cités: Dawson, Sir Arthur Conan Doyle, Teillhard de Chardin.... En 1920 un anatomiste démontra la supercherie mais il faudra attendre 1953 pour que des analyses irréfutables apportent la preuve que le fossile était faux. A l'heure actuelle une telle mystification serait démasquée immédiatement.
La fraude scientifique. On la cache, on la nie. Pourtant, elle existe. Les cas sont plus nombreux que l’on ne pense.
Scientifiques de renom ou chercheurs à la popularité plus modeste, ils ont manipulé leurs recherches et leurs résultats pour confirmer une conviction, se faire (re)connaitre, devenir pionniers dans leur domaine ou par pure folie.
http://lascienceenfraude.blogspot.fr/20 ... cetre.html
L'homme de Piltdown, passé pendant 43 ans pour une preuve hautement précieuse en faveur de l'évolution, s'est avéré être une fabrication. En 1953, des investigations sur le crâne ont révélé que l'homme de Piltdown n'était pas un fossile mais une contrefaçon associant des os humains et d'orangs-outans.
Crâne de l’homme de Piltdown – Kevan/Foter
L'homme de Piltdown, vaste supercherie...Cette histoire, qui date quand même de 1912, est tout à fait vraie.
Les chercheurs de l'époque se sont fait berner par la pseudodécouverte d'un crâne humain associé à une mâchoire inférieure d'orang-outan.
Oui il y a bien eu tromperie et fraude.
Et ce faux ancêtre de l'homme, appelé Homo (Eoanthropus) dawsoni a été repris dans de nombreuses communications scientifiques. La plupart des scientifiques se sont, à l'époque, fait avoir.
Il est toujours impossible de savoir qui est le faussaire de l'époque et de nombreux noms ont été cités: Dawson, Sir Arthur Conan Doyle, Teillhard de Chardin.... En 1920 un anatomiste démontra la supercherie mais il faudra attendre 1953 pour que des analyses irréfutables apportent la preuve que le fossile était faux. A l'heure actuelle une telle mystification serait démasquée immédiatement.
La fraude scientifique. On la cache, on la nie. Pourtant, elle existe. Les cas sont plus nombreux que l’on ne pense.
Scientifiques de renom ou chercheurs à la popularité plus modeste, ils ont manipulé leurs recherches et leurs résultats pour confirmer une conviction, se faire (re)connaitre, devenir pionniers dans leur domaine ou par pure folie.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Ecrit le 08 janv.20, 22:39On attend toujours la démonstration vérifiable par tous de l'existence d'Adam, d'Eve, et du serpent qui parle.
C'est bien beau de dénigrer la théorie de l'évolution, mais ce n'est pas une preuve que la Bible a raison.
D'ailleurs, a t-on retrouvé le squelette du serpent qui parle ?
C'est bien beau de dénigrer la théorie de l'évolution, mais ce n'est pas une preuve que la Bible a raison.
D'ailleurs, a t-on retrouvé le squelette du serpent qui parle ?
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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