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Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 05:23
par Arlitto
Le Coran est falsifié ! C'est ça la preuve : le Coran est falsifié, et puis c'est tout ! :lol:












Un seul Coran unique et incréé ??? La fin d'un mensonge !
Lien : https://arlitto.forumactif.com/t126-un- ... sifi%C3%A9

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 06:47
par Gorgonzola
Le coran n'est pas un livre falsifié, c'est un livre qui a subi des modifications dès le début.
Par les califes Uthman et Abd al-Malik.
Le mythe du livre incréé tombe lui-même à l'eau avec la tradition musulmane qui raconte les épisodes de compilations des différentes versions qui existaient. Et sa construction de bric et de broc n'est même pas niée par les musulmans qui admettent ses péripéties de fabrication avec une langue qui n'était pas au point et s'est construite au fil de ces compilations.
Le coran falsifié ? Certes.. Si on croit à la révélation de Mahomet qui ne s'est pas correctement transmise et qui a été livrée 1° au hasard des supports d'écriture par-ci par-là, et 2° au bon vouloir des califes qui ont vu dans le coran un bon moyen d'assujettir les peuples pour mieux les soumettre.

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 07:01
par Arlitto
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Sans compter les mythes et les légendes préislamiques que "Mahomet" a repris à son compte en les saupoudrant à sa sauce, tout en faisant croire que cela venait d"Allâh", le "saigneur" de la Kaaba.






Les créatures mythiques de l'Islam
Lien : https://arlitto.forumactif.com/t1051-le ... islam#7546

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 07:09
par omar13
A différence des 115 pages concernant les mensonges trouvés dans la bible https://www.dieu.pub/viewtopic.php?f=46&t=35884, je suis certain que vous n'arriverez même pas a finir cette première page pour le manque de fantaisies racontées ????? :lol: :lol:

j’espère que vous allez citer les contradictions, versets ajoutés, versets manquants......etc , contenu dans le noble Coran.
et ne citer pas les hadiths, parce qu'ils ne font pas partis du Livre d'Allah.
parce que si vous continuez a blablablabter sans donner des preuves coraniques, vous perdez seulement votre temps.

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 07:19
par Arlitto
Je sens une pointe d'énervement :lol: Mais la vérité sera dite sans aucun mensonge, ni aucune invention avec des preuves vérifiables et observables par tous :)



Les Djinns Mythologie Arabe




Les jinns (parfois orthographié djinns) sont des créatures du folklore sémitique. Ils sont en général invisibles, pouvant prendre différentes formes (végétale, animale, ou anthropomorphe) ; ils ont une capacité d'influence spirituelle et mentale sur le genre humain (contrôle psychique : possession), mais ne l'utilisent pas forcément.

Selon l'Islam, ils ont le pouvoir de posséder ceux qui sont en état de souillure (c'est-à-dire ceux qui n'ont pas fait leur ablution rituelle)
ou qui consomment des aliments interdits (drogue, alcool, sang,).

Il y a de bons et de mauvais jinns ; les mauvais sont nommés Shayādjīn.

Ne pas confondre le terme jinn avec le terme perse Djans qui signifie "l’Esprit Individuel d'un être", et qui est différent des Esprits de Groupe.

Le terme Djinns pourrait signifier, si on se base sur la racine hébraïque, "ceux qui viennent du ciel étoilé"

Pour les Arabes, les djinns représentent une autre race habitant la terre, ce sont des esprits qui habitent les endroits déserts, les points d'eau, les cimetières et les forêts.

Pour se manifester, ils prennent diverses formes (métamorphe), dont celles de l'homme ou des animaux, couramment des serpents.

Le mot djinn ou 'ifrit désigne d'ailleurs à la fois ces esprits ainsi que certaines variétés de serpents.

Leurs noms, paroles ou comportements, qui demeuraient étranges, permettaient de les discerner des humains quand ils en prenaient la forme.

Certains de ces esprits étaient, selon les légendes pré-islamiques, les muses des poètes : ce sont les hawajis (singulier : hajis). Comme les hommes, ils sont organisés en royaumes, États, tribus, peuples, ils ont des lois et des religions

En arabe classique et ancien : Jinni (masculin) Jinnia (feminin), pluriel : Jinna ou Jinn, dans certains dialectes arabes postérieurs Jinn, pluriel : Jnoun.

Dans la tradition populaire des pays musulmans, on ne dit pas "avoir une mémoire d’éléphant" mais une mémoire de jinn.


Dans l'Islam, les jinns sont des créatures dotées de pouvoirs surnaturels, ils ont été créés d'un maillage/tissage de "lumière d'une flamme subtile, d'un feu éclairant" (comme l'être humain l'a été à partir d'argile), ils sont appelés à croire et subiront le jugement dernier.

Les appellations spécifiques des jinns sont :

•les 'Efrits (de 'Iphrit) : djinn de feu.
•les Maritins (de Marid) : djinn d'eau.
•les Sylphes : djinn d'air

Les diables, Shèïètines (au singulier Shèïtan, Satan pour les langues latines) sont de mauvais djinns.

Pour les Musulmans, le Diable n'a jamais été un ange mais bien un Djinn et ce depuis toujours, car contrairement aux anges qui n'ont pas de libre arbitre et ne font que ce que Dieu demande : les djinns (comme les hommes) peuvent désobéir à Dieu et faire des péchés. C'est cette faculté d'avoir le choix qui à permis à Satan (mais Adam et Eve aussi ) de désobéir à dieu selon le Coran et d'être puni pour cela.


On peut noter que le mot « génie » (au sens merveilleux comme dans Aladdin) est une francisation du mot « djinn ».

La confusion avec le mot génie au sens commun (personne dotée d'une habileté intellectuelle remarquable) est semble-t-il intentionnelle.

Il convient aussi de remarquer que dans l'arabe moderne le mot désignant un génie au sens commun du terme est ’abqari qui vient de ’abqar un oued de l'ancienne Arabie réputé comme étant un repaire de djinns.

Dans les Mille et une nuits, les djinns habitent la cité rose de Shadukiam.

Le plus ancien djinn, par lequel ils jurent ou prêtent serment, se nomme Kashkash. D'après un grimoire médiéval (Le Livre du pouvoir), Ampharool est le jinn qui peut enseigner au magicien le secret du vol.

Victor Hugo a écrit un poème Les Djinns publié dans son recueil Les Orientales, qui a été mis en musique par Gabriel Fauré.

Dans la trilogie de Bartiméus, œuvre de Jonathan Stroud, l'histoire raconte les épreuves de magiciens pouvant invoquer des djinns, créatures malfaisantes et bien souvent antiques.

Ils existe différents degrés d'esprit, principalement, du plus faible au plus fort : gnomoncule, gnome, foliot (fantastique), djinn, Éfrit, marid et d'autres innominés ainsi que d'infinies quantités d'autres créatures.

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 07:40
par San Sanchez
Dire que le coran a été falsifié sous-entend qu'a une époque le coran était entièrement authentique, c'est ce que tu crois Arlitto?

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 07:52
par Arlitto
San Sanchez a écrit : 27 janv.20, 07:40 Dire que le coran a été falsifié sous-entend qu'a une époque le coran était entièrement authentique, c'est ce que tu crois Arlitto?

Bien sûr que non ! J'ai repris ce titre pour faire la nique à celui qui continue de vouloir faire croire que la Bible est falsifiée avec des "arguments" plus que douteux.


Le Coran démasqué, une vidéo qui vous fera comprendre l'absurdité du Coran. Vous allez vous marrer :lol:



Le Coran affirme tout et son contraire !



La Vérité sur l'islam



Tout est vrai et vérifiable :hi:

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 21:29
par Gorgonzola
Pour ceux qui ont la mémoire courte ou sélective..

https://www.dieu.pub/viewtopic.php?t=31 ... 05#p805319

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 27 janv.20, 22:52
par Arlitto
Sanaa ou la fin du mythe d'un Coran unique



Histoire de la Fabrication-Falsification du Coran par les Califes : la preuve par les manuscrits de Sanaa.


Un grand nombre d'exemple de modification du Coran. En voici un

L’Imâm Al-Bukhârî et Ibn Jarîr disent que, selon Ubayy Ibn Ka`b et Anas b. Malik, ces paroles ont été révélées dans la Sourate 102 "At-Takâthur" (La course aux richesses) :

"Le Prophète (paix et bénédiction d’Allâh sur lui) a dit : 'Si le fils d’Adam avait deux vallées de richesses, il souhaiterait que lui en fût échue une troisième. Rien ne peut remplir le ventre du fils d'Adam sauf la terre (= la mort), mais Dieu revient vers celui qui revient à Lui' ...".

-----> Pourtant on ne retrouve plus ce passage dans la sourate 102 (qui ne contient que 8 versets) du coran actuel. Il a donc été enlevé.

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Un seul Coran unique et incréé ??? La fin d'un mensonge !

"Le calife Uthman" a brûlé 31 versions différentes des Corans à son époque !. 

Sous le califat de `Uthman, troisième calife (644 - 656), le territoire musulman s'est considérablement agrandi et de nouveaux problèmes surgissent : quatre types de divergences apparaissent à propos du texte du Coran. Le calife Uthman décide alors d'officialiser un type unique d'écriture du texte coranique et d'établir une classification unique des sourates les unes par rapport aux autres. 


C'est à cette fin qu'il charge une commission de préparer plusieurs copies (mus'haf) du Coran. Et cela se passait en l'an 25 de l'hégire, soit quinze ans après la mort du Prophète. Ces copies préparées, `Uthman les fait envoyer en différents points importants du territoire musulman. 

Tous ces éléments sont rapportés par Al-Bukhârî, no 4 702. Les copies du Coran écrites de nos jours suivraient toujours mot pour mot et lettre pour lettre cette écriture des copies d'Uthman, écriture nommée « ar-rasm al-uthmanî ». Quelques-unes de ces copies existeraient encore aujourd'hui, l'une se trouverait à Istanbul (Turquie), l'autre à Tachkent (Ouzbékistan).

Après avoir envoyé ces copies dans chaque région, `Uthman fit détruire toutes les copies précédentes, dont celle d'Ali, gendre de Mahomet, celle d'Ubai b. Ka'b ainsi que celle d'Ibn Mas`ud. Bien que ce dernier ait refusé de détruire sa copie de son vivant, elle fut brûlée par la suite.

Le Kallif othman ibn afan a brûlé toutes les 31 versions du coran pour garder sa version qui circule aujourd'hui, c’est pourquoi il y a un seul coran.

Mais on trouve quelques versions qui circulent toujours comme : 

1)Coran version Hafess en Égypte
2)Coran version Warche au Maroc
3)Coran version Kaloun en Tunisie


Ref:

Dairat el maaref el islamiya, livre 26 page 8177 à 8194
Al masahef de Iben Daoud al Cijistani page 21
Fehrest de Iben al nadim
Le plus grand auteur arabe Dr Taha Houssen dans son livre al fetna al koubra partie 1 page 160 a 183 a critiqué l'islam
Al Tabari


Le Coran d'Othman ou de Mohammed ? 

Voici une liste de corans qui ont été brûlé par Othman.

Le Coran d'Abdullah Bin Amre Ibn Al-Ass
le Coran d'Abdullah Ibn Abbas
le Coran d'Abdullah Ibn Al Zoubir
le Coran d'Abe Baker Al Sedeek
le Coran d"Abe Mosa Al Asharee
le Coran de Abu Zaied
le Coran d' Aïcha,
le Coran d'Akrama
le Coran d'Al Asoad Ibn Yazid 
le Coran d'Al Hajaj Ibn Yousef Al Thakafy
le Coran d'Anes Bin Malek
le Coran d'Ata' Abe Rabeh
le Coran d'Hafsa
le Coran de Moaaz Bin Gabel
le Coran de Moujahid
le Coran de Muhammad Bin Abe Mosa.
le Coran d'Obaid Bin Omeir Al-Laithy.
le Coran d'Othman Ibn Affan
le Coran de Qualown /Abu Mosa Ibn Mina
le Coran de Saeed Bin Gabber 
le Coran de Salem Maola Abe Hozaifa
le Coran de Suleiman Ibn Mahran
le Coran de Talha
le Coran de Waresh
le Coran de Zaied Ibn Thabet
etc...

De toutes ces anciennes versions du Coran qui ont été détruites, seuls deux manuscripts ont survécu jusqu'à notre époque : le Codex de Samarcande (daté de 654) conservé au musée Doktary à Istamboul et le Codex de Londres (daté de 772) conservé au British Museum. Chacun contient environ 750 divergences par rapport au Coran actuel (on remarque que c'est souvent le Coran actuel qui semble avoir ajouté des mots ou des phrases au texte primitif).


Al Tabry, au 10ème siècle, l'avouait carément : 

"Le texte du coran n’était pas fixé à mon époque." 


Et l'Imam Ja'far, pour résumer la situation, allait plus loin encore :

"Le véritable Coran n'existe pas !"


Selon As-Suyuti (mort en 1505) Ibn ’Umar al Khattab aurait dit :

"Que personne d’entre vous ne dise qu’il a acquis le Coran entier, car qu’en sait-il ? Beaucoup du Coran a été perdu ! Alors qu’il dise : J’ai acquis ce qui était disponible. "
(As-Suyuti, Itqan, partie 3, page 72). 


Jabir a rapporté que l'Imam Bar a dit :

"Personne ne peut affirmer avoir rassemblé tout le Coran tel qu'il a été révélé par Allah, si ce n'est un menteur ! Le Prophète dit alors : c'est ainsi que le démon m'a envoyé ses deux serviteurs à l'instant Abu Bakr et Omar". (Commentaire de bas de page de la traduction de Maqbool : Sourate "Hajj": 674)


:)

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 28 janv.20, 11:35
par Gorgonzola
Une autre info sur les corans version Othman :
- le coran de Tachkent (Ouzbékistan)
- le coran de Topkapi (Turquie)

Ces deux copies des versions d'Othman sont différentes de :
- l'une de l'autre
- et différentes des plus vieux corans dont ils sont forcément issus, ceux de Sanaa, qui contiennent déjà eux-mêmes des palimpsestes

Détail : https://www.dieu.pub/viewtopic.php?p=818002#p818002

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 28 janv.20, 23:48
par Arlitto
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Il a existé plusieurs Corans dont le contenu et l'organisation des versets étaient totalement différents. Celui qui est considéré comme LE Coran officiel est celui d'Othman, un calife despotique qui a détruit toutes les sources antérieures (mais Umar et Abû Bakr avaient déja fait disparaitre de nombreuses versions auparavant).


Alors que les Musulmans modernes peuvent être liés par une position intenablement conservatrice, les érudits musulmans des premières années étaient bien plus flexibles, réalisant que des parties du Coran étaient perdues, perverties, et qu’il y avait plusieurs milliers de variantes qui rendaient impossible le fait de parler du Coran unique.


Et ils savaient que les Corans compilés par les secrétaires particuliers du Prophète étaient différents de celui d'Othman.


Dans les premiers siècles de l'Islam, beaucoup d'ouvrages furent écrits, qui relevaient des différences entre les Corans existants ; et bien qu'Othman affirmait et inscrivait une seule version, il fallut des années pour que les savants islamiques reconnaissent ce livre, et le propagent dans le monde islamique.


Voici les noms des sept livres importants et notables qui furent écrits par les savants, à propos des différences entre les Corans :

- Le "livre de la différence des livres" (les Corans de Médine, de Koufféh et de Bassora ) écrit par Kassâeï.
- Le "livre de la différence des livres", écrit par Khalaf.
- Le "livre de la différence des habitants de Koufféh, de Bassora, et de Damas en matière des livres", écrit par Farrâ.
- Le "livre de la différence de Mossahéf", écrit par Ibn Davoud Sédjestani.
- Le "livre de Madaéni sur la différence des livres", écrit par Madaéni.
- Le "livre de la différence des livres de Damas, Hédjaz et l'Irak", écrit par Ibn Amér Yahsébi
- Le "livre de Mossahéf", écrit par Mohammad Ibn Abd al Rahaman Isphahanï.


Quelles étaient les différences de Corans entre les secrétaires du Prophète et celui d'Othman ?


-Le Coran d'Imam Ali :
il fut ordonné en fonction des dates des révélations et contient un relevé des versets abrogatifs et abrogés (les versets qui se contredisent).


-Le Coran d'Abd Allah Ibn Massoud :
Fazl Ibn Châsan disait que le nombre et l'ordre des sourates différaient considérablement de ceux du Coran d'Othman, car dans le coran d'Ibn Massoud, il n' y a que cent dix sourates.

Les noms de beaucoup de sourates étaient plus longs que ceux du Coran d'Othman.
Il n'y avait deux sourates nommées "Sadjdéh" (prosternation).


Il y avait quelques sourates supplémentaires, comme "Havâmime" ou "Mossabahât" dans le coran et qu'on ne trouve pas ailleurs.
Certains versets différaient, surtout dans la sourate "Va al Assre" qui disait ceci :
"J'en jure par l'heure de l'après-midi, l'homme travaille à sa perte. Tu en excepteras ceux qui croient et pratiquent les bonnes oeuvres, qui recommandent aux autres la vérité et la patience !


-Le Coran d'Abi Ibn Ka'b :
L'ordre des sourates était différent. Selon Fazl Ibn Ghasan le livre commencait par "Fatéhat al Kétab" (l'ouverture du livre), "Bagharéh" (la vache), "Néssâ" (les femmes), "Allé Omran" (la famille Omran), "Anâm" (les bienfaits), "Eerâf" (le purgatoire), "Maédéh" (la table), "Anfâl" (les surestimations), "Davoud" (David), "Tahâr" (les propres), "Insân" (l'homme), "Nabi Aliéh al Salam" (le missionnaire auquel salut), "Hai Ahl al Kétab" (les gens du livre)... ( Selon Al Féhreste -La liste d'Ibn Nadime Page 46). La sourates "Younesse" (Jonas) était absente. Les sourates n'atteignaient pas les 114 et un bon nombre n'existaient pas du tout dans le Coran d'Othman; comme les sourates "Davoud" (David), "Tahâr" (les propres), "Nabi Aliéh al Salâm", etc...


Les versets sataniques

Les versets : 18 ; 19 ; 20 de la sourate 53 /18 Ainsi a-t-il contemplé le plus grand des Signes de son Maître 19. Avez-vous vu al-Lât et al Uzza 20. et AL Manât, la troisième, l'autre ?

Al-Lât, Al-Uzza et Manât sont les filles d'Allah, les principales déesses de l'Arabie antéislamique; elles avaient leurs statues dans la Ka’bat et dans d'autres sanctuaires.

l'"Ange Gabriel" aurait révélé que les versets incriminés venaient non d'Allah, mais de Satan.

L'Islam orthodoxe ne nie aucune véracité à cette affaire, inspirée, à ses yeux, par Satan Sourate 22/52. Nous n'avons envoyé, avant toi, ni Messager ni prophète qui n'ait récité. (Ce qui lui a été révélé) sans que le Diable n'ait essayé d'intervenir [pour semer le doute dans le cœur des gens au sujet] de sa récitation. Allah abroge ce que le Diable suggère, et Allah renforce Ses versets. Allah est Omniscient et Sage.

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A l’origine, "Mahomet", prophète de l’islam, aurait reconnu plusieurs déesses. Elles auraient un temps survécu dans l’Islam même, où on les aurait appelé dans le Coran les trois filles d’Allah, avant d’être effacées. Leurs noms sont cependant toujours là.

Les déesses arabes dont les noms sont bien dans le Coran sont : Al-Lat, Uzza, et Manat. D’après le Coran, les Arabes païens ont adoré une triple déesse. Cette divine trinité féminine était adorée à la Mecque, dans la Kaaba.

Lors de la révélation de la sourate LIII Mahomet aurait, selon Tabari, dans une première version, recommandé qu’on leur rende un culte. Ces versets prononcés puis abrogés sont appelés les « Versets Sataniques », expression qui a servi de titre au roman controversé de Salman Rushdie.

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 29 janv.20, 02:06
par Gorgonzola
Un lien qui semble être primordial dans la recherche sur l'histoire du coran
Corpus Coranicum

Pour avoir la langue française, cliquer sur le petit icône de la terre à droite de la barre d'accueil.

Quelques liens du site très dense qui donnent un détail du travail des chercheurs :
Etudes sur le coran de Tübingen (Ma VI 165)
Etudes sur le coran de Londres (BL Or. 2165)
Etudes sur un coran de Sanaa (Dār al-maḫṭūṭāt: DAM 01-29.1)

Lien du document de la BnF Arabe 326:
Arabe 326

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 29 janv.20, 04:18
par San Sanchez
@Arlitto: Ok, la précision me paraissait nécessaire.

Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 29 janv.20, 08:24
par Arlitto
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Le Coran, l’œuvre des nazaréens


Des thèses, largement vérifiées, de Bardet, Théry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme


(thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel :
« L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.

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Waraqa ibn Nawfal est le cousin de Khadija, première épouse de Mahomet. Waraqa était selon certaines sources un prêtre converti au christianisme nestorien, prêcheur à la Mecque, qui y mourut en chrétien nestorien.
Date de décès : 1 janvier 610 ap. J.-C.

La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.


HADITHS AUTHENTIQUES ATTESTENT :

Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :

](Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».


(Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle ....
».
](...)

Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet.

En effet, Bukhari disait ceci : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.


La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! + Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».


D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
(...)
Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfal) qui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».


Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».


Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.


Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».


Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».



Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».


(Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréisme, et devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.


Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
(...)


Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».


Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).

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Re: Preuve de la falsification du Coran

Posté : 30 janv.20, 03:47
par Gorgonzola
Autre pierre à l'édifice de la supercherie islamique et son coran incréé, la Mecque censée être le lieu de naissance de Mahomet.

Par supercherie j'entends que l'islam n'est qu'un montage humain dont le livre principal le coran a subi des altérations et des modifications au fil des siècles.
Ces falsifications dont la seule préoccupation visait, autant que faire se peut, d'homogénéiser le tout ou rajouter/retrancher des versets donnant plus de pouvoirs aux califes et à leur vision personnelle de cette doctrine. Les scribes n'étaient pas non plus suffisamment formés et l'écriture arabe pas suffisamment au point pour en faire des copies fiables.
Voir les documents consultables sur les sites indiqués précédemment.

L'autre source mensongère de l'islam est la géographie du lieu dit la Mecque.

Cette Mecque dont le coran parle aurait été du temps de Mahomet un lieu verdoyant, où l'eau coulait et irriguait les cultures, et un carrefour de commerce. Or l'actuelle Mecque ne figurait sur aucune carte de l'époque. Difficile pour les commerçants de l'époque qui en avait pour plusieurs jours voir plusieurs semaines de voyage de situer un endroit non référencé.
De plus, les travaux pharaoniques autour de l'actuelle Kaaba n'ont permis au grand dam des autorités saoudiennes et des musulmans, de mettre à jour une quelconque trace de vie ou vie en communauté sur ce lieu.

Le lieu qui correspond aux différentes descriptions autant géographiques que cultuelles (rituels idolâtres et païens des tribus arabes) est Pétra en Jordanie.

Dans le lien ci-dessous, Dan Gibson un archéologue canadien ayant passé une grande partie de sa vie au moyen orient, a réalisé un documentaire très abouti sur ses recherches concernant ce lieu dit la Mecque.

Dans ce documentaire Dan Gibson explique entre autre qu'il était facile de remplacer Becca (lieu de pluie : بيكا) par Meka ميكا