Happy79 a écrit : ↑11 févr.20, 09:25
et bien justement oui
1 Cor 15 12-27
Après avoir rappelé l'essentiel du message, Paul entre en débat avec ceux des Corinthiens (1 Co 15,12-58) qui soutiennent qu'il n'y a pas de résurrection des morts et qui posent déjà la question de savoir comment les morts peuvent ressusciter. La réponse de Paul se déroule en deux temps. Tout d'abord (1 Co 15,12-27), il tire les conséquences de l'hypothèse selon laquelle le Christ ne serait pas ressuscité. Le message apostolique devient alors vide de contenu et avec lui la foi chrétienne. Les témoins sont de faux témoins. Le don du salut n'a pas eu lieu.
Ceux qui sont morts dans le Christ sont perdus. Comme de telles conséquences sont impensables, Paul revient à sa conviction : «Mais non, Christ est ressuscité des morts, prémices de ceux qui sont morts» (1 Co 15,20).
Ici les morts en Christ font référence aux nouveaux Chrétiens qui seraient perdu si Jésus n'étaient pas ressuscité.
Paul poursuit avec son analogie du grain de blé. il prend l'image du grain de blé qui meurt dans la terre et donne place à une plante généreuse sans commune mesure avec sa semence. Comme le chrétien et sa nouvelle naissance.
Je ne suis pas d'accord avec ton analyse
12 Or, si l'on prêche que Christ est ressuscité des morts, comment quelques-uns parmi vous disent-ils qu'il n'y a point de résurrection des morts ?
Puisque vous Corinthiens vous avez su que Christ est ressuscité des morts, pourquoi quelques uns parmi vous disent ils que cela n'existe pas la résurrection des morts ?
13 S'il n'y a point de résurrection des morts, Christ non plus n'est pas ressuscité.
Si cela n'existe pas la résurrection des morts, cela veut dire que ce que vous avez entendu de Christ sur sa propre résurrection n'existe pas non plus.
14 Et si Christ n'est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.
Et si cela n'existe pas que Christ est ressuscité, vous prêchez pour rien et votre foi est absente.
15 Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l'égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu'il a ressuscité Christ, tandis qu'il ne l'aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point.
Il se trouve même qu'à contrario nous serions de faux prédicateurs vis à vis de Dieu puisque nous dirions à la face de Dieu que Christ n'a pas ressuscité, alors que Christ n'ayant pas ressuscité, de même tous les morts eux aussi ne ressuscitent pas de facto.
16 Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n'est pas ressuscité.
Et si les morts ne ressuscitent pas de facto, et bien cela veut dire que Christ non plus d'après vos raisonnements n'est pas ressuscité.
17 Et si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés,
Et si Christ n'est pas ressuscité (selon votre raisonnement à la source) votre foi est vaine et vous êtes encore des pécheurs.
18 et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.
Et par voie de conséquence, ceux qui sont morts pour Dieu en Christ sont perdus à ses yeux (puisque leur foi est vaine)
19 Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.
Si c'est en espérant en cette incarnation que nous fondons nos espoirs d'être sauvés en Christ, nous sommes donc les plus malheureux des hommes (car nous n'aurions pas cru en notre propre résurrection ce qui remet en cause que nous ne pouvons pas croire de facto à celle du Christ et nous sommes morts aux yeux de Dieu par le Christ, et pécheurs nous le serions restés)
LA BETE
4 Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ?
Ce verset dessus nous apprend :
- La bête n'est pas le dragon puisque bête et dragon sont distincts.
- La bête est au dessus du dragon puisque autorité lui a été donnée, comme une élection du dragon pour la bête
- La bête n'a pas son semblable elle est unique
- La bête est inaltérable personne ne peut la combattre
15 il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués.
Ce verset dessus nous apprend :La bête est manipulée, son image est manipulée, elle ne parle pas d'elle même, et elle demande l'adoration sinon elle promet la mort à ceux qui ne le font pas
12 Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie.
Ce verset dessus nous apprend : Elle poursuit l'oeuvre de la première bête, la première bête ayant été mortellement blessée a été guérie par la seconde bête
14 Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait.
Ce verset dessus nous apprend : que la seconde bête joue de séduction sur toute la terre en faisant croire à des faits miraculeux en disant au monde de faire une image de sainteté à la bête qui avait été blessée mortellement mais qui vivait toujours par la seconde bête.
Constantin est la bête, blessé mortellement par Jésus qui, par sa Crucifixion le fait mourir, Constantin se tait, et à la place il érige le vatican, le Christianisme sort vainqueur.
Le dragon est la Curie Romaine, évêques cardinaux, archevêque manipule le pape François, pour soigner son image, pour arranger ses discours, et ils l'ont élu.
Le pape a pouvoir sur la religion Chrétienne, il rassemble le plus de chrétiens dans le monde, il est aimé, il a du charisme, il attire les foules.
La bête promet la mort, car elle traite d'hérétique qui ne pense pas comme elle, elle dit que tous ceux qui n'entrent pas dans son église meurt spirituellement.
Le pape François continue l'œuvre mauvaise de Constantin, puisque Constantin a mené les débats du premier concile de Nicée, et a dit son mot pour instituer le catholicisme, les 318 évêques pour lui être agréables ont dit qu'il n'était pas lui bénéficiaire de la rançon, ils l'ont mis sur un piédestal.
La seconde bête déliée pour peu de temps séduit et invente des miracles par des pseudos saints, comme Bernadette Soubiroux, comme Thérèse l'Avila, comme tous ces saints qu'elle canonise pour faire croire qu'elle est sainte, et elle maintient le mensonge en toujours faisant croire que la première bête n'est pas le rançonneur, elle dit toujours que Jésus s'est accablé des fautes des hommes en donnant toujours la même information qui est que Dieu est rançonneur, pas Constantin qu'elle protège.
Donc la bête est Satan.
Satan attaché car Jésus par sa Crucifixion l'a attaché, l'a blessé mortellement, mais Satan réapparait par le pape François 8ème roi et dernier roi, dernier pape, qui continue l'œuvre de la première bête.