Dieu dit : « Que la lumière soit ! » Et la lumière fut.
Posté : 26 mars20, 10:26
Le photon, tout comme l'électron, est la combinaison de deux particules primordiales discoïdales (Du chapelet... aux supercordes de la sphère auréolaire du biodrone d'éternel...). Leur relativité est :
Pour les autres particules (combinaison de trois particules primordiales discoïdales), notamment les quarks, leur relativité est :
La combinaison de trois particules primordiales discoïdales conduit à toute une panoplie de particules quantiques qui se distinguent selon que les forces en action intrinsèques donnent la prépondérance à des mouvements rotatifs, et/ou rotatoires, et/ou encore rotationnels.
Le photon et l’électron se déplacent à la célérité c = 299 792 458 m/s sauf que dans le cas de l’électron, son affinité magnétique avec le proton, le conduit à former une cage électronique dont la forme est définie par les équations de Schrödinger donnant les orbitales atomiques. C’est une cage dont le noyau est le centre !
La vitesse de la lumière est la limite de l’espace-temps et est donnée par l’imaginaire en puissance de lui-même :
Dans le cas du photon, le spectre visible est directement lié au battement de ses ailes deux par deux. Le photon ressemble à un papillon alors que pour l’électron, les 4 pales sont fixes et perpendiculaires entre elles, et en tournant elles forment une pseudo-sphère axée par le segment d’attache des pales (de la relativité vers la réalité, c’est le sens de déplacement des électrons comme des photons).
Dans le domaine du visible, Les ailes des photons battent par deux en synchronisant leurs mouvements : la première aile bat avec la troisième, et la deuxième avec la quatrième.
Moins l’angle entre les ailes est grand, plus l’onde émise est énergétique, et plus on passe d’une onde dans le rouge à une onde dans le violet. En effet, la vitesse étant constante, plus les ailes sont rapprochées, plus elles battent vite.
Le déplacement se faisant sur une trajectoire rectiligne, le photon est asymétrique avec une tête (réelle) et une queue (relative). Le battement des deux ailes supérieures a une amplitude au maximum de 180°, le battement des deux ailes inférieures, une amplitude au maximum à 90°.
Le plan imaginaire est perpendiculaire à l’axe photonique qui est l’axe réel (axe de déplacement). En coupe :
L’angle α varie de Π quand l’angle β varie de Π/2. Soit la fonction trigonométrique :
Lorsque les photons traversent un réseau cristallin, ils diffractent la lumière blanche qui est la résultante des ondes émises de l’ensemble du champ photonique. En abordant le réseau cristallin, l’angle de battement des ailes est fonction de la maille cristalline qui permet en quelque sorte un triage photonique.
Quelques précisions sur le caractère ondulatoire et corpusculaire des particules : pour le comprendre, il faut revenir à la particule quantique primordiale discoïdale (la matière noire). Sa corpuscularité est d’être un disque, et l’onde est la sphère dans laquelle est ce corpuscule discoïde. L’onde résulte à la température absolue de 0°K d’une pression négative compensée par une augmentation en volume définissant la sphère d’espace du corpuscule discoïde (application de : PV=kT). Cette propriété se retrouve pour les électrons et les photons, sauf qu’ils conduisent à un phénomène bien particulier puisqu’ils sont en déplacement à la célérité c : l’électromagnétisme défini par un spectre :
Ainsi les photons naturels parcourent les supercordes d’une sphère auréolaire par sustentation puisqu’ils sont du même ordre de grandeur.
Pour les autres particules (combinaison de trois particules primordiales discoïdales), notamment les quarks, leur relativité est :
La combinaison de trois particules primordiales discoïdales conduit à toute une panoplie de particules quantiques qui se distinguent selon que les forces en action intrinsèques donnent la prépondérance à des mouvements rotatifs, et/ou rotatoires, et/ou encore rotationnels.
Le photon et l’électron se déplacent à la célérité c = 299 792 458 m/s sauf que dans le cas de l’électron, son affinité magnétique avec le proton, le conduit à former une cage électronique dont la forme est définie par les équations de Schrödinger donnant les orbitales atomiques. C’est une cage dont le noyau est le centre !
La vitesse de la lumière est la limite de l’espace-temps et est donnée par l’imaginaire en puissance de lui-même :
Dans le cas du photon, le spectre visible est directement lié au battement de ses ailes deux par deux. Le photon ressemble à un papillon alors que pour l’électron, les 4 pales sont fixes et perpendiculaires entre elles, et en tournant elles forment une pseudo-sphère axée par le segment d’attache des pales (de la relativité vers la réalité, c’est le sens de déplacement des électrons comme des photons).
Dans le domaine du visible, Les ailes des photons battent par deux en synchronisant leurs mouvements : la première aile bat avec la troisième, et la deuxième avec la quatrième.
Moins l’angle entre les ailes est grand, plus l’onde émise est énergétique, et plus on passe d’une onde dans le rouge à une onde dans le violet. En effet, la vitesse étant constante, plus les ailes sont rapprochées, plus elles battent vite.
Le déplacement se faisant sur une trajectoire rectiligne, le photon est asymétrique avec une tête (réelle) et une queue (relative). Le battement des deux ailes supérieures a une amplitude au maximum de 180°, le battement des deux ailes inférieures, une amplitude au maximum à 90°.
Le plan imaginaire est perpendiculaire à l’axe photonique qui est l’axe réel (axe de déplacement). En coupe :
L’angle α varie de Π quand l’angle β varie de Π/2. Soit la fonction trigonométrique :
Lorsque les photons traversent un réseau cristallin, ils diffractent la lumière blanche qui est la résultante des ondes émises de l’ensemble du champ photonique. En abordant le réseau cristallin, l’angle de battement des ailes est fonction de la maille cristalline qui permet en quelque sorte un triage photonique.
Quelques précisions sur le caractère ondulatoire et corpusculaire des particules : pour le comprendre, il faut revenir à la particule quantique primordiale discoïdale (la matière noire). Sa corpuscularité est d’être un disque, et l’onde est la sphère dans laquelle est ce corpuscule discoïde. L’onde résulte à la température absolue de 0°K d’une pression négative compensée par une augmentation en volume définissant la sphère d’espace du corpuscule discoïde (application de : PV=kT). Cette propriété se retrouve pour les électrons et les photons, sauf qu’ils conduisent à un phénomène bien particulier puisqu’ils sont en déplacement à la célérité c : l’électromagnétisme défini par un spectre :
Ainsi les photons naturels parcourent les supercordes d’une sphère auréolaire par sustentation puisqu’ils sont du même ordre de grandeur.