Sexe, drogue et goinfrerie : la face cachée du ramadan
Posté : 25 avr.20, 03:41
Par Mehdi Aifa
Samedi 25 avril 2020 à 10:00
https://www.valeursactuelles.com/societ ... dan-118573
Extrait :
Le mois saint des musulmans n'a rien de sain et vire comme chaque année au bal des hypocrites, estime Mehdi Aifa, militant LGBT de culture musulmane. Tribune.
Le ramadan, mois saint des musulmans, s’ouvre en même temps qu’un bal un peu particulier, celui des hypocrites. Ce mois d’expiation, d’introspection personnelle et spirituelle, où la foi doit être plus forte, l’orthopraxie plus intense et l’orthodoxie ardemment étudiée, où la solidarité et la charité sont au cœur de ce 4e pilier de l’islam, est contradictoirement, le mois de tous les excès. On festoie comme des rois, on se gave à en vomir, on dépense sans compter, quitte à s’endetter pour avoir tous les soirs une tablée bien garnie quitte à oublier l’essentiel, la modération.
Cette surconsommation entraîne un gaspillage contraire aux textes religieux. Ce mois exacerbe toutes les frustrations. La frustration sexuelle qui accompagne ce mois de privation est telle, qu’en Egypte, à la nuit tombée, les activités liées à la prostitution augmentent de plus de 200%. Certaines prostituées se prostituent exclusivement pendant le mois du ramadan. Un mois saint très lucratif pour l’économie du sexe.
Samedi 25 avril 2020 à 10:00
https://www.valeursactuelles.com/societ ... dan-118573
Extrait :
Le mois saint des musulmans n'a rien de sain et vire comme chaque année au bal des hypocrites, estime Mehdi Aifa, militant LGBT de culture musulmane. Tribune.
Le ramadan, mois saint des musulmans, s’ouvre en même temps qu’un bal un peu particulier, celui des hypocrites. Ce mois d’expiation, d’introspection personnelle et spirituelle, où la foi doit être plus forte, l’orthopraxie plus intense et l’orthodoxie ardemment étudiée, où la solidarité et la charité sont au cœur de ce 4e pilier de l’islam, est contradictoirement, le mois de tous les excès. On festoie comme des rois, on se gave à en vomir, on dépense sans compter, quitte à s’endetter pour avoir tous les soirs une tablée bien garnie quitte à oublier l’essentiel, la modération.
Cette surconsommation entraîne un gaspillage contraire aux textes religieux. Ce mois exacerbe toutes les frustrations. La frustration sexuelle qui accompagne ce mois de privation est telle, qu’en Egypte, à la nuit tombée, les activités liées à la prostitution augmentent de plus de 200%. Certaines prostituées se prostituent exclusivement pendant le mois du ramadan. Un mois saint très lucratif pour l’économie du sexe.