Il existe dans la bible une curieuse énigme qui ne dit pas son nom, qui ne se voit pas, qui est invisible à première lecture, et même après 1000 lectures si une seule condition n’est pas respectée.
Cette énigme est inconnue de presque toutes les religions dites du “livre” qui pourtant fondent, du moins officiellement, leur croyance sur ce témoignage précieux.
La condition ne pouvait se réaliser que plus tard, les rédacteurs inspirés de cette énigme ignoraient même qu’elle existait et se retrouvait incluse dans leurs propres écrits.
Les premiers chrétiens commenceront seulement à l’entrevoir au premier siècle, et notamment Paul qui nous montrera qu’il avait compris.
D’autres porteront les clés de cette énigme dans des phrases "énigmatiques" dont le sens leur échappait.
Cette énigme est un témoignage qui n’est pas fait pour expliquer la volonté de Dieu, mais pour valider que vous l’avez comprise. Toute la subtilité est là..
Elle fonctionne ainsi : vous la découvrez sans même la chercher à la condition que vous ayez atteint la vérité sur le projet de Dieu.
Il existe des œuvres d’art , souvent des suspensions, en relief, qui n’ont pas la même forme et ne représentent pas la même chose à mesure que vous les observez en tournant autour d’elles, et soudain, sous un angle unique, presque furtif, qui nécessite d’être resté très attentif, vous reconnaissez une forme, un objet, un animal, un visage. Jusque là ce que vous observiez était sans doute beau mais sans le moindre sens faisant appel à vos références. L’extraordinaire poussé à son extrême serait que ce visage, pour prendre cette hypothèse, soit celui d’un de vos intimes et que l'œuvre soit plus ancienne que cet intime.
Nous toucherions à l’extraordinaire.
C’est le sentiment que m’a procuré la découverte de cette énigme il y a quelques années.
Posons le cadre:
Les témoins de Jéhovah, à force de recherches depuis plus d’un siècle, sur la base de la bible, sont arrivés à une croyance qui se résume ainsi : Dieu va offrir aux humains qu’il choisira une vie sans fin, sur la terre, sous l’action du royaume annoncé par Jésus, qui, du ciel, et donc à distance de la terre, gouvernera selon les lois de Dieu et pour le bien des humains. Jésus sera assisté, au ciel toujours, d’un nombre nécessaire et suffisant d’humains qu’il aura rachetés de la terre, avec son sang, en faisant d’eux des premiers-nés à la fois rois et prêtres. Ils seront prêtres un temps pour permettre à l’humanité de sortir de son état d’imperfection en prodiguant le pardon que le sacrifice de Jésus, appelé l’Agneau, a rendu possible.
Le point capital dans cette affaire est que les témoins de Jéhovah sont arrivés à cette doctrine en ignorant totalement l’existence de l’énigme qui nous intéresse. En aucun cas, cet élément n’a influencé leurs recherches qui ont abouti en empruntant un autre chemin, celui d’une approche méthodique de tous les textes ayant un rapport avec le projet de Dieu.
Pour illustrer cet affirmation, imaginons que pour atteindre une certaine pièce dans une immense maison, par exemple le château de Versailles, pièce que l’on vous dit être juste de l’autre côté du mur, il vous faille suivre un parcours très très long qui nécessite beaucoup d’efforts, parcours dont vous êtes convaincu qu’il vous conduit là où vous voulez aller.
Vous avez passé du temps à trouver ce que vous croyez être le bon chemin.
Puis, arrivé dans ce que vous pensez être la bonne pièce, vous remarquez une petite porte que vous ouvrez et qui vous permet d’accéder à la pièce d’où vous avez commencé votre périple.
Seulement, la décoration ne permettait pas, dans cette pièce de départ, de deviner l’existence de la petite porte.
Ainsi, d’une façon absolument certaine, la petite porte que vous ne pouviez pas trouver au départ, puisque astucieusement cachée, vient vous démontrer que vous avez trouvé la bonne solution.
Tous ceux qui auront commis une erreur ne pourront jamais savoir que cette petite porte existait puisqu’ils aboutiront dans d’autres pièces où elle ne peut pas être. Il faut donc avoir fait le bon choix pour découvrir cette porte qui vous confirme votre succès.
L’énigme est de cet ordre, elle n’est pas une énième prophétie que l’on va étudier, décortiquer, interpréter, puisqu’elle ne se présente pas comme une prophétie et n’a jamais été perçue comme une prophétie. Ainsi, personne n’a jamais basé une doctrine sur l’interprétation de cette énigme.
Mais, chose extraordinaire, ceux qui ont atteint la compréhension du projet de Dieu, voit l’image dans l'œuvre d’art en suspension, ou la petite porte dans la pièce d’arrivée qui correspond à la bonne compréhension de la doctrine biblique.
Il faut avoir vu l’image pour la reconnaître dans l'œuvre d’art, il faut être dans la bonne pièce pour voir la petite porte. Ceux qui n’ont pas trouvé ignoreront même que l’énigme existe.
Elle constitue la confirmation du succès tout en restant ignorée de ceux qui ont failli.
Quelle est donc, simplifiée, la nature de cette énigme.
La plupart des religions chrétiennes lisent l’ancien testament comme un livre d’histoire, et particulièrement les livres écrits par Moïse. Pour ces religions, la façon dont Dieu organise la nation d'Israël est presque anecdotique et relève moins du spirituel que du pratique.
Aucune de ces religions ne comprennent réellement le constat établi par Paul en Hébreux 10:1:
la Loi possède une ombre des bonnes choses à venir La clé de la compréhension est là !
Mais qu’est ce que la Loi sinon la façon dont Dieu a organisé la nation d'Israël à sa sortie d’Egypte ?
N’appelle t-on pas “Torah” chez les juifs, et donc chez Paul aussi, les 5 livres que Moïse a écrit sous inspiration, Torah signifiant “ instruction” ou “ Loi” ?
Ainsi Paul nous affirme ici que ces instructions sont une ombre des choses à venir.
Une ombre n’existe que si l’élément qui l'a produite existe aussi, et surtout la forme de l’ombre est une image simplifiée mais fidèle de l’élément qui la génère. Si en plus, comme l’explique Paul ici, l’ombre a été intentionnellement produite pour permettre de deviner ce que sera l'élément qui nous intéresse, il faut que cette ombre ait un minimum de points communs et lisibles pour être d’une quelconque utilité.
Pour simplifier, celui qui veut faire deviner par une ombre un objet sphérique, s’arrangera pour éviter que l’ombre donne l’impression d’un objet cubique.
Quand nous étudions l’organisation et les événements qui ont permis la naissance de la nation d'Israël en tant que telle, nous arrivons, en simplifiant, au constat suivant.
Esclaves et prisonniers sur une terre qui les opprime, le peuple de Dieu voit son créateur décider sa libération définitive .
Une tribulation va toucher l’Egypte, ses religions et son pharaon dont l’obstination et l’opposition à Jéhovah ressemblent étrangement à celles de Satan.
Pour permettre de sauver les premiers nés israélites de la dernière plaie qui va s'abattre sur l'Egypte, Dieu demande tout un cérémonial basé sur la mort d’un agneau et l’utilisation de son sang.
De cette façon, presque littéralement, Dieu achète ces premiers-nés au point où il les réclamera quelque temps plus tard pour en faire une tribu dédiée à son service religieux, les lévites.
Ainsi, les premiers nés sauvés par l’agneau pascal deviennent des prêtres pour Dieu et vont constituer l’interface entre Dieu et les 12 autres tribus dans la gestion et le pardon de leurs péchés.
La nation va ensuite être organisée ainsi: 12 tribus vont se partager la terre promise, ce qui ne sera pas le cas de la tribu de Lévi, consacrée au culte et au service sacré dans le temple.
Cette tribu vivra répartie dans le territoire des 12 autres tribus, sans posséder un territoire.
Ainsi, il n’y a pas, concrètement, de partie de la terre promise réservés aux prêtres qui, cependant, existent pour servir les 12 tribus dans leurs relations avec Dieu.
Simplifions encore un peu pour en faire une “ombre” .
12 tribus se voient offrir la terre promise, et une tribu, les Lévites, est désignée comme appartenant à Dieu qui nomme ses membres “premiers-nés” et ne les autorise pas à posséder une partie de la terre promise.
Si vous êtes témoin de Jéhovah, vous venez de découvrir la petite porte, l'énigme, l'élément qui confirme que vous avez bien compris.
Ce schéma peut il parler à un catholique, un orthodoxe, un mormon, un protestant ?
Absolument pas. Ils espèrent vivre tous au ciel, la terre promise ne leur parle pas, et la notion de prêtrise à part aussi, avec un avenir différent des autres humains, tout cela leur est totalement inconnu.
Par contre, un témoin de Jéhovah espère hériter d’un petit bout de terre pour l’immense majorité d’entre eux alors qu’une minorité s’attend à rejoindre Jésus au ciel en qualité de prêtre, achetés comme premiers-nés grâce au sang de l’agneau, Jésus, qui sera leur grand-prêtre.
Des humains sur la terre, des prêtres, au ciel, prêtres achetés de la terre.
C’est exactement la construction simplifiée mais fidèle que nous propose Moïse dans la Torah qui, comme Paul l’a dit et démontré, est un ombre des choses à venir.
Paul, dans sa lettre aux hébreux, comprendra cette notion d’ombre et l’expliquera pour nous faire comprendre que ce qui se passait dans le temple était aussi une mise en scène faisant office de prophétie.
Voici, simplifiée, la description de la tente de la rencontre qui deviendra le temple :
Tu placeras l’autel des holocaustes devant l’entrée du tabernacle, la tente de la rencontre, et tu placeras le bassin entre la tente de la rencontre et l’autel, et tu y mettras de l’eau. Puis installe la cour tout autour, ainsi que le voile de l’entrée de la cour
La cour dont il est question était aussi appelée la cour des prêtres.
Ensuite il fit la cour des prêtres et la grande cour, ainsi que les portes pour la grande cour, et il recouvrit les portes de cuivre. 2 Chron 4:9.
La grande cour n’existait pas dans le tabernacle voulu par Dieu dans le désert, seule la cour des prêtres , appelée tout simplement “la cour” était prévue avec une structure démontable qui la délimitait.
C’est cette construction-là qui fait partie de la Torah, la Loi selon Paul, qui constitue l’ombre des choses à venir, ou plus simplement une image simplifiée de ce que Dieu ferait plus tard.
A ce stade, nous concluons facilement ceci : si les 12 tribus avaient la jouissance de la totalité de la terre promise, aucun de ses membres n’était autorisé, dans le fonctionnement rituel du temple, à se trouver dans la cour ou dans l’une quelconque des deux pièces du tabernacle que Paul définit ainsi en Hébreux 9:1.
L’alliance précédente avait pour sa part des exigences légales pour le service sacré et son lieu saint terrestre. En effet, on avait construit le premier compartiment de la tente, dans lequel se trouvaient le porte-lampes et la table avec les pains de présentation ; on l’appelle le Lieu Saint. Mais derrière le deuxième rideau se trouvait le compartiment de la tente appelé le Très-Saint.
Ainsi, dans l’ombre des choses à venir, seuls les membres de la tribu de Lévi, ceux que Dieu a nommés “les premiers-nés”, étaient autorisés à officier dans l’ensemble de la structure liée au sanctuaire, cour intérieure incluse.
L’ombre nous apprend donc la volonté de Dieu, pour cette nation d'Israël primitive, de séparer le peuple en deux classes, les 12 tribus occupant et cultivant la terre, et une 13ème tribu, les Lévites, attachés à la prêtrise, sans prétention liée à un territoire de la terre promise, et dont la fonction sera exclusivement lié à l’exercice du culte. Même la fonction de soldat leur sera interdite.
Paul affinera son explication concernant le deuxième rideau.
Ces choses ayant été construites de cette façon, les prêtres entrent régulièrement dans le premier compartiment de la tente pour accomplir les services sacrés ; mais le grand prêtre entre seul dans le deuxième compartiment une fois par an, non sans apporter du sang, qu’il offre pour lui-même et pour les péchés involontaires du peuple.
Ce que Paul va comprendre, c’est le rôle du rideau qui, dans l’ombre des choses à venir, interdisait physiquement le passage du “Saint” vers le "Très-saint" à tous ceux qui, bien que prêtres, pouvaient se trouver dans le “Saint” dans l’exercice de leur service sacré.
Paul n’ignorait pas ce qui peut sembler être un détail rapporté en Mat 27:50.
De nouveau Jésus poussa un grand cri, puis il rendit son esprit. Et, voyez, le rideau du sanctuaire se déchira en deux, de haut en bas
Matthieu ne fait que rapporter factuellement cet événement, mais il ne le commentera pas, peut-être parce qu’il ne comprenait pas encore sa signification.
Paul, de son côté, a compris et il l’explique.
Nous avons cette espérance comme une ancre pour l’âme, à la fois sûre et ferme, et elle pénètre derrière le rideau, là où un précurseur est entré en notre faveur, Jésus.
Un précurseur étant une personne qui a frayé ou ouvert une voie pour d’autres, nous comprenons que Paul avait compris que le rideau n’empêchera plus ceux qui ont l’espérance de suivre Jésus là où il est allé.
Paul ajoute:
Ainsi, frères, puisque nous avons, par le sang de Jésus, de l’assurance pour utiliser la voie d’accès au lieu saint, voie qu’il a ouverte pour nous comme un chemin nouveau et vivant à travers le rideau, c’est-à-dire sa chair
Le doute n’est plus permis, le temple et ce qui le caractérise constituent bien une ombre des choses à venir et Paul assimile le rideau à l’entrée d’une voie ou d’un chemin menant au lieu le plus saint qui soit. La référence à la chair de Jésus, qui serait le rideau, impose que ce lieu soit au ciel.
Nous comprenons maintenant facilement pour quelle raison les prêtres, dans l'ombre des choses à venir, n'avaient pas de part au territoire de la terre promise, ils étaient symboliquement en attente, devant le rideau, de monter vivre au ciel.
Ils attendaient que le passage leur soit ouvert un jour..
Tirons les leçons de ces déductions de Paul.
l’ombre des choses à venir ne laisse aucun doute sur le fait que deux groupes de personnes sont représentés dans cette évocation prophétique.
Les 12 tribus beaucoup plus étoffées en termes de population que les Lévites qui eux ont une vie complètement à part et différente que les autres Israélites.
Paul savait que seuls les prêtres accédaient à la cour et encore plus au “Saint” et qu’il était impossible à un membre des 12 autres tribus de se trouver légalement dans cette pièce.
Sa présence lui aurait valu la mort sans le moindre doute.
Or, ce que Paul comprend, c’est que le rideau n’est plus un obstacle au passage du “saint” vers le “Très-Saint” à la condition que les personnes présentes dans le “Saint” soient légalement autorisées à s’y trouver. Elles doivent donc être des premiers-nés, des prêtres.
L’autre constatation qui se pose est relativement simple à comprendre : dans l’organisation du peuple d'Israël, il n’y a aucune différence de reconnaissance et de bénédictions offertes par Dieu que l’on soit des 12 tribus ou de la tribu des prêtres;
Dieu les aime autant. Les 12 tribus, par leurs dons et offrandes participent au bien être des prêtres, et ces mêmes prêtres, par leur service au temple permettent des relations apaisées avec Dieu en rapport avec le pardon des péchés.
Ainsi être prêtre n’apportait aucun avantage sur un membre des 12 tribus et le contraire se vérifiait aussi; Il s’agit d’une organisation où chacun, dans sa fonction, contribue au bonheur de tous les autres.
Paul n’apporte également aucune explication sur le fait que la prêtrise serait offerte à tous, et donc, dans l’ombre fournie par la Loi, aux 12 tribus d'Israël.
Il va même dans l’autre sens en Hébreux 10.
Mais vous vous êtes approchés du mont Sion et de la ville du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, et de myriades d’anges tous réunis, et de l’assemblée des premiers-nés qui ont été inscrits dans le ciel, et de Dieu le Juge de tous
En français comme en hébreu ou en grec, l’expression “premiers-nés” implique une conséquence incontournable.
S’il y a un premier-né , c’est qu’il y a d’autres enfants car cette expression est expressément conçue pour identifier un individu par rapport à sa fratrie. S’il n’y avait pas d’autres enfants, et donc des frères et sœurs, Paul aurait employé l’expression “fils ou fille” unique.
Certes un premier-né peut être individuellement un fils unique car il reste le premier; mais collectivement, la désignation d’un groupe de premiers-nés implique sans qu’il ne soit nécessaire même de le dire, l’existence d’un groupe de cadets par rapport à ces premiers enfants.
On retrouve cette idée en Rév 14:4.
Ce sont ceux qui continuent à suivre l’Agneau où qu’il aille. Ils ont été achetés parmi les humains comme premiers fruits pour Dieu et pour l’Agneau
Ce texte décrit les 144000 et nous y retrouvons les marqueurs apportés par Paul dans les textes que nous avons vus à savoir que ces 144000 sont ceux (expression limitative) qui suivent Jésus où qu’il aille, sous-entendu: à travers le rideau et vers le Père.
Nous nous intéresserons à l'expression "premiers fruits” qui est à rapprocher de l’expression “premiers-nés”.
Ici, désigner les 144000 comme étant les premiers fruits nous impose littéralement l’idée qu’il y aura d’autres fruits. Et comme ces premiers fruits sont des êtres humains, les autres fruits le seront aussi.
Il y aura donc d’autres humains, qui ne sont pas ceux qui suivent l’agneau où qu’il aille puisque le texte vient de les désigner auparavant, mais qui seront considérés comme le reste de la récolte à venir, sans doute majoritaire.
J’ai parlé d’indices. Ces indices sont peu nombreux, mais suffisamment énigmatiques et précis pour inciter à les étudier et à dérouler le fil pour en comprendre le sens.
Certains vont nous sembler évident, parce que nous les lisons encore et encore, depuis des années, d’autres ont gardé une part de mystère et nous interrogent à chaque fois que nous les lisons dans la bible.
Ainsi, Jean Baptiste qui nomme Jésus,”
l’agneau de Dieu”. C’est évident et presque banal pour nous, mais cela nous renvoie au commencement de l’énigme, car tout le christianisme est bâti sur cette affirmation.
Un autre texte nous surprend aussi :
« Vraiment je vous le dis, lors de la recréation, quand le Fils de l’homme s’assiéra sur son trône glorieux, vous qui m’avez suivi, vous siégerez sur 12 trônes pour juger les 12 tribus d’Israël “
Tous ici nous savons qu’il y a un morceau de mystère dans cette phrase puisque Paul, aux Corinthiens , dira :
Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde ?
Alors pourquoi les 12 tribus ?
Jean fera la même expérience :
Rév 5 :
« Tu es digne de prendre le rouleau et d’en ouvrir les sceaux, car tu as été tué et avec ton sang tu as acheté pour Dieu des gens de toute tribu, et langue, et peuple, et nation, 10 et tu as fait d’eux un royaume et des prêtres pour notre Dieu, et ils doivent être rois et gouverner la terre. »
Rév 7:
Et j’ai entendu le nombre de ceux qui ont été scellés : 144 000, scellés de toutes les tribus des fils d’Israël.
Pourquoi cette contradiction ? Sauf si ce n’est pas une contradiction et si cela nous offre un indice nous conduisant à l’énigme.
Il n’y a que deux hypothèses en fait :
- il s’agit d’une contradiction.
Il s'agit d’un indice qui nous explique que les 12 tribus étaient une image des nations.
a suivre quand j'aurais plus de temps !!