La réincarnation existe, je vous en donne la preuve.
Posté : 16 sept.21, 00:07
Prologue : Merci de me donner l'occasion de rajouter de l'eau vive à mon puits de savoir toi qui te pose des questions car en cherchant moi une réponse à ton attention j'augmente mes connaissances.
Mes commentaires de Job 14 qu'il faut lire du début à la fin pour comprendre :
Comment un homme livré à lui même alors qu'il a coupé le cordon ombilical peut il se racheter de ses péchés puisque maintenant il est livré à lui même ?
Il ne peut rien sortir d'un homme livré à lui même, rien de bon.
Si durant les jours de sa vie, cet homme n'a rien fait pour sauver son âme, du temps lui est donné encore afin qu'il se ressaisisse et entende raison avec un esprit de mercenaire pour manger la vie comme on croque un fruit, à pleine dents, afin qu'il récolte une indemnité, un salaire, le salaire du vainqueur du pécheur sur le péché.
Un arbre lui a toujours espoir de vivre, il est coupé, il repousse et il produit d'autres branches, mais un homme mort et puis ensuite ?
Lacs et fleuves par la condensation s'évaporent, comme l'homme meurt et il ne reste rien de lui.
Oh si D.IEU pouvait me cacher dit Job dans un no man'land et juste me sortir juste lorsque ta colère contre moi sera passée Seigneur.
Si je savais qu'après ma mort je pouvais encore une fois revivre j'aurais de l'espoir de me refaire, de me faire une santé spirituelle dans les vies qui suivent.
Et dans ces vies nouvelles, tu m'appellerais Seigneur dit Job et moi je t'entendrais et je répondrais, nous pourrions entamer une dialogue durable en amitié
Mais aujourd'hui il n'en est rien, tu regardes le moindre de mes gestes, tu me jauges, tu me juges, et tu ne vois que mes péchés.
Mes transgressions sont marquées au fer rouge, et déjà tu projettes les conséquences de mes péchés dans mon futur.
La montagne s'écroule, le rocher n'existe plus là où il fut, tu le mets ici et à droite, tu lui changes son aspect, puis tu le reposes ici et je comprends que pour moi c'est la même chose, la montagne c'est moi et je m'écroule car je décède, le rocher c'est moi, il était en Israël et il va se retrouver en Chine peut être, tu changes mon aspect, tu me fais Chinois ou Mongol, tu me poses là et tu me reposes là, je parcours l'humanité et j'ai enfin compris que j'ai plusieurs vies pour avoir toutes les chances de mon côté pour me racheter de mes péchés. Si mes progénitures sont des gens de bien ou qu'ils sont des gens qui font le mal, je n'en saurais jamais rien, le parcours c'est le mien, chacun son Chemin, chacun sa route, c'est un travail collectif pour que l'individu se sublime.
Job 14
Mes commentaires de Job 14 qu'il faut lire du début à la fin pour comprendre :
Comment un homme livré à lui même alors qu'il a coupé le cordon ombilical peut il se racheter de ses péchés puisque maintenant il est livré à lui même ?
Il ne peut rien sortir d'un homme livré à lui même, rien de bon.
Si durant les jours de sa vie, cet homme n'a rien fait pour sauver son âme, du temps lui est donné encore afin qu'il se ressaisisse et entende raison avec un esprit de mercenaire pour manger la vie comme on croque un fruit, à pleine dents, afin qu'il récolte une indemnité, un salaire, le salaire du vainqueur du pécheur sur le péché.
Un arbre lui a toujours espoir de vivre, il est coupé, il repousse et il produit d'autres branches, mais un homme mort et puis ensuite ?
Lacs et fleuves par la condensation s'évaporent, comme l'homme meurt et il ne reste rien de lui.
Oh si D.IEU pouvait me cacher dit Job dans un no man'land et juste me sortir juste lorsque ta colère contre moi sera passée Seigneur.
Si je savais qu'après ma mort je pouvais encore une fois revivre j'aurais de l'espoir de me refaire, de me faire une santé spirituelle dans les vies qui suivent.
Et dans ces vies nouvelles, tu m'appellerais Seigneur dit Job et moi je t'entendrais et je répondrais, nous pourrions entamer une dialogue durable en amitié
Mais aujourd'hui il n'en est rien, tu regardes le moindre de mes gestes, tu me jauges, tu me juges, et tu ne vois que mes péchés.
Mes transgressions sont marquées au fer rouge, et déjà tu projettes les conséquences de mes péchés dans mon futur.
La montagne s'écroule, le rocher n'existe plus là où il fut, tu le mets ici et à droite, tu lui changes son aspect, puis tu le reposes ici et je comprends que pour moi c'est la même chose, la montagne c'est moi et je m'écroule car je décède, le rocher c'est moi, il était en Israël et il va se retrouver en Chine peut être, tu changes mon aspect, tu me fais Chinois ou Mongol, tu me poses là et tu me reposes là, je parcours l'humanité et j'ai enfin compris que j'ai plusieurs vies pour avoir toutes les chances de mon côté pour me racheter de mes péchés. Si mes progénitures sont des gens de bien ou qu'ils sont des gens qui font le mal, je n'en saurais jamais rien, le parcours c'est le mien, chacun son Chemin, chacun sa route, c'est un travail collectif pour que l'individu se sublime.
Job 14
- 1 L'homme né de la femme ! Sa vie est courte, sans cesse agitée.
2 Il naît, il est coupé comme une fleur; Il fuit et disparaît comme une ombre.
3 Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert ! Et tu me fais aller en justice avec toi!
4 Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur ? Il n'en peut sortir aucun.
5 Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir,
6 Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu'il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée.
7 Un arbre a de l'espérance : Quand on le coupe, il repousse, Il produit encore des rejetons;
8 Quand sa racine a vieilli dans la terre, Quand son tronc meurt dans la poussière,
9 Il reverdit à l'approche de l'eau, Il pousse des branches comme une jeune plante.
10 Mais l'homme meurt, et il perd sa force; L'homme expire, et où est-il?
11 Les eaux des lacs s'évanouissent, Les fleuves tarissent et se dessèchent;
12 Ainsi l'homme se couche et ne se relèvera plus, Il ne se réveillera pas tant que les cieux subsisteront, Il ne sortira pas de son sommeil.
13 Oh! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi!
14 Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.
15 Tu appellerais alors, et je te répondrais, Tu languirais après l'ouvrage de tes mains.
16 Mais aujourd'hui tu comptes mes pas, Tu as l'oeil sur mes péchés;
17 Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge.
18 La montagne s'écroule et périt, Le rocher disparaît de sa place, 19 La pierre est broyée par les eaux, Et la terre emportée par leur courant; Ainsi tu détruis l'espérance de l'homme.
20 Tu es sans cesse à l'assaillir, et il s'en va; Tu le défigures, puis tu le renvoies.
21 Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.
22 C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur en son corps, C'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse en son âme.