Pour toi enfant souffrant
Posté : 03 mai22, 01:25
J'écris d'une main moite et tremblante;
M'inventant une vie autre;
Masquant ce que j'ai de plus grand;
Pleurant ce que je perd enfouit;
Me reste que la bêtise, cachant ma volonté;
D'une main apeurée, je me défend.
D'un élan frivole, n'ouvrant que l'mage;
Quand ma vérité se disperse, le faut m'éprend;
La mort se présente par seul ami que j'invoque;
Un cinéma s'ouvre y portant le talon;
Dans un pas ferme d'ailleurs où le noir serpente;
D'un élan perdu, la tiédeur m'oublie;
La bataille propagé, la sueur s'enfonce;
Se sentir qu'un éléphant parmi les fleurs;
Partir du désert silencieux vers les ailes du temps;
Où l'amour qui se perd, vie un chagrin éperdu;
Où se livre sommeil et le magnétisme;
Une bataille perdu où rien ne se récupère;
Une vaque qui déferle sous les étoiles;
Une existence qui recule frissonnante;
D'une prière qui écho dans un coeur frileux;
Une danse qui rigole tournoyant sur le feu;
Redanse avec moi dormant dans nos rêves;
Là où l'existence dort sur les vagues.
Du plus grand au plus petit de ses sens;
L'heure se fige et un sanglot s'enfuit;
Un souvenir qui trépasse le film;
Un flirt qui s'adoucit d'un baisé tressé et parfumé;
D'après et d'auprès la cadence du pouls;
Magnifique se qui se présente auprès d'un flirt éternel.
Un passé qui rappelle l'Émerveillement;
Le présent qui s'émerveille du passé et des possibilités;
Dans un futur qui hisse les racines d'hier;
Qu'un ombre qui s'oublie sur une couleur ardente;
L'Éden tant espéré se découvre tel le masque qui tombe;
Alors le chemin des possibles s'ouvrira.
Qu'une farce se hisse en violation d'une vibration;
Un cauchemar qui se voulait n'être qu'une peur refoulée;
D'une fleur qui se tient sur une planète dévastée;
Une vie qui s'étend dans une infinie éprise;
Quittant un coeur dévoilé vers des brumes;
L'amas des sens dévoilant qui je suis.
Verse une larme de joie ou de peine;
Fleurira de soi l'Éternel dans toute sa splendeur;
Quitte le vent et arrose le printemps;
Prend le soleil et greffe le en toi;
Un courage s'élèvera et emportera la nuit;
S'ouvrira l'horizon qui t'a toujours animé.
Laisse aller le vents et tempêtes;
Regarde le soleil s'ouvrant en toi;
Où il était une fois nous;
D'où le sens est toujours présent;
J'apprend en toi et pour toi à l'Imparfait infini;
N'oublie juste pas que jamais je ne t'oublierai.
Signé, La vie.
M'inventant une vie autre;
Masquant ce que j'ai de plus grand;
Pleurant ce que je perd enfouit;
Me reste que la bêtise, cachant ma volonté;
D'une main apeurée, je me défend.
D'un élan frivole, n'ouvrant que l'mage;
Quand ma vérité se disperse, le faut m'éprend;
La mort se présente par seul ami que j'invoque;
Un cinéma s'ouvre y portant le talon;
Dans un pas ferme d'ailleurs où le noir serpente;
D'un élan perdu, la tiédeur m'oublie;
La bataille propagé, la sueur s'enfonce;
Se sentir qu'un éléphant parmi les fleurs;
Partir du désert silencieux vers les ailes du temps;
Où l'amour qui se perd, vie un chagrin éperdu;
Où se livre sommeil et le magnétisme;
Une bataille perdu où rien ne se récupère;
Une vaque qui déferle sous les étoiles;
Une existence qui recule frissonnante;
D'une prière qui écho dans un coeur frileux;
Une danse qui rigole tournoyant sur le feu;
Redanse avec moi dormant dans nos rêves;
Là où l'existence dort sur les vagues.
Du plus grand au plus petit de ses sens;
L'heure se fige et un sanglot s'enfuit;
Un souvenir qui trépasse le film;
Un flirt qui s'adoucit d'un baisé tressé et parfumé;
D'après et d'auprès la cadence du pouls;
Magnifique se qui se présente auprès d'un flirt éternel.
Un passé qui rappelle l'Émerveillement;
Le présent qui s'émerveille du passé et des possibilités;
Dans un futur qui hisse les racines d'hier;
Qu'un ombre qui s'oublie sur une couleur ardente;
L'Éden tant espéré se découvre tel le masque qui tombe;
Alors le chemin des possibles s'ouvrira.
Qu'une farce se hisse en violation d'une vibration;
Un cauchemar qui se voulait n'être qu'une peur refoulée;
D'une fleur qui se tient sur une planète dévastée;
Une vie qui s'étend dans une infinie éprise;
Quittant un coeur dévoilé vers des brumes;
L'amas des sens dévoilant qui je suis.
Verse une larme de joie ou de peine;
Fleurira de soi l'Éternel dans toute sa splendeur;
Quitte le vent et arrose le printemps;
Prend le soleil et greffe le en toi;
Un courage s'élèvera et emportera la nuit;
S'ouvrira l'horizon qui t'a toujours animé.
Laisse aller le vents et tempêtes;
Regarde le soleil s'ouvrant en toi;
Où il était une fois nous;
D'où le sens est toujours présent;
J'apprend en toi et pour toi à l'Imparfait infini;
N'oublie juste pas que jamais je ne t'oublierai.
Signé, La vie.