Le temps de dire: Soupir !
Posté : 08 juin22, 09:55
Nous naissons dans une chanson d'amour.
Nous naissons dans la vie sur une note de vibration.
De nos coeurs étoilés, se sachant seul l'Étoile né.
Un tourment s'approchant, déclarant vaillant sa folie.
Une brique se plaçant, au détriment d'un rayon d'étoile.
Quand nos yeux se meuvent, là est l'horizon d'un faisceau lointain.
Quand même la distance n'est qu'un pas.
Un coeur frémit la solitude sorti du bras de l'infini.
Le vent s'approche se cachant derrière un volcan.
Une autre brique se place, au détriment d'un rayon d'étoile.
Nous étions enfant, nous voilà maintenant battant.
Quand même le vent tournoyant nous glisse entre les doigts.
Un coeur à rompre les branches d'un lilas et une feuille qui embrasse le temps.
Une vague qui déferle à nos pieds emportant le sable sous nos pieds.
Une autre brique s'emboîta tel la montagne se hissa.
Se laissant emporté vaillant et savant.
Quand le temps nous indique un pas dans un tourment d'une violence.
Un coeur saignant du trépas qui s'installa.
Un tremblement se forme entrainant avec lui un temps serein.
Une autre brique se hisse au détriment d'un rayon de son étoile.
Avançant, lentement ou violement, dans l'ombre qui jadis nourrisson.
Emportant le vent et la marrée dans le firmament.
Un coeur assombrissant avant même la réalisation.
Un frisson s'installe au coeur du nombre et se détache une feuille de la branche.
Une forteresse se monte remplaçant les vierge contrés.
L'enfant s'écriant les S et les OS de sa propre prison.
Quand bien même un temps où le soleil s'est vu prenant.
Un coeur de souvenant galaxie et firmament.
Un soupir renaissant d'un souvenir miroitant.
Une pierre qui s'inflige les derniers rayons passant.
Les étoiles revinrent chercher l'étoile qui s'était éloigné.
Se servant même de l'empreinte festoyant d'antan.
Que même le temps ne peut supporter l'Éprouvant.
La sagesse qui se hisse autrement dans un tourbillon qui s'imbriquant.
Une pierre qui se déplace d'un jeu forteresse qui ne demande que pardon.
C'est alors que l'enfant, jadis naissant, deviendra sultan et patient.
Quand bien même ses soeurs étoilées la recouvrèrent.
Un coeur chassant la honte qui lui a servi rempart.
Une apocalypse demandée soufrant derrière les murs d'une vie.
Un coeur de pierre se souvenant et s'écriant miséricorde à l'infini.
Se rappelant l'essaim du vergé dans un temps lointain.
Quand fût déposé sur le sol l'empreinte d'une étoile.
Le temps de dire merci et encore merci.
Le combat du guerrier s'assoupit sous l'étreinte du repos demandé.
Un coeur alors s'ouvrira enfin, retrouvé dans l'infini tourment.
Dragonblanc, dans l'infini-étoilés
Nous naissons dans la vie sur une note de vibration.
De nos coeurs étoilés, se sachant seul l'Étoile né.
Un tourment s'approchant, déclarant vaillant sa folie.
Une brique se plaçant, au détriment d'un rayon d'étoile.
Quand nos yeux se meuvent, là est l'horizon d'un faisceau lointain.
Quand même la distance n'est qu'un pas.
Un coeur frémit la solitude sorti du bras de l'infini.
Le vent s'approche se cachant derrière un volcan.
Une autre brique se place, au détriment d'un rayon d'étoile.
Nous étions enfant, nous voilà maintenant battant.
Quand même le vent tournoyant nous glisse entre les doigts.
Un coeur à rompre les branches d'un lilas et une feuille qui embrasse le temps.
Une vague qui déferle à nos pieds emportant le sable sous nos pieds.
Une autre brique s'emboîta tel la montagne se hissa.
Se laissant emporté vaillant et savant.
Quand le temps nous indique un pas dans un tourment d'une violence.
Un coeur saignant du trépas qui s'installa.
Un tremblement se forme entrainant avec lui un temps serein.
Une autre brique se hisse au détriment d'un rayon de son étoile.
Avançant, lentement ou violement, dans l'ombre qui jadis nourrisson.
Emportant le vent et la marrée dans le firmament.
Un coeur assombrissant avant même la réalisation.
Un frisson s'installe au coeur du nombre et se détache une feuille de la branche.
Une forteresse se monte remplaçant les vierge contrés.
L'enfant s'écriant les S et les OS de sa propre prison.
Quand bien même un temps où le soleil s'est vu prenant.
Un coeur de souvenant galaxie et firmament.
Un soupir renaissant d'un souvenir miroitant.
Une pierre qui s'inflige les derniers rayons passant.
Les étoiles revinrent chercher l'étoile qui s'était éloigné.
Se servant même de l'empreinte festoyant d'antan.
Que même le temps ne peut supporter l'Éprouvant.
La sagesse qui se hisse autrement dans un tourbillon qui s'imbriquant.
Une pierre qui se déplace d'un jeu forteresse qui ne demande que pardon.
C'est alors que l'enfant, jadis naissant, deviendra sultan et patient.
Quand bien même ses soeurs étoilées la recouvrèrent.
Un coeur chassant la honte qui lui a servi rempart.
Une apocalypse demandée soufrant derrière les murs d'une vie.
Un coeur de pierre se souvenant et s'écriant miséricorde à l'infini.
Se rappelant l'essaim du vergé dans un temps lointain.
Quand fût déposé sur le sol l'empreinte d'une étoile.
Le temps de dire merci et encore merci.
Le combat du guerrier s'assoupit sous l'étreinte du repos demandé.
Un coeur alors s'ouvrira enfin, retrouvé dans l'infini tourment.
Dragonblanc, dans l'infini-étoilés