Parole du dragon; Quand la mort nous ouvre l'esprit
Posté : 28 juin22, 12:41
Je suis la tristesse pour avoir compagnon celui qui s'autodétruit.
Je suis la joie pour avoir comme compagnon celui qui sait s'aimer et s'émerveiller.
Je suis le doute pour avoir comme compagnon celui qui ne sait ce qu'il est.
Je suis la mort quand celui qui m'accompagne se veut destructeur de la vie.
Je suis la vie quand celui qui se voulait destructeur revient l'amour en lui.
Je suis la patience quand j'ai comme compagnon le certitude.
Je suis la peine quand j'ai comme compagnon le mensonge.
Je suis la voie quand j'ai comme compagnon la vérité.
Nul doute que je soit tout cela, et même si je suis porté dans les vents et marrées de mon être, je serai toujours où je suis.
Nul doute que dans la joie et dans la peine, je serai toujours où je suis.
Nul doute que le doute est présent dans mon être, car mensonge est encore écrit dans mes os.
Nul doute que la vie fait parti d'une parcelle où je suis sis allègrement.
Nul doute que celui qui me voit, je le verrai aussi.
Nul doute que la mort me prépare, car la vie s'ouvre devant moi.
Nul doute que la perte d'un compagnon me permet d'apprendre jusqu'où je l'ai laissé entrer dans mon coeur.
Nul doute que je suis, car autrement vous ne seriez pas là.
Le ciel est parsemé de nuages, d'oiseaux, de papillons, et c'est le vent qui les portent là où ils seront.
La terre est parsemé de végétation, d'animaux et d'insecte; Interférant entre le ciel et les océans.
Les étendus d'eau sont parsemés de poissons, de végétations, et j'en passe; Quand on y plonge, l'oiseau nait.
Quand les forces se réunissent, une planète se meut, là où la vie prend tout ses sens.
Je vois, j'écoute, je goûte, je touche, je sent, je respire, je bois, je ressens...
Mais au détriment de tout mes sens, une seul s'impose adéquatement, alors je suis... Je ressens...
Nul doute que ce que je suis car je ressens les forces de la vie.
Je suis la joie pour avoir comme compagnon celui qui sait s'aimer et s'émerveiller.
Je suis le doute pour avoir comme compagnon celui qui ne sait ce qu'il est.
Je suis la mort quand celui qui m'accompagne se veut destructeur de la vie.
Je suis la vie quand celui qui se voulait destructeur revient l'amour en lui.
Je suis la patience quand j'ai comme compagnon le certitude.
Je suis la peine quand j'ai comme compagnon le mensonge.
Je suis la voie quand j'ai comme compagnon la vérité.
Nul doute que je soit tout cela, et même si je suis porté dans les vents et marrées de mon être, je serai toujours où je suis.
Nul doute que dans la joie et dans la peine, je serai toujours où je suis.
Nul doute que le doute est présent dans mon être, car mensonge est encore écrit dans mes os.
Nul doute que la vie fait parti d'une parcelle où je suis sis allègrement.
Nul doute que celui qui me voit, je le verrai aussi.
Nul doute que la mort me prépare, car la vie s'ouvre devant moi.
Nul doute que la perte d'un compagnon me permet d'apprendre jusqu'où je l'ai laissé entrer dans mon coeur.
Nul doute que je suis, car autrement vous ne seriez pas là.
Le ciel est parsemé de nuages, d'oiseaux, de papillons, et c'est le vent qui les portent là où ils seront.
La terre est parsemé de végétation, d'animaux et d'insecte; Interférant entre le ciel et les océans.
Les étendus d'eau sont parsemés de poissons, de végétations, et j'en passe; Quand on y plonge, l'oiseau nait.
Quand les forces se réunissent, une planète se meut, là où la vie prend tout ses sens.
Je vois, j'écoute, je goûte, je touche, je sent, je respire, je bois, je ressens...
Mais au détriment de tout mes sens, une seul s'impose adéquatement, alors je suis... Je ressens...
Nul doute que ce que je suis car je ressens les forces de la vie.