Je ne dis guerre !
Posté : 04 juil.22, 07:07
Guerre je serai, guerre, tu seras donc guerre il y aura.
Ces mots ne vous paraissent-ils pas intrinsèquement liés à nous tous ?
Nous qui sommes le reflet de la grogne qui sommeil en nous.
Que l'on brandisse l'épée au nom de la justice ou de la liberté; Que l'on brandisse le glaive contre vent et marrée.
Le glaive reste le glaive.
N'a-t-on jamais entendu ou lu que celui qui brandira l'épée périra par l'épée ?
Mais de quelle épée parlait celui qui a cité cette parabole ?
Ne nous a-t-il pas aussi dit que: Je suis venu mettre l'épée entre le père et le fils ?
Mais quelle est donc cette épée employée dans la bouche de celui qui parlait au nom du Père ?
Vous, moi, qui sommes porté à la défense de quelque chose, de quelqu'un, d'une idée ou même d'un mensonge bien ficelé; Nous qui se portons guerrier sans même comprendre d'où nous vient cette facette guerrière a se défendre et à défendre.
Ne sommes nous pas l'épée tant mentionné de toute notre être quand vient le temps d'être rempart ?
Mais rempart en quoi ? En nous de ce que nous sommes ? En nous de ce que nous voyons de nous en l'autre ?
L'amour qui nous a animé n'est-il pas devenu haine quand cet amour ne nous parait plus accessible ?
Comment se forme la haine qui se glisse en nous ? Est-elle là depuis le début attendant le bon prétexte pour se faire épée avenant ?
Faut-il alors trop aimer afin d'apaiser cette haine qui semble prendre possession de nous ?
Ou faut-il moins aimer afin d'apaiser la haine grandissante à cause d'un amour perdu et flagellant ?
Avons-nous seulement en nous l'harmonie entre l'amour et la haine qui semble se nourrir ensemble ?
Mais qu'est-ce donc l'épée qui se veut entre le Père et le fils et qui se veut de nous faire périr en nous ?
Ne pourrait-elle pas être la balance entre notre amour et notre haine ou entre notre côté guerrier et notre côté pacifique ?
De notre mental versus notre coeur, n'y a-t-il pas l'épée dans toute sa splendeur ou toute sa terreur ?
Que se soit nos idées enfants ou nos idées rendues grands ou même de notre propre valeur sur celle des autres, Nous ferons-nous guerrier ou pacifique ? Peut-on seulement se tenir d'une main le guerrier et de l'autre le pacifique de nous ?
Que devenons-nous quand on se convainc qu'on est pacifique et qu'on agresse physiquement, intellectuellement ou de façon profonde dans les sentiments, que sommes nous donc devenu, nous qui étions amour, paix et plein de bonnes volontés ?
Le coeur a ses raisons que l'intellect lui se donne de bon coeur.
Est-ce utopique de ce dire cela ? Ou est-ce de bonne guerre de nous en convaincre ?
Sommes-nous en guerre contre nous-même ou contre celui qui ne pense pas et ne voit pas comme nous ?
Sommes-nous en guerre juste par ce qu'on ne peut réfléchir et ressentir le mensonge et que nous prenions position sans même nous demander pourquoi ?
Bref ! Expliquez moi car ce monde me paraît tellement désordonné et tellement insensé.
Ces mots ne vous paraissent-ils pas intrinsèquement liés à nous tous ?
Nous qui sommes le reflet de la grogne qui sommeil en nous.
Que l'on brandisse l'épée au nom de la justice ou de la liberté; Que l'on brandisse le glaive contre vent et marrée.
Le glaive reste le glaive.
N'a-t-on jamais entendu ou lu que celui qui brandira l'épée périra par l'épée ?
Mais de quelle épée parlait celui qui a cité cette parabole ?
Ne nous a-t-il pas aussi dit que: Je suis venu mettre l'épée entre le père et le fils ?
Mais quelle est donc cette épée employée dans la bouche de celui qui parlait au nom du Père ?
Vous, moi, qui sommes porté à la défense de quelque chose, de quelqu'un, d'une idée ou même d'un mensonge bien ficelé; Nous qui se portons guerrier sans même comprendre d'où nous vient cette facette guerrière a se défendre et à défendre.
Ne sommes nous pas l'épée tant mentionné de toute notre être quand vient le temps d'être rempart ?
Mais rempart en quoi ? En nous de ce que nous sommes ? En nous de ce que nous voyons de nous en l'autre ?
L'amour qui nous a animé n'est-il pas devenu haine quand cet amour ne nous parait plus accessible ?
Comment se forme la haine qui se glisse en nous ? Est-elle là depuis le début attendant le bon prétexte pour se faire épée avenant ?
Faut-il alors trop aimer afin d'apaiser cette haine qui semble prendre possession de nous ?
Ou faut-il moins aimer afin d'apaiser la haine grandissante à cause d'un amour perdu et flagellant ?
Avons-nous seulement en nous l'harmonie entre l'amour et la haine qui semble se nourrir ensemble ?
Mais qu'est-ce donc l'épée qui se veut entre le Père et le fils et qui se veut de nous faire périr en nous ?
Ne pourrait-elle pas être la balance entre notre amour et notre haine ou entre notre côté guerrier et notre côté pacifique ?
De notre mental versus notre coeur, n'y a-t-il pas l'épée dans toute sa splendeur ou toute sa terreur ?
Que se soit nos idées enfants ou nos idées rendues grands ou même de notre propre valeur sur celle des autres, Nous ferons-nous guerrier ou pacifique ? Peut-on seulement se tenir d'une main le guerrier et de l'autre le pacifique de nous ?
Que devenons-nous quand on se convainc qu'on est pacifique et qu'on agresse physiquement, intellectuellement ou de façon profonde dans les sentiments, que sommes nous donc devenu, nous qui étions amour, paix et plein de bonnes volontés ?
Le coeur a ses raisons que l'intellect lui se donne de bon coeur.
Est-ce utopique de ce dire cela ? Ou est-ce de bonne guerre de nous en convaincre ?
Sommes-nous en guerre contre nous-même ou contre celui qui ne pense pas et ne voit pas comme nous ?
Sommes-nous en guerre juste par ce qu'on ne peut réfléchir et ressentir le mensonge et que nous prenions position sans même nous demander pourquoi ?
Bref ! Expliquez moi car ce monde me paraît tellement désordonné et tellement insensé.