Le mouchoir et la pensée
Posté : 24 juil.22, 08:56
Le tissage d'un mouchoir déjà bien assiégé dans la pensée, se dispose parfois au chagrin à venir.
Maître mouchoir se penchât et dit: Ô toi au chagrin éternel, viens vers ce blanc immaculé afin de m'y peindre ton essence...
Il se proposât alors un blanc enrichi de vert et de bleu afin que tous, puissent y remarquer la vie.
Maître corbeau voyant ce mouchoir, s'émût de sa beauté.
Et le renard en profitât pour dérober ce trésor si bien admiré.
Ô dit la pensée, que fais-tu de moi ? Et le renard, sans y penser, le mangeât !
C'est alors que la grenouille entreprit sa traversé.
Et que le scorpion, lui, regardât la grenouille tenter de sauver le mouchoir où se trouvait le renard.
Mais l'Histoire dit, la pensée était toujours là au rendez-vous.
Et le mouchoir en sorti d'un blanc tirant sur le brun d'un vert presque bleu...et d'un immense charité reconnue.
Maintenant que mouchoir est tout, qui voudra lui donner larme ?
Pourtant, il est devenu vie et son pelage lui démontre cicatrice.
Seul le scorpion, le pris et traversât l'océan découvrir une autre terre.
Qu'à celui qui entend, entende.
Le dragon allât là, où il a été chemin d'être...
De l'autre côté, le scorpion fit la connaissance d'une cigale, qui donnait le pouls sur le pas des fourmis si travaillantes.
Le scorpion, rendit grâce à la cigale et les travailleuses rentrèrent au bercail.
La reine, s'empressât alors de fournir aux élus de magnifiques ailes car ils avaient tous rendu celle-ci si riche de leur labeur.
Une fois les ouvrières sorties, elles ne purent revenir.
Seul la reine était et la cigale, étant laissé seul, retrouvât ses amis et le chant fût repris.
Ô toi la cigale dit le scorpion, montre nous maintenant où se réfugier.
Le mouchoir fit alors son entrée et couvrirent ceux qui étaient dans la peine d'avoir été chassé.
Une autre saison arrivait, et le mouchoir revint parmi eux d'un blanc immaculé.
C'est ainsi que les cycles se succédèrent et que vint le mouchoir d'une pensée devançant le chagrin.
Qu'un dragon emmena vers les rives l'essence de ses couleurs.
Maître mouchoir se penchât et dit: Ô toi au chagrin éternel, viens vers ce blanc immaculé afin de m'y peindre ton essence...
Il se proposât alors un blanc enrichi de vert et de bleu afin que tous, puissent y remarquer la vie.
Maître corbeau voyant ce mouchoir, s'émût de sa beauté.
Et le renard en profitât pour dérober ce trésor si bien admiré.
Ô dit la pensée, que fais-tu de moi ? Et le renard, sans y penser, le mangeât !
C'est alors que la grenouille entreprit sa traversé.
Et que le scorpion, lui, regardât la grenouille tenter de sauver le mouchoir où se trouvait le renard.
Mais l'Histoire dit, la pensée était toujours là au rendez-vous.
Et le mouchoir en sorti d'un blanc tirant sur le brun d'un vert presque bleu...et d'un immense charité reconnue.
Maintenant que mouchoir est tout, qui voudra lui donner larme ?
Pourtant, il est devenu vie et son pelage lui démontre cicatrice.
Seul le scorpion, le pris et traversât l'océan découvrir une autre terre.
Qu'à celui qui entend, entende.
Le dragon allât là, où il a été chemin d'être...
De l'autre côté, le scorpion fit la connaissance d'une cigale, qui donnait le pouls sur le pas des fourmis si travaillantes.
Le scorpion, rendit grâce à la cigale et les travailleuses rentrèrent au bercail.
La reine, s'empressât alors de fournir aux élus de magnifiques ailes car ils avaient tous rendu celle-ci si riche de leur labeur.
Une fois les ouvrières sorties, elles ne purent revenir.
Seul la reine était et la cigale, étant laissé seul, retrouvât ses amis et le chant fût repris.
Ô toi la cigale dit le scorpion, montre nous maintenant où se réfugier.
Le mouchoir fit alors son entrée et couvrirent ceux qui étaient dans la peine d'avoir été chassé.
Une autre saison arrivait, et le mouchoir revint parmi eux d'un blanc immaculé.
C'est ainsi que les cycles se succédèrent et que vint le mouchoir d'une pensée devançant le chagrin.
Qu'un dragon emmena vers les rives l'essence de ses couleurs.
