Etude de rêve
Posté : 26 juil.22, 02:16
Cette nuit j'ai fait un rêve troublant.
On m'avait confié un bébé.
Le bébé je l'ai mis sur mon ventre derrière mon tricot et le tricot s'est plié le bébé est descendu plus bas, le bébé était dans mon bas ventre, je l'ai même oublié dans mon rêve et le bébé était grand comme une souris toute repliée, comme une feuille de papier presque, soudainement je pense qu'il faut qu'il boit son lait, il ne s'était pas hydraté de la journée, nous étions presque le soir, pas de bibi du matin, ni l'après midi, et je me suis dit que c'était déplorable de ne pas le nourrir. Je déplie le bébé sorti de mon bas ventre, ouf il respire me dis je lui qui était tout plié, je lui donne le bibi, il est vivant, on me l'a confié, je m'en sors bien, il est en vie, ouf je suis assez contente.
C'est une explication freudienne qui me vient et c'est celle ci. Le bébé est un bien précieux que l'on me confie, j'en prend tellement soin que je le loge là où il ne lui arrivera rien à mon sens, j'ai les mains libres et je sens qu'il est là tout va bien, mais le fait de l'oublier soudainement c'est qu'en fait à force de vouloir protéger le précieux, je le cache si bien que j'arrive à l'oublier moi même. Je ne le nourris même pas, je ne fais que le protéger et le surprotéger peut même le faire mourir.
Je pense que je suis trop perfectionniste et à vouloir toujours bien faire en fait je fais mal.
Je me compare un peu à un pharisien qui veut toujours très bien faire et en fait il fait mal.
Je ne m'insulte pas en disant "pharisien" car ce mot est peut être péjoratif mais ces gens là étaient rigoureux dans le bien pas dans le mal.
Il vaut mieux être rigoureux dans le bien qu'être rigoureux dans le mal en moralité.
Il vaut mieux toujours en faire plus quitte à sur protéger et même oublier le sens de la longueur la largeur la hauteur, la dimension autrement dit de notre espace de vie que de rester oisif toute une vie.
Et vos rêves ?
On m'avait confié un bébé.
Le bébé je l'ai mis sur mon ventre derrière mon tricot et le tricot s'est plié le bébé est descendu plus bas, le bébé était dans mon bas ventre, je l'ai même oublié dans mon rêve et le bébé était grand comme une souris toute repliée, comme une feuille de papier presque, soudainement je pense qu'il faut qu'il boit son lait, il ne s'était pas hydraté de la journée, nous étions presque le soir, pas de bibi du matin, ni l'après midi, et je me suis dit que c'était déplorable de ne pas le nourrir. Je déplie le bébé sorti de mon bas ventre, ouf il respire me dis je lui qui était tout plié, je lui donne le bibi, il est vivant, on me l'a confié, je m'en sors bien, il est en vie, ouf je suis assez contente.
C'est une explication freudienne qui me vient et c'est celle ci. Le bébé est un bien précieux que l'on me confie, j'en prend tellement soin que je le loge là où il ne lui arrivera rien à mon sens, j'ai les mains libres et je sens qu'il est là tout va bien, mais le fait de l'oublier soudainement c'est qu'en fait à force de vouloir protéger le précieux, je le cache si bien que j'arrive à l'oublier moi même. Je ne le nourris même pas, je ne fais que le protéger et le surprotéger peut même le faire mourir.
Je pense que je suis trop perfectionniste et à vouloir toujours bien faire en fait je fais mal.
Je me compare un peu à un pharisien qui veut toujours très bien faire et en fait il fait mal.
Je ne m'insulte pas en disant "pharisien" car ce mot est peut être péjoratif mais ces gens là étaient rigoureux dans le bien pas dans le mal.
Il vaut mieux être rigoureux dans le bien qu'être rigoureux dans le mal en moralité.
Il vaut mieux toujours en faire plus quitte à sur protéger et même oublier le sens de la longueur la largeur la hauteur, la dimension autrement dit de notre espace de vie que de rester oisif toute une vie.
Et vos rêves ?