Preuves de l'authenticité des reliques de la Vraie Croix ...
Posté : 13 sept.05, 07:31
Chers Amis,
Grâce à vous, je crois avoir résolu une des plus étonnantes énigmes de l'Histoire, appuyée par quelques 200 témoignages répertoriés, l'existence de lampes PERPÉTUELLES créées pendant l'Antiquité.
Prenons les cas les plus célèbres que j'ai regroupés en 2 origines (mais les fabricants de ces lampes sont les mêmes personnages):
Des lampes qui émettaient encore de la lumière:
(A1) en 1485 à Rome dans la tombe de Tullia, fille de Cicéron morte en 45 avant notre Ère. (fonctionnant toujours après 1530 années), Cicéron échangeait une correspondance avec le Roi Antiochus de Commagène (Capitale Samosate) qu'il admirait pour son oeuvre religieuse.
(A2) en 600, sur l'Île de Nisida, près de Naples, dans un tombeau de marbre pré-chrétien. Il s'agit d'un îlot ayant appartenu à Brutus qui y avait une superbe villa et où Cicéron s'était déja rendu pour conférer avec Brutus. Plusieurs raisons me font croire qu'il s'agissait du tombeau de Brutus, mort en 42 avant notre Ère. (fonctionnant toujours après plus de 650 années)
(A3) vers 160, l'écrivain Lucien de Samosate (120-180) rapporte avoir vu une lampe perpétuelle orner la statue de la Déesse du Temple d'Hiérapolis près de Samosate.
(A4) À Édesse, ville voisine de Samosate, dans une niche murée d'un vieux bâtiment qui remontait à l'époque de J-C, une de ces lampes ET UN CRUCIFIX! furent mis à jour. (fonctionnant toujours après 500 ans)
(A5) Vers 1500, à Padoue en Italie, on trouva une de ces lampes, une offrande à Pluton, portant le nom d'Olybius. Sous le règne de Dioclétien (284-305), cet Olybius fut Préfet romain de Cappadoce et aurait martyrisé Sainte Margaret (ou Marina) dont le père était un Prêtre d'un Temple païen d’Antioche de Pisidie (près de Samosate), ville développée sous l’Empereur romain Octave-Auguste qui régna de 44 avant J-C à 14 après J-C et qui y fit construire un Temple à la Grande Déesse Cybèle. Le martyre de Sainte Margaret, qui résista au feu et à l’immersion, étonnant les foules qui se convertirent devant de prodige, finit décapitée selon la légende catholique. Pour ma part, je crois qu’Olybrius n’en voulait pas tant à la vertu de la vierge martyrisée, mais désirait plutôt faire main basse sur la lampe magique héritée de son père. (la lampe aurait ainsi resisté à l'immersion et au bûcher, et fonctionné pendant plus de 12 siècles)
(B1) en 1846 dans un mausolée découvert sous le Castellum Priscum (vieille forteresse romaine) de Cordoue en Espagne (éclairant encore après plus de 1500 ans)
(B2) en 1539 en Angleterre, dans la ville de York, en démolissant un monastère catholique (sur ordre du schismatique Roi Henry on ouvrit le magnifique tombeau de l’Empereur romain Constance Chlore, mort de maladie en 306 après avoir écrasé une invasion d’Écossais. (la lampe, fonctionnant toujours après au moins 12 siècles, fut détruite sur le champ comme une relique papiste)
Le groupe (A) pointe vers une origine commune, la deuxième moitié du premier siècle avant notre Ère et la Syrie romaine. À cette époque, la Dynastie la plus puissante était celle de la Commagène du Roi Antiochus de Samosate (101-29), le souverain le plus riche de son temps. (un Philosophe philanthrope qui enseigna à Cicéron (entre autres), servit de modèle à Mécène, bras droit d’Auguste, et qui créa une nouvelle religion et une Fédération religieuse regroupant la plupart des États d’Asie Mineure). Le Temple qu’il fit construire sur le Nemrud Dag (en Commagène, aujourd’hui en Turquie) inspira Agrippa, bras gauche d’Octave, pour la construction du Panthéon à Rome (19 avant J-C).
Le groupe (B) pointe aussi vers la Commagène. Relions d’abord (B1) à (B2), Cordoue en Espagne à York en Angleterre. L’évêque de l’Empereur Constantin qui co-présida le fameux premier Concile de Nicée en 325 était Ozius, Évêque de Cordoue (B1), connu aussi pour avoir rencontré le Patriarche Arius (fondateur du schisme Arianisme) à Alexandrie sans pouvoir le ramener aux vues de l’Église de Rome. Constantin était l’auteur des tombeaux (B1) ET (B2) (de son père et de son Évêque). Mais où avait-il donc pris ces lampes éternelles???
Réponse, sa maman, Sainte Hélène, en 326 se rendant en pèlerinage à Jérusalem pour tenter de découvrir des reliques ayant appartenu à Jésus-Christ, ordonna de démolir un Temple romain sur la colline du Golgotha. Sous ce Temple dédié à Vénus, Sainte Hélène a découvert la Vraie Croix, la Lance ayant occis Jésus Christ et d’autres reliques qu’elle a ramenées à son fils Constantin et qui furent exposées et distribuées à travers l’Empire romain de Constantin.
QUI avait donc creusé cette tombe, enfoui des objets rappelant la crucifixion d’un Prophète ET DES LAMPES PERPÉTUELLES ? Réponse, et c’est là que l’origine commune des groupes (A) et (B) se révèle : Antiochus de Commagène.
Mais pourquoi Antiochus, un Roi divinisé par ses sujets (son père Mithridate Kallinicos le fut aussi), Pape d’une Fédération religieuse, aurait-il rendu hommage à un crucifié, fait déposer plusieurs lampes perpétuelles dans ce caveau sans squelette et camouflé le tout sous un Temple d’époque romaine dédié à Vénus? Il honorait ainsi quelqu’un qu’il estimait au moins autant que Tullia qui fut son élève, ou Brutus, le dernier des Républicains contre qui les armées d’Antiochus se retournèrent quand il s’apprêtait à affronter Octave-Auguste et Antoine en 45.
Réponse : Jésus, en fait il se nommait Antigone (ou aussi Mattathias), le dernier des Grands-Prêtres juifs de la dynastie des Jésus (200 ans plus tôt, le fondateur de cette dynastie de Grands-Prêtres héréditaires se nommait Jésus et plusieurs de ses successeurs s’appelaient Jésus, qui devint un titre quasi-royal chez les Juifs chez qui le Grand-Prêtre du Temple de Jérusalem tenait lieu de Roi, à cette époque). Le Jésus Antigone (né vers 76 sous une supernova) , fut crucifié en 37 avant notre Ère, par des légionnaires romains soudoyés par Hérode le Grand et fouetté à mort sous les quolibets de ses geôliers qui trouvaient particulièrement amusant de crucifier le Roi des Juifs, ces semeurs de troubles perpétuels.
Cet Antigone avait été mis sur le trône de ses Ancêtres par les Parthes, commandés par Pacorus, petit-fils d’Antiochus de Commagène. Antigone avait fait exécuter le frère d’Hérode qui put s’enfuir in extremis à Rome pour se plaindre auprès d’Octave et d’Antoine des Barbares Parthes, coriaces ennemis des Romains (ils avaient exterminé les légions de Crassus quelques années auparavant). Hérode revint avec les légions d’Antoine (épisode du siège de Samosate qui fut un échec lamentable où on rapporte l’utilisation de feu grégeois ou de poudre à canon) et captura le Grand Prêtre Antigone qu’il fit exécuter, alors que ses gardiens romains devaient ramener leur prisonnier à Antoine qui festoyait avec Cléopâtre à Antioche, la grande métropole de Syrie.
On doit en conclure qu’Antiochus de Commagène se servit de l’image (le crucifix) de son disciple Jésus (le Roi légitime d’Israël), qui s’apprêtait peut-être à fusionner la foi hébraïque au Culte d’Antiochus de Commagène pour inciter les Juifs à rejoindre la nouvelle religion créée en Commagène. Et Antiochus ($$$) rendit les honneurs à son disciple en déposant plusieurs lampes perpétuelles dans un caveau du Golgotha qu’il fit recouvrir d’un Temple à une Déesse romaine, au nez et à la barbe d’Hérode le Grand, sous les fenêtres même de son nouveau Palais de Jérusalem!
Il reste un dernier point : comment fonctionnaient ces lampes? On parle d’ampoules de verre contenant un mystérieux liquide. Il s’agirait de lampes luminescentes ou phosphorescentes. Le verre soufflé fut inventé au premier siècle de notre Ère à Alexandrie en Égypte (soyez assurés que la Commagène possédait cette technologie). Un simple globe de verre contenant un extrait de vers luisants, vieille recette Babylonienne ou égyptienne scellé sous vide, et auquel on aurait ajouté une trace de cuivre, fer et manganèse, et un peu de sucre végétal cristallisé. Exposées à la lumière des torches, ou encore mieux au rayonnement solaire, de telles lampes phosphorescentes auraient pu fonctionner à nouveau, même après des siècles.
Bien! Je vous laisse cogiter là-dessus, mes Frères, et j’espère qu’on ouvrira bientôt le tombeau intact d’Antiochus de Commagène sous le tumulus qui recouvre le Nemrud Dag en Turquie, pour y trouver (et je prends tous vos paris) plusieurs de ces lampes perpétuelles … et les originaux des Évangiles ...
Au plaisir de discuter avec vous de ces mystérieux objets ou d’éclairer certains points obscurs de cette merveilleuse et prolifique Antiquité !
Grâce à vous, je crois avoir résolu une des plus étonnantes énigmes de l'Histoire, appuyée par quelques 200 témoignages répertoriés, l'existence de lampes PERPÉTUELLES créées pendant l'Antiquité.
Prenons les cas les plus célèbres que j'ai regroupés en 2 origines (mais les fabricants de ces lampes sont les mêmes personnages):
Des lampes qui émettaient encore de la lumière:
(A1) en 1485 à Rome dans la tombe de Tullia, fille de Cicéron morte en 45 avant notre Ère. (fonctionnant toujours après 1530 années), Cicéron échangeait une correspondance avec le Roi Antiochus de Commagène (Capitale Samosate) qu'il admirait pour son oeuvre religieuse.
(A2) en 600, sur l'Île de Nisida, près de Naples, dans un tombeau de marbre pré-chrétien. Il s'agit d'un îlot ayant appartenu à Brutus qui y avait une superbe villa et où Cicéron s'était déja rendu pour conférer avec Brutus. Plusieurs raisons me font croire qu'il s'agissait du tombeau de Brutus, mort en 42 avant notre Ère. (fonctionnant toujours après plus de 650 années)
(A3) vers 160, l'écrivain Lucien de Samosate (120-180) rapporte avoir vu une lampe perpétuelle orner la statue de la Déesse du Temple d'Hiérapolis près de Samosate.
(A4) À Édesse, ville voisine de Samosate, dans une niche murée d'un vieux bâtiment qui remontait à l'époque de J-C, une de ces lampes ET UN CRUCIFIX! furent mis à jour. (fonctionnant toujours après 500 ans)
(A5) Vers 1500, à Padoue en Italie, on trouva une de ces lampes, une offrande à Pluton, portant le nom d'Olybius. Sous le règne de Dioclétien (284-305), cet Olybius fut Préfet romain de Cappadoce et aurait martyrisé Sainte Margaret (ou Marina) dont le père était un Prêtre d'un Temple païen d’Antioche de Pisidie (près de Samosate), ville développée sous l’Empereur romain Octave-Auguste qui régna de 44 avant J-C à 14 après J-C et qui y fit construire un Temple à la Grande Déesse Cybèle. Le martyre de Sainte Margaret, qui résista au feu et à l’immersion, étonnant les foules qui se convertirent devant de prodige, finit décapitée selon la légende catholique. Pour ma part, je crois qu’Olybrius n’en voulait pas tant à la vertu de la vierge martyrisée, mais désirait plutôt faire main basse sur la lampe magique héritée de son père. (la lampe aurait ainsi resisté à l'immersion et au bûcher, et fonctionné pendant plus de 12 siècles)
(B1) en 1846 dans un mausolée découvert sous le Castellum Priscum (vieille forteresse romaine) de Cordoue en Espagne (éclairant encore après plus de 1500 ans)
(B2) en 1539 en Angleterre, dans la ville de York, en démolissant un monastère catholique (sur ordre du schismatique Roi Henry on ouvrit le magnifique tombeau de l’Empereur romain Constance Chlore, mort de maladie en 306 après avoir écrasé une invasion d’Écossais. (la lampe, fonctionnant toujours après au moins 12 siècles, fut détruite sur le champ comme une relique papiste)
Le groupe (A) pointe vers une origine commune, la deuxième moitié du premier siècle avant notre Ère et la Syrie romaine. À cette époque, la Dynastie la plus puissante était celle de la Commagène du Roi Antiochus de Samosate (101-29), le souverain le plus riche de son temps. (un Philosophe philanthrope qui enseigna à Cicéron (entre autres), servit de modèle à Mécène, bras droit d’Auguste, et qui créa une nouvelle religion et une Fédération religieuse regroupant la plupart des États d’Asie Mineure). Le Temple qu’il fit construire sur le Nemrud Dag (en Commagène, aujourd’hui en Turquie) inspira Agrippa, bras gauche d’Octave, pour la construction du Panthéon à Rome (19 avant J-C).
Le groupe (B) pointe aussi vers la Commagène. Relions d’abord (B1) à (B2), Cordoue en Espagne à York en Angleterre. L’évêque de l’Empereur Constantin qui co-présida le fameux premier Concile de Nicée en 325 était Ozius, Évêque de Cordoue (B1), connu aussi pour avoir rencontré le Patriarche Arius (fondateur du schisme Arianisme) à Alexandrie sans pouvoir le ramener aux vues de l’Église de Rome. Constantin était l’auteur des tombeaux (B1) ET (B2) (de son père et de son Évêque). Mais où avait-il donc pris ces lampes éternelles???
Réponse, sa maman, Sainte Hélène, en 326 se rendant en pèlerinage à Jérusalem pour tenter de découvrir des reliques ayant appartenu à Jésus-Christ, ordonna de démolir un Temple romain sur la colline du Golgotha. Sous ce Temple dédié à Vénus, Sainte Hélène a découvert la Vraie Croix, la Lance ayant occis Jésus Christ et d’autres reliques qu’elle a ramenées à son fils Constantin et qui furent exposées et distribuées à travers l’Empire romain de Constantin.
QUI avait donc creusé cette tombe, enfoui des objets rappelant la crucifixion d’un Prophète ET DES LAMPES PERPÉTUELLES ? Réponse, et c’est là que l’origine commune des groupes (A) et (B) se révèle : Antiochus de Commagène.
Mais pourquoi Antiochus, un Roi divinisé par ses sujets (son père Mithridate Kallinicos le fut aussi), Pape d’une Fédération religieuse, aurait-il rendu hommage à un crucifié, fait déposer plusieurs lampes perpétuelles dans ce caveau sans squelette et camouflé le tout sous un Temple d’époque romaine dédié à Vénus? Il honorait ainsi quelqu’un qu’il estimait au moins autant que Tullia qui fut son élève, ou Brutus, le dernier des Républicains contre qui les armées d’Antiochus se retournèrent quand il s’apprêtait à affronter Octave-Auguste et Antoine en 45.
Réponse : Jésus, en fait il se nommait Antigone (ou aussi Mattathias), le dernier des Grands-Prêtres juifs de la dynastie des Jésus (200 ans plus tôt, le fondateur de cette dynastie de Grands-Prêtres héréditaires se nommait Jésus et plusieurs de ses successeurs s’appelaient Jésus, qui devint un titre quasi-royal chez les Juifs chez qui le Grand-Prêtre du Temple de Jérusalem tenait lieu de Roi, à cette époque). Le Jésus Antigone (né vers 76 sous une supernova) , fut crucifié en 37 avant notre Ère, par des légionnaires romains soudoyés par Hérode le Grand et fouetté à mort sous les quolibets de ses geôliers qui trouvaient particulièrement amusant de crucifier le Roi des Juifs, ces semeurs de troubles perpétuels.
Cet Antigone avait été mis sur le trône de ses Ancêtres par les Parthes, commandés par Pacorus, petit-fils d’Antiochus de Commagène. Antigone avait fait exécuter le frère d’Hérode qui put s’enfuir in extremis à Rome pour se plaindre auprès d’Octave et d’Antoine des Barbares Parthes, coriaces ennemis des Romains (ils avaient exterminé les légions de Crassus quelques années auparavant). Hérode revint avec les légions d’Antoine (épisode du siège de Samosate qui fut un échec lamentable où on rapporte l’utilisation de feu grégeois ou de poudre à canon) et captura le Grand Prêtre Antigone qu’il fit exécuter, alors que ses gardiens romains devaient ramener leur prisonnier à Antoine qui festoyait avec Cléopâtre à Antioche, la grande métropole de Syrie.
On doit en conclure qu’Antiochus de Commagène se servit de l’image (le crucifix) de son disciple Jésus (le Roi légitime d’Israël), qui s’apprêtait peut-être à fusionner la foi hébraïque au Culte d’Antiochus de Commagène pour inciter les Juifs à rejoindre la nouvelle religion créée en Commagène. Et Antiochus ($$$) rendit les honneurs à son disciple en déposant plusieurs lampes perpétuelles dans un caveau du Golgotha qu’il fit recouvrir d’un Temple à une Déesse romaine, au nez et à la barbe d’Hérode le Grand, sous les fenêtres même de son nouveau Palais de Jérusalem!
Il reste un dernier point : comment fonctionnaient ces lampes? On parle d’ampoules de verre contenant un mystérieux liquide. Il s’agirait de lampes luminescentes ou phosphorescentes. Le verre soufflé fut inventé au premier siècle de notre Ère à Alexandrie en Égypte (soyez assurés que la Commagène possédait cette technologie). Un simple globe de verre contenant un extrait de vers luisants, vieille recette Babylonienne ou égyptienne scellé sous vide, et auquel on aurait ajouté une trace de cuivre, fer et manganèse, et un peu de sucre végétal cristallisé. Exposées à la lumière des torches, ou encore mieux au rayonnement solaire, de telles lampes phosphorescentes auraient pu fonctionner à nouveau, même après des siècles.
Bien! Je vous laisse cogiter là-dessus, mes Frères, et j’espère qu’on ouvrira bientôt le tombeau intact d’Antiochus de Commagène sous le tumulus qui recouvre le Nemrud Dag en Turquie, pour y trouver (et je prends tous vos paris) plusieurs de ces lampes perpétuelles … et les originaux des Évangiles ...
Au plaisir de discuter avec vous de ces mystérieux objets ou d’éclairer certains points obscurs de cette merveilleuse et prolifique Antiquité !