Nuit et Jour, la danse de l'ombre...
Posté : 28 sept.22, 03:03
L'obscurité, la lumière...
Deux terme qui fait jaillir l'ombre.
La lumière étant étincelante, se fit voir au travers de l'obscurité.
L'obscurité, étant sans lueur, se fit vois aux abords de la lumière.
Entre les deux, il se formât alors l'ombre.
Mais la lumière dit à l'obscurité: Tu vois, tous me voit !
Et l'ombre dit à la lumière: Tu vois, si je n'était pas là, tu te perdrais dans l'infini.
Bref ! L'un ne peut être sans l'autre.
Petite histoire intéressante.
La lumière jaillissante, se tient sur une ile où elle resplendit. Soudain, la nuit cessât toutes activités et laissât la lumière bien seule. La lumière, étant seul, ne savait plus quoi faire et finit par partir déprimer.
Laissant un vide, la noirceur arrivât ! Mais après un certain temps, elle déprimât elle aussi d'être bien seul.
Un jour, nos deux amis se retrouvèrent. C'était la folie.
Une joie qui s'emparait de nos deux entité pourtant si différente.
D'instinct, les deux s'embrassèrent et firent naître l'ombre.
Ah ! se disaient-elles. Enfin nous savons que l'une sans l'autre, nous ne sommes rien et ne saurons jamais rien.
L'ombre, voyant ces deux autres amis se réjouirent, demandât alors où serait sa place !
Les deux autres, souriants, dirent en même temps: Tu seras celui qui fera danser la nuit et le jour car seulement toi sauras où nous serons pour l'éternité.
Bien à vous, Dragonblanc
Deux terme qui fait jaillir l'ombre.
La lumière étant étincelante, se fit voir au travers de l'obscurité.
L'obscurité, étant sans lueur, se fit vois aux abords de la lumière.
Entre les deux, il se formât alors l'ombre.
Mais la lumière dit à l'obscurité: Tu vois, tous me voit !
Et l'ombre dit à la lumière: Tu vois, si je n'était pas là, tu te perdrais dans l'infini.
Bref ! L'un ne peut être sans l'autre.
Petite histoire intéressante.
La lumière jaillissante, se tient sur une ile où elle resplendit. Soudain, la nuit cessât toutes activités et laissât la lumière bien seule. La lumière, étant seul, ne savait plus quoi faire et finit par partir déprimer.
Laissant un vide, la noirceur arrivât ! Mais après un certain temps, elle déprimât elle aussi d'être bien seul.
Un jour, nos deux amis se retrouvèrent. C'était la folie.
Une joie qui s'emparait de nos deux entité pourtant si différente.
D'instinct, les deux s'embrassèrent et firent naître l'ombre.
Ah ! se disaient-elles. Enfin nous savons que l'une sans l'autre, nous ne sommes rien et ne saurons jamais rien.
L'ombre, voyant ces deux autres amis se réjouirent, demandât alors où serait sa place !
Les deux autres, souriants, dirent en même temps: Tu seras celui qui fera danser la nuit et le jour car seulement toi sauras où nous serons pour l'éternité.
Bien à vous, Dragonblanc
