Vous me manquez mère.
Posté : 11 janv.23, 05:21
Toute ta vie, tu l'as passé à te rendre et à la rendre meilleur.
Tous tes amis et amies te savaient que te louanger.
Nous, nous t'avions avec nous comme un être normal; Une femme avec qui tout semblait acquis.
Je me souviens de ta voix. Combien c'était beau ! Comment nous te regardions et que nous t'écoutions...
Pour nous, tu étais la voix, la voie... Aujourd'hui, nous te pleurons encore.
Nous pleurons ce que tu nous amenais et qu'on ne retrouve plus nul part ailleurs dans le monde.
Tu étais notre phare, notre maison qui nous ralliait et aussi notre maison dans le plus profond de notre coeur.
Quand je t'ai vu dans un de mes rêves, un rêve qui pourtant j'ai fais tellement de fois ! Cette fois-ci je me suis arrêté pour te prendre dans mes bras ! Retrouvant ainsi ce lien que tu m'apportais.
Dans le dernier, quand j'entrais et que tu étais au pied de l'escalier, tu t'es retiré en t'éloignant de moi.
Tu semblais ne pas vouloir que je m'approche de toi !
Ça m'a fait mal ! J'en ai l'émoi au plus sensible juste d'y penser.
Tu as certainement tes raisons !
Mais moi, petit je me sens... dans une incompréhension même !
Ai-je fait quelque chose de mal ? de si mal que tu ne veuilles plus que je m'approche de toi ?
Je sais que je ne suis pas aussi pur que je le souhaiterais. Mais au combien tu me manques.
J'écris ces mots en pleurant et je dois avouer que j'ai même du mal à voir les lettres sur qui je tente d'y apposer mes doigts.
Mais je persiste car je te demande pardon de ne pas être rendu aussi pur pour toi !
Je ne fais pas exprès tu sais ! Je travaille encore là-dessus; Et sans relâche afin que nous puissions enfin être réunis.
Je ne sais plus où j'en suis réellement... Même si parfois je semble bien saisir l'ampleur de ce qui se passe.
Tu me connais plus que tous ne l'a fait jusqu'ici !
Tu sais bien que je suis toujours centré sur moi, et que je ne demande pas mieux que de me partager avec les autres.
Parfois, et même souvent, je ne sais plus comment faire; Quoi faire !
J'attend toujours les instructions ! Si j'en suis digne bien sur !
Mais ma plus grande des peurs, est celle de te décevoir mère. Ainsi que celui qui m'a créé.
Trouble je suis. Pas toujours mais là, présentement, je le suis.
M'accorderas-tu encore audience ? Car moi j'en ai tant besoin... tant besoin...
Ne m'oublie pas... s'il te plais ne m'oublie pas... Moi je ne t'oublierai jamais...
Je souhaite du plus profond de mon coeur, parvenir à m'en sortir, afin qu'une autre fois, que l'on puisse se resserrer dans nos bras.
Je t'aime, ton fils à jamais...
Tous tes amis et amies te savaient que te louanger.
Nous, nous t'avions avec nous comme un être normal; Une femme avec qui tout semblait acquis.
Je me souviens de ta voix. Combien c'était beau ! Comment nous te regardions et que nous t'écoutions...
Pour nous, tu étais la voix, la voie... Aujourd'hui, nous te pleurons encore.
Nous pleurons ce que tu nous amenais et qu'on ne retrouve plus nul part ailleurs dans le monde.
Tu étais notre phare, notre maison qui nous ralliait et aussi notre maison dans le plus profond de notre coeur.
Quand je t'ai vu dans un de mes rêves, un rêve qui pourtant j'ai fais tellement de fois ! Cette fois-ci je me suis arrêté pour te prendre dans mes bras ! Retrouvant ainsi ce lien que tu m'apportais.
Dans le dernier, quand j'entrais et que tu étais au pied de l'escalier, tu t'es retiré en t'éloignant de moi.
Tu semblais ne pas vouloir que je m'approche de toi !
Ça m'a fait mal ! J'en ai l'émoi au plus sensible juste d'y penser.
Tu as certainement tes raisons !
Mais moi, petit je me sens... dans une incompréhension même !
Ai-je fait quelque chose de mal ? de si mal que tu ne veuilles plus que je m'approche de toi ?
Je sais que je ne suis pas aussi pur que je le souhaiterais. Mais au combien tu me manques.
J'écris ces mots en pleurant et je dois avouer que j'ai même du mal à voir les lettres sur qui je tente d'y apposer mes doigts.
Mais je persiste car je te demande pardon de ne pas être rendu aussi pur pour toi !
Je ne fais pas exprès tu sais ! Je travaille encore là-dessus; Et sans relâche afin que nous puissions enfin être réunis.
Je ne sais plus où j'en suis réellement... Même si parfois je semble bien saisir l'ampleur de ce qui se passe.
Tu me connais plus que tous ne l'a fait jusqu'ici !
Tu sais bien que je suis toujours centré sur moi, et que je ne demande pas mieux que de me partager avec les autres.
Parfois, et même souvent, je ne sais plus comment faire; Quoi faire !
J'attend toujours les instructions ! Si j'en suis digne bien sur !
Mais ma plus grande des peurs, est celle de te décevoir mère. Ainsi que celui qui m'a créé.
Trouble je suis. Pas toujours mais là, présentement, je le suis.
M'accorderas-tu encore audience ? Car moi j'en ai tant besoin... tant besoin...
Ne m'oublie pas... s'il te plais ne m'oublie pas... Moi je ne t'oublierai jamais...
Je souhaite du plus profond de mon coeur, parvenir à m'en sortir, afin qu'une autre fois, que l'on puisse se resserrer dans nos bras.
Je t'aime, ton fils à jamais...