Étoile, vient vers moi.
Posté : 18 janv.23, 02:29
L'univers, si grand, semble presque infiniment possible.
Ô toi qui sait où je vais et quand j'y vais, toi qui connait la fortune que mon coeur porte.
Léger je me sentais, en vue d'une étoile qui naissait.
Mon pas se fait ressentir, mais dans l'écho du firmament, je la sens se perdre sous une pluie boréale.
Ô peine, toi qui m'accompagne, tu connais bien le fond de mes requêtes.
Ô toi sagesse, toi qui me visite, tu connais le fond de mes requêtes.
Ô toi amour, toi qui me connait, visite-moi plus souvent, car seul avec sagesse et peine, nous semblons prendre fond.
Mon coeur virevolte de haut en bas et de bas en haut, et d'écho tournant de la main gauche vers celle de droite.
Ô toi univers, avec des milliards de milliards de regard, moi petit, rêve toujours de vous plaire.
Oh oui je danse, pas comme vous mes frères et soeurs, Ce rêve ne l'oubliez pas, car vous êtes aurores.
J'ai même invité patience, on joue ensemble dans les nuages du vivant.
Alors, dites moi au grand sage des sages, que me manque-t-il pour revêtir mes plaies ?
Moi qui essaie toujours d'être à nu, frisson s'invite parfois à la danse et inquiétude dans le morceau vibrant.
D'un regard du bout de mes pas, vers l'ancienne étoile qui s'amuse encore dans le parc au centre de l'oeil, un papillon renaissant; L'ouverture féérique aux couleurs inconnues, s'ouvre en nous le moment, qui lui ne demande qu'à s'envoler vers sérénité.
Toi qui connait mes pas, toi qui sait où je vais, dis moi ! Le cap va-t-il bon train ?
J'ai le souffle qui se coupe parfois, comment ne pas voir !
Enrobé de frissons, errant dans l'immensité qui s'obscurcit, l'étoile du matin semble se cacher.
Où est le rayon qui jadis j'enivrait ? Où suis je donc tombé ?
Mon amour, toi qui se fait si grand et si haut, tu mes retiens dans tes bras si chauds; Rapprend moi à voler, rapprend moi ce que c'était la vie qui m'émerveillait. Relassons nos souliers ensemble.
Moi petit pas, qui s'enfarge dans cette peur de décevoir, ouvre moi ta plume, que ma porte s'élève...
Un regard me soulève, mais ta main qui pointe l'horizon elle, m'emporte...
Ô étoile des matins, retrouve moi et recouvre moi.
Que cela se fasse comme le vent qui vient et qui part, car seul et seulement la voie de ton coeur me dira.
Encore merci pour tout ces bagages de merveille, et que dire de l'atome qui vient me toucher...
Merci encore de ta confiance, même si parfois c'en en moi que la confiance se craint !
On se dit à bientôt, même si confiance tu me donnes, frisson m'accompagne avec chaleur et tièdeur.
Au nom d'une rose, où l'abeille se pose, je vous soumet la prose, de ce qui repose...
Ô toi qui sait où je vais et quand j'y vais, toi qui connait la fortune que mon coeur porte.
Léger je me sentais, en vue d'une étoile qui naissait.
Mon pas se fait ressentir, mais dans l'écho du firmament, je la sens se perdre sous une pluie boréale.
Ô peine, toi qui m'accompagne, tu connais bien le fond de mes requêtes.
Ô toi sagesse, toi qui me visite, tu connais le fond de mes requêtes.
Ô toi amour, toi qui me connait, visite-moi plus souvent, car seul avec sagesse et peine, nous semblons prendre fond.
Mon coeur virevolte de haut en bas et de bas en haut, et d'écho tournant de la main gauche vers celle de droite.
Ô toi univers, avec des milliards de milliards de regard, moi petit, rêve toujours de vous plaire.
Oh oui je danse, pas comme vous mes frères et soeurs, Ce rêve ne l'oubliez pas, car vous êtes aurores.
J'ai même invité patience, on joue ensemble dans les nuages du vivant.
Alors, dites moi au grand sage des sages, que me manque-t-il pour revêtir mes plaies ?
Moi qui essaie toujours d'être à nu, frisson s'invite parfois à la danse et inquiétude dans le morceau vibrant.
D'un regard du bout de mes pas, vers l'ancienne étoile qui s'amuse encore dans le parc au centre de l'oeil, un papillon renaissant; L'ouverture féérique aux couleurs inconnues, s'ouvre en nous le moment, qui lui ne demande qu'à s'envoler vers sérénité.
Toi qui connait mes pas, toi qui sait où je vais, dis moi ! Le cap va-t-il bon train ?
J'ai le souffle qui se coupe parfois, comment ne pas voir !
Enrobé de frissons, errant dans l'immensité qui s'obscurcit, l'étoile du matin semble se cacher.
Où est le rayon qui jadis j'enivrait ? Où suis je donc tombé ?
Mon amour, toi qui se fait si grand et si haut, tu mes retiens dans tes bras si chauds; Rapprend moi à voler, rapprend moi ce que c'était la vie qui m'émerveillait. Relassons nos souliers ensemble.
Moi petit pas, qui s'enfarge dans cette peur de décevoir, ouvre moi ta plume, que ma porte s'élève...
Un regard me soulève, mais ta main qui pointe l'horizon elle, m'emporte...
Ô étoile des matins, retrouve moi et recouvre moi.
Que cela se fasse comme le vent qui vient et qui part, car seul et seulement la voie de ton coeur me dira.
Encore merci pour tout ces bagages de merveille, et que dire de l'atome qui vient me toucher...
Merci encore de ta confiance, même si parfois c'en en moi que la confiance se craint !
On se dit à bientôt, même si confiance tu me donnes, frisson m'accompagne avec chaleur et tièdeur.
Au nom d'une rose, où l'abeille se pose, je vous soumet la prose, de ce qui repose...