Fête de l'Eternel
Posté : 17 sept.05, 08:19
Fête Juive mais aussi Messianique.
Cette fête se situe le 4 octobre 2005
Fêtes des trompettes = Rosh-hachana.
Rosh-Hachana. ( La fête des trompette )
( Lévitique 23 :24 ).( Nombre 29 : 1 )
Nom du mois en hébreux : Tichri
La synagogue se pare, pour la circonstance de blans : rideau de l’Arche sainte, robe qui entourent les rouleaux de la Torah, nappe qui recouvre le pupitre, vêtements du rabbin et de l’officiant. Ces ornements blancs, symboles de pureté et d’innocence, comme les impressionnantes mélodies sur lesquelles sont chantées toutes les prières, invitent les fidèles à réaliser le grand retour à dieu, la « teschouva ».
A la maison, après l’office du soir, la famille et ses amis se retrouvent pour un repas de fête précédé du « Kiddoush », de la bénédiction du pain et de la consommation de pomme et de miel, aliments doux, symboles du souhait formulé par tous :
« Que cette année qui commence soit pour nous agréable et douce ! »
« Soyons inscrits et scellés pour une bonne année ! »
La signification spirituelle de Rosh-Hachana.
Cette solennité est riche de multiples sognifications.
A) Selon la tradition rabbinique, c’est le jour anniversaire de la création du monde.
C’est en fait, le jour-souvenir où l’homme est invité à faire un retour sur lui-mêmes, à interroger son passé. Il connaît sa faiblesse et aussi la miséricorde de Dieu. Il sait que Dieu, dont il célèbre, particulièrement en ce jour, la souveraine royauté sur toute la création, est un Père pour tous les hommes. C’est ce que la communauté tout entière chante, debout devant l’Arche sainte : « Avinou malkenou » ;
B) c’est le jour du jugement ou Dieu se manifeste dans sa toute-puissance et où, tel un berger qui fait défiler son troupeau sous sa houpette. Il passe en revue ses créatures.
( Nombres 29 :1)
c’est donc le jour de la sonnerie du schophar, dont les accents rauques et plaintifs doivent réveiller les consciences endormies.
Le schophar rappelle, à la fois, le sacrifice d’Abraham au Mont morija, la création du Sinaï et il annonce la délivrance future d’Israël et de l’humanité entière. C’est dans la crainte et dans la l’amour que les enfants d’Israël écoutent les sonneries qui ponctuent toute une partie de l’office du matin. Avec le psalmiste, ils proclament :
( Psaumes 89 : 16 )
Parmi les lestures bibliques de ces jours, il faut signaler celle du sacrifice d’Isaac.
( Genèse 22 ) et celle de la naissance de Samuel avec l’émouvante prière d’Anne ( 1 Samuel 2)
Selon le commendement ( Nombre 29 :1), Tout homme en Israël doit entendre la sonnerie du shophar au jour de Rosh-Hachana. Le son des cornes et des trompettes a un triple sens :
Il se propose de rappeler au Seigneur qu’il a conclu une alliance avec son peuple d’Israël et qu’il doit le traiter avec douceur, à cause non de ses mérites, mais des promesses miséricordieuses qu’il a faites à Abraham et aux patriaches :
C) La fête de Rosh Hachana est, aussi, une solennelle occasion pour chaque juif, de se réconcilier avec Dieu et avec ses frères : la sonnerie du shophar rappelle cela également
Ce jour de l’an neuf est, donc, un jour solennel de repentance et un jour de préparation à la fête de Yom Kippour ( jour du grand pardon) qui se situe dix jours après.
C’est le moment de rechercher la réconciliation avec ses ennemis, de faire la charité aux pauvres et de réciter de longues litanies de confession des péchés dansles synagogues.
Au cour de la fête de Rosh-Hachana, Israël rappelle à l’Eternel le sacrifice qu’Abraham était prêt à faire de son fils unique, comment le patriache fit violence à sa tendresse paternelle pour accomplir la volonté de Dieu. Des supplications montent alors pour qu’en mémoire de cette preuve d’obéissance et de fidélité,l’Eterneldétourne sa colère de son peuple, israël, lui fasse grâce et ne se souvienne plus de ses infidélités.
« Souviens-toi de nous pour la vie, ô Roi qui aime tout ce qui a vie, et inscris-nous dans le livre de la vie, ô Maitre de toute vie »
cette prière récitée pendant la fête résume toute l’espérance et toute l’aspiration d’Israël : « Etre inscrit dans le livre de la vie ».
Cette vie éternelle, l’idéal d’Israël, n’est-elle pas concrétisée en la personne de celui qui a dit :
( Jean 5 : 26 )
Cette vie éternelle ne réside qu’en Jésus le Messie ; lui seul nous l’accordr, si nous voulons le reconnaïtre pour notre sauveur et Seigneur personnelle. Lui seul peut nous conduire au Père par un chemin de vérité et de vie. Croire en Jésus, c’est être inscrit, non seulement dans le livre de vie, mais aussi être gravé à jamais dans le cœur même de Dieu : c’est vivre de la vie de Dieu, qui est l’auteur de notre vie.
D) La venue du Messie fait aussi l’objet des plus pathétique supplications d’Israël au jour de Rosh Hachana :
Ce Messie dont Israël implore la venue du fils de Jessé, a déjà foulé notre terre en la personne de Jésus de Nazareth. En lui, nous trouvons la vie, la paix et le repos de nos âmes.
Son sang versé volontairement, un jour, sur la croix du Mont golgotha, efface les pêchés de tous ceux qui croient en lui. Nul besoin de les jeter au fond de la mer, ou dans le lit de quelque rivière comme cela se pratique encore chez les Israélites… Cette action de la symbolique ne produit pas le pardon des péchés.
En sortant de la synagogue. Le premier jour de Rosh-Hachana, il est d’usage de se souhaiter réciproquement une bonne fête et d’ajouter ceci :
« puissiez-vous être inscrits pour une bonne année ! » ou plus simplement : « Leschana tova ! » =Bonne année.
(psaumes 81 : et 47 )
Mais Rosh Hachana n’est en quelque sorte, qu’une première étape sur le chemin qui, par la prière, la repentance et la pratique de l’amour vrai, mènera le juif vers le jour de Kippour, et conduira Dieu à « réviser » son jugement et à pardonner aux pêcheurs repentants.
Cette fête se situe le 4 octobre 2005
Fêtes des trompettes = Rosh-hachana.
Rosh-Hachana. ( La fête des trompette )
( Lévitique 23 :24 ).( Nombre 29 : 1 )
Nom du mois en hébreux : Tichri
La synagogue se pare, pour la circonstance de blans : rideau de l’Arche sainte, robe qui entourent les rouleaux de la Torah, nappe qui recouvre le pupitre, vêtements du rabbin et de l’officiant. Ces ornements blancs, symboles de pureté et d’innocence, comme les impressionnantes mélodies sur lesquelles sont chantées toutes les prières, invitent les fidèles à réaliser le grand retour à dieu, la « teschouva ».
A la maison, après l’office du soir, la famille et ses amis se retrouvent pour un repas de fête précédé du « Kiddoush », de la bénédiction du pain et de la consommation de pomme et de miel, aliments doux, symboles du souhait formulé par tous :
« Que cette année qui commence soit pour nous agréable et douce ! »
« Soyons inscrits et scellés pour une bonne année ! »
La signification spirituelle de Rosh-Hachana.
Cette solennité est riche de multiples sognifications.
A) Selon la tradition rabbinique, c’est le jour anniversaire de la création du monde.
C’est en fait, le jour-souvenir où l’homme est invité à faire un retour sur lui-mêmes, à interroger son passé. Il connaît sa faiblesse et aussi la miséricorde de Dieu. Il sait que Dieu, dont il célèbre, particulièrement en ce jour, la souveraine royauté sur toute la création, est un Père pour tous les hommes. C’est ce que la communauté tout entière chante, debout devant l’Arche sainte : « Avinou malkenou » ;
B) c’est le jour du jugement ou Dieu se manifeste dans sa toute-puissance et où, tel un berger qui fait défiler son troupeau sous sa houpette. Il passe en revue ses créatures.
( Nombres 29 :1)
c’est donc le jour de la sonnerie du schophar, dont les accents rauques et plaintifs doivent réveiller les consciences endormies.
Le schophar rappelle, à la fois, le sacrifice d’Abraham au Mont morija, la création du Sinaï et il annonce la délivrance future d’Israël et de l’humanité entière. C’est dans la crainte et dans la l’amour que les enfants d’Israël écoutent les sonneries qui ponctuent toute une partie de l’office du matin. Avec le psalmiste, ils proclament :
( Psaumes 89 : 16 )
Parmi les lestures bibliques de ces jours, il faut signaler celle du sacrifice d’Isaac.
( Genèse 22 ) et celle de la naissance de Samuel avec l’émouvante prière d’Anne ( 1 Samuel 2)
Selon le commendement ( Nombre 29 :1), Tout homme en Israël doit entendre la sonnerie du shophar au jour de Rosh-Hachana. Le son des cornes et des trompettes a un triple sens :
Il se propose de rappeler au Seigneur qu’il a conclu une alliance avec son peuple d’Israël et qu’il doit le traiter avec douceur, à cause non de ses mérites, mais des promesses miséricordieuses qu’il a faites à Abraham et aux patriaches :
C) La fête de Rosh Hachana est, aussi, une solennelle occasion pour chaque juif, de se réconcilier avec Dieu et avec ses frères : la sonnerie du shophar rappelle cela également
Ce jour de l’an neuf est, donc, un jour solennel de repentance et un jour de préparation à la fête de Yom Kippour ( jour du grand pardon) qui se situe dix jours après.
C’est le moment de rechercher la réconciliation avec ses ennemis, de faire la charité aux pauvres et de réciter de longues litanies de confession des péchés dansles synagogues.
Au cour de la fête de Rosh-Hachana, Israël rappelle à l’Eternel le sacrifice qu’Abraham était prêt à faire de son fils unique, comment le patriache fit violence à sa tendresse paternelle pour accomplir la volonté de Dieu. Des supplications montent alors pour qu’en mémoire de cette preuve d’obéissance et de fidélité,l’Eterneldétourne sa colère de son peuple, israël, lui fasse grâce et ne se souvienne plus de ses infidélités.
« Souviens-toi de nous pour la vie, ô Roi qui aime tout ce qui a vie, et inscris-nous dans le livre de la vie, ô Maitre de toute vie »
cette prière récitée pendant la fête résume toute l’espérance et toute l’aspiration d’Israël : « Etre inscrit dans le livre de la vie ».
Cette vie éternelle, l’idéal d’Israël, n’est-elle pas concrétisée en la personne de celui qui a dit :
( Jean 5 : 26 )
Cette vie éternelle ne réside qu’en Jésus le Messie ; lui seul nous l’accordr, si nous voulons le reconnaïtre pour notre sauveur et Seigneur personnelle. Lui seul peut nous conduire au Père par un chemin de vérité et de vie. Croire en Jésus, c’est être inscrit, non seulement dans le livre de vie, mais aussi être gravé à jamais dans le cœur même de Dieu : c’est vivre de la vie de Dieu, qui est l’auteur de notre vie.
D) La venue du Messie fait aussi l’objet des plus pathétique supplications d’Israël au jour de Rosh Hachana :
Ce Messie dont Israël implore la venue du fils de Jessé, a déjà foulé notre terre en la personne de Jésus de Nazareth. En lui, nous trouvons la vie, la paix et le repos de nos âmes.
Son sang versé volontairement, un jour, sur la croix du Mont golgotha, efface les pêchés de tous ceux qui croient en lui. Nul besoin de les jeter au fond de la mer, ou dans le lit de quelque rivière comme cela se pratique encore chez les Israélites… Cette action de la symbolique ne produit pas le pardon des péchés.
En sortant de la synagogue. Le premier jour de Rosh-Hachana, il est d’usage de se souhaiter réciproquement une bonne fête et d’ajouter ceci :
« puissiez-vous être inscrits pour une bonne année ! » ou plus simplement : « Leschana tova ! » =Bonne année.
(psaumes 81 : et 47 )
Mais Rosh Hachana n’est en quelque sorte, qu’une première étape sur le chemin qui, par la prière, la repentance et la pratique de l’amour vrai, mènera le juif vers le jour de Kippour, et conduira Dieu à « réviser » son jugement et à pardonner aux pêcheurs repentants.