Outres-toi mon coeur
Posté : 07 sept.23, 04:09
Le voile se dissipe. Le vent fléchit, les astres soupirent.
Nul doute, le mal sévit; Nul doute, le bien s'illumine.
L'homme qui est dans le mal demandera souveraineté et exigera allégeance.
L'homme qui est dans le bien, ne demandera rien, se tenant dans l'attente.
L'ange descendit et vit le mal, et le mal demanda à L'ange allégeance.
L'ange vit le bien et l'ange se prosterna devant l'être de bonté.
Nul ne doit se faire dire qu'il est trop lumineux dans ce qu'il est.
Nul ne doit jamais verrouiller son esprit et son coeur car l'ange le regarde depuis la nuit des temps.
L'humain à inversé les rôles. Demandant prosternation et oubliant que lui à se prosterner, ne sachant plus qu'il était ange.
Laisse aller ta lumière; N'est pas peur de ce qui s'approche car l'ange regarde.
Nul doute que le coeur, n'a et n'aura jamais aucune limite.
Ouvre toi, regarde en toi, l'infini s'y trouve, alors infini tu es.
L'heure se termine, une autre commence.
Le temps de comprendre le pouls est révolu; Il est maintenant temps de le prendre.
Une page vierge encore, qui n'attend que le sceau, là, où l'ange de ses ailes, enveloppe l'aura.
Qu'une étincelle jaillisse du coeur, d'où l'âme s'esclaffe, dans la nuée de l'esprit, entouré des plumes dans une si grande couleur.
Soyez béni, gente humanité, heureux celui qui jaillit dans le noir !
Nul doute, le mal sévit; Nul doute, le bien s'illumine.
L'homme qui est dans le mal demandera souveraineté et exigera allégeance.
L'homme qui est dans le bien, ne demandera rien, se tenant dans l'attente.
L'ange descendit et vit le mal, et le mal demanda à L'ange allégeance.
L'ange vit le bien et l'ange se prosterna devant l'être de bonté.
Nul ne doit se faire dire qu'il est trop lumineux dans ce qu'il est.
Nul ne doit jamais verrouiller son esprit et son coeur car l'ange le regarde depuis la nuit des temps.
L'humain à inversé les rôles. Demandant prosternation et oubliant que lui à se prosterner, ne sachant plus qu'il était ange.
Laisse aller ta lumière; N'est pas peur de ce qui s'approche car l'ange regarde.
Nul doute que le coeur, n'a et n'aura jamais aucune limite.
Ouvre toi, regarde en toi, l'infini s'y trouve, alors infini tu es.
L'heure se termine, une autre commence.
Le temps de comprendre le pouls est révolu; Il est maintenant temps de le prendre.
Une page vierge encore, qui n'attend que le sceau, là, où l'ange de ses ailes, enveloppe l'aura.
Qu'une étincelle jaillisse du coeur, d'où l'âme s'esclaffe, dans la nuée de l'esprit, entouré des plumes dans une si grande couleur.
Soyez béni, gente humanité, heureux celui qui jaillit dans le noir !