La mort; Ma vie...
Posté : 12 sept.23, 02:42
Ô toi qui fait si peur; Toi qui brise chaque cellule jusqu'à la dernière.
Quand je pense à toi, je n'y vois que la perte, la déchéance.
Quand j'ose t'affronter, mon coeur s'emballe et je sais si je suis bien ou mal.
Toi qui fait parler le meilleur et le pire en nous; Toi qui fait jaser d'elle !
Pourtant, sans toi, rien ne serait possible.
Pour que je sente, ou pour que je ressente, il faut donc une énergie afin que le courant passe. Sans se courant, rien ne se ressent. Alors toi qui crée ce courant, comment pourrais-je te craindre ?
Toi qui s'est fait de matière afin que j'existe, comment pourrais-je même t'en vouloir ?
Si tu ne tues pas cellule par cellule... Comment pourrais-je même être vie et énergie ?
Tu sais ! Tu es quand même terrifiante. On ne sait jamais quand tu cessera d'exercer l'Équilibre qui fait ce que nous sommes.
Quand on perd un ami, on souffre qu'il ne puisse plus être ce qu'on lui trouvait de bien pour nous et en nous.
Pourtant, on est constitué de matière donc, avec des souvenirs.
La vie, la mort, un bien drôle de mélange mais combien important et magnifique à la fois !
Tu sais, à chaque fois que je pense à toi, une pensée de ne plus exister jaillit et des frissons s'en suivent.
Je sais que sans toi, rien ne serait possible; Que sans toi, la perte de vie que j'aimait et que j'aime toujours ne me ferait pas aussi mal !
C'est aussi dans ces pertes que je prend conscience de ce que nous sommes... De ce que je suis.
Moi qui est toujours conscient, je te dis merci !
Merci à toi de prendre soin de moi en me gardant en vie.
Merci à toi de me rendre conscient, vivant à ressentir la force et la fragilité de tout êtres qui puissent exister.
Petit je me sens, et grand je te vois; Et toi tu me fais sentir grand et petit quand tu frappe à ma porte.
Une roue semble tourner. Un temps qui s'exerce, où énergie se croise, s'alimente, se sépare, se diffuse, ...
Merci encore à toi ô la mort !
Merci de ta présence qui fait de nous des vivants.
Quand je pense à toi, je n'y vois que la perte, la déchéance.
Quand j'ose t'affronter, mon coeur s'emballe et je sais si je suis bien ou mal.
Toi qui fait parler le meilleur et le pire en nous; Toi qui fait jaser d'elle !
Pourtant, sans toi, rien ne serait possible.
Pour que je sente, ou pour que je ressente, il faut donc une énergie afin que le courant passe. Sans se courant, rien ne se ressent. Alors toi qui crée ce courant, comment pourrais-je te craindre ?
Toi qui s'est fait de matière afin que j'existe, comment pourrais-je même t'en vouloir ?
Si tu ne tues pas cellule par cellule... Comment pourrais-je même être vie et énergie ?
Tu sais ! Tu es quand même terrifiante. On ne sait jamais quand tu cessera d'exercer l'Équilibre qui fait ce que nous sommes.
Quand on perd un ami, on souffre qu'il ne puisse plus être ce qu'on lui trouvait de bien pour nous et en nous.
Pourtant, on est constitué de matière donc, avec des souvenirs.
La vie, la mort, un bien drôle de mélange mais combien important et magnifique à la fois !
Tu sais, à chaque fois que je pense à toi, une pensée de ne plus exister jaillit et des frissons s'en suivent.
Je sais que sans toi, rien ne serait possible; Que sans toi, la perte de vie que j'aimait et que j'aime toujours ne me ferait pas aussi mal !
C'est aussi dans ces pertes que je prend conscience de ce que nous sommes... De ce que je suis.
Moi qui est toujours conscient, je te dis merci !
Merci à toi de prendre soin de moi en me gardant en vie.
Merci à toi de me rendre conscient, vivant à ressentir la force et la fragilité de tout êtres qui puissent exister.
Petit je me sens, et grand je te vois; Et toi tu me fais sentir grand et petit quand tu frappe à ma porte.
Une roue semble tourner. Un temps qui s'exerce, où énergie se croise, s'alimente, se sépare, se diffuse, ...
Merci encore à toi ô la mort !
Merci de ta présence qui fait de nous des vivants.