“Ta parole est vérité” Ne prenez pas le nom de Dieu EN VAIN
Posté : 24 sept.23, 11:56
“Ta parole est vérité”
Ne prenez pas le nom de Dieu EN VAIN
Référence
https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/101970613
LE TROISIÈME des Dix Commandements concerne le nom de Dieu.
Il se lit comme suit : “Tu ne prendras pas le nom de Jéhovah, ton Dieu, en vain, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom en vain.”
— Ex. 20:7, Crampon 1905
Le nom de Dieu, “Jéhovah”, est en réalité une forme verbale et signifie littéralement “Il fait devenir”.
Au moyen de sa Parole, Dieu attire l’attention sur l’importance de son nom.
Il dit à Moïse : “Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob comme Dieu tout-puissant, mais sous mon nom de Jéhovah je ne me suis pas fait connaître à eux.”
Le nom apparaît 6 961 fois dans les Écritures hébraïques, plus de deux fois plus souvent que tous les autres termes désignant le vrai Dieu, tels que “Dieu”, “Seigneur” et “Très-Haut”.
— Ex. 6:3.
Quelles sont exactement la portée et la signification du troisième commandement ?
Que vise-t-il au juste ?
Certains exégètes juifs modernes prétendent qu’il vise uniquement le parjure, aussi le rendent-ils comme suit : “Tu ne jureras pas faussement par le nom du Seigneur ton Dieu; car le Seigneur ne tiendra pas pour innocent celui qui jure faussement par Son nom.”
Ces exégètes estiment qu’outrager simplement le nom de Dieu ne peut être une faute si grave qu’elle soit interdite par le troisième commandement.
Cet argument est-il fondé cependant ?
Non, bien sûr ! Une des raisons, c’est que le troisième commandement serait alors à peu près semblable au neuvième.
Celui-ci dit en effet : “Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.”
— Ex. 20:16.
Le récit consigné dans le vingt-quatrième chapitre du Lévitique (versets 10 à 16 Lév 24:10-16), montre qu’aux yeux de Jéhovah c’est une faute grave que de prendre son nom en vain.
Ce passage raconte le cas d’un homme qui employa “le Nom” d’une manière blasphématoire.
Il fut mis en prison jusqu’à ce que Jéhovah lui-même eût statué sur cette affaire. Or, Jéhovah déclara : “Celui qui blasphémera le nom de Jéhovah sera puni de mort.”
Manifestement, Dieu ne prenait pas à la légère le blasphème de son nom.
Au contraire, il le considérait comme un péché digne de mort.
On peut dire que le troisième commandement visait au moins quatre choses.
Autrement dit, il pouvait être violé de quatre manières.
Ceci intéresse également les chrétiens parce que le principe de ce commandement s’applique aussi à eux.
Par exemple, dans sa prière modèle, Jésus présente d’abord la requête suivante : “Que ton nom soit sanctifié.”
Sanctifier le nom de Dieu est tout le contraire de le prendre en vain.
L’apôtre Pierre écrivit que Dieu tira les chrétiens d’entre les nations pour en faire “un peuple pour son nom”.
— Mat. 6:9 ; Actes 15:14.
Tout d’abord, le troisième commandement vise ceux qui prononcent le nom de Dieu de manière irrespectueuse.
Il interdit l’usage du nom de Dieu dans des malédictions ou des jurons.
Employer les termes “Dieu” et “Jésus” dans diverses exclamations revient à le prendre en vain, le profaner.
En deuxième lieu, comme l’ont fait remarquer certains exégètes juifs, jurer faussement par le nom de Dieu est également le prendre en vain.
Toutefois, ce n’est pas là la principale ou seule façon de violer le troisième commandement, comme ils le prétendent.
On peut encore prendre le nom de Dieu en vain en le portant de façon indigne.
Par exemple, les Israélites sont devenus un peuple pour le nom de Dieu parce qu’ils furent délivrés par Jéhovah, qui leur donna ses lois et ses statuts et fit une alliance avec eux.
C’est pourquoi Moïse put dire à Israël : “Tous les peuples verront que le nom de Jéhovah est nommé sur toi, et ils te craindront.”
— Deut. 28:10, Crampon 1905.
Les Israélites étaient donc un peuple qui portait le nom de Dieu. Jéhovah lui-même déclara par la bouche du prophète Ésaïe (chapitre 43, verset 10, Crampon 1905) : “Vous êtes mes témoins, dit Jéhovah, et mon serviteur que j’ai choisi.”
Comme ils ne remplissaient pas leurs obligations en tant que peuple portant le nom de Dieu, les Israélites prenaient ce nom en vain.
C’est pourquoi, parlant de la part de Dieu, le prophète Ézéchiel leur dit : “Ce n’est pas à cause de vous que j’agis de la sorte, maison d’Israël ; c’est à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations où vous êtes allés.”
(Ézéch. 36:22).
Ainsi, par leur conduite idolâtre, alors qu’ils se prétendaient adorateurs de Jéhovah, ils profanaient le nom de Dieu. Ils le prenaient en vain, car ils jetaient l’opprobre sur ce nom.
On peut encore violer le troisième commandement d’une autre manière, c’est-à-dire en cachant, en passant sous silence ou en négligeant le nom de Dieu.
De nos jours, ce nom est passé sous silence à tel point que de nombreux Juifs et prétendus chrétiens, qui pourtant connaissent bien le troisième commandement, ne savent pas que Dieu a un nom personnel, distinctif, ni quel est ce nom.
La majorité de ceux qui connaissent ce nom l’ont appris grâce aux témoins de Jéhovah et non grâce aux chefs religieux.
Cependant, ce nom identifie le Créateur du ciel et de la terre comme étant le seul vrai Dieu et le distingue des faux dieux.
Soit dit en passant, de nombreux traducteurs de la Bible ont passé ce nom sous silence.
Jéhovah nous a averti qu’il ne laisserait pas impuni ceux qui prennent son nom en vain, qui l’utilisent de manière indigne et le profanent.
Le peuple d’Israël a vraiment pris le nom de Jéhovah en vain des quatre manières mentionnées plus haut.
À cause de cela, Jéhovah le châtia en permettant qu’il soit emmené en exil à Babylone.
Plus tard, les Israélites se montrèrent de nouveau indignes du nom de Jéhovah et le prirent en vain.
Après que Dieu les eut rejetés en tant que peuple pour son nom, il permit qu’ils fussent punis plus sévèrement encore, en l’an 70 de notre ère.
Les avertissements de Jéhovah s’étaient révélés exacts.
Aujourd’hui aussi, celui qui se dit témoin de Jéhovah mais qui enseigne l’apostasie ou qui a une conduite immorale, ne reste pas impuni.
Il n’agit pas en harmonie avec le nom qu’il porte.
Aussi est-il exclu de la congrégation chrétienne comme étant indigne de porter le nom de témoin de Jéhovah.
Les personnes de ce genre ont “accepté la bonté imméritée de Dieu pour en manquer le but”.
— II Cor. 6:1 ; Jude 8-16.
En outre, tous ceux qui passent sous silence le nom de Jéhovah ou qui, d’une façon ou d’une autre, lui manquent de respect, périront au cours de la “grande tribulation” toute proche.
Seuls seront épargnés ceux qui acceptent ce nom, le respectent et l’honorent.
En vérité, “le nom de Jéhovah est une tour forte. Le juste s’y réfugie et il y est en sûreté”.
— Prov. 18:10, Crampon 1905.
Référence:
https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/101970613
Ne prenez pas le nom de Dieu EN VAIN
Référence
https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/101970613
LE TROISIÈME des Dix Commandements concerne le nom de Dieu.
Il se lit comme suit : “Tu ne prendras pas le nom de Jéhovah, ton Dieu, en vain, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom en vain.”
— Ex. 20:7, Crampon 1905
Le nom de Dieu, “Jéhovah”, est en réalité une forme verbale et signifie littéralement “Il fait devenir”.
Au moyen de sa Parole, Dieu attire l’attention sur l’importance de son nom.
Il dit à Moïse : “Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob comme Dieu tout-puissant, mais sous mon nom de Jéhovah je ne me suis pas fait connaître à eux.”
Le nom apparaît 6 961 fois dans les Écritures hébraïques, plus de deux fois plus souvent que tous les autres termes désignant le vrai Dieu, tels que “Dieu”, “Seigneur” et “Très-Haut”.
— Ex. 6:3.
Quelles sont exactement la portée et la signification du troisième commandement ?
Que vise-t-il au juste ?
Certains exégètes juifs modernes prétendent qu’il vise uniquement le parjure, aussi le rendent-ils comme suit : “Tu ne jureras pas faussement par le nom du Seigneur ton Dieu; car le Seigneur ne tiendra pas pour innocent celui qui jure faussement par Son nom.”
Ces exégètes estiment qu’outrager simplement le nom de Dieu ne peut être une faute si grave qu’elle soit interdite par le troisième commandement.
Cet argument est-il fondé cependant ?
Non, bien sûr ! Une des raisons, c’est que le troisième commandement serait alors à peu près semblable au neuvième.
Celui-ci dit en effet : “Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.”
— Ex. 20:16.
Le récit consigné dans le vingt-quatrième chapitre du Lévitique (versets 10 à 16 Lév 24:10-16), montre qu’aux yeux de Jéhovah c’est une faute grave que de prendre son nom en vain.
Ce passage raconte le cas d’un homme qui employa “le Nom” d’une manière blasphématoire.
Il fut mis en prison jusqu’à ce que Jéhovah lui-même eût statué sur cette affaire. Or, Jéhovah déclara : “Celui qui blasphémera le nom de Jéhovah sera puni de mort.”
Manifestement, Dieu ne prenait pas à la légère le blasphème de son nom.
Au contraire, il le considérait comme un péché digne de mort.
On peut dire que le troisième commandement visait au moins quatre choses.
Autrement dit, il pouvait être violé de quatre manières.
Ceci intéresse également les chrétiens parce que le principe de ce commandement s’applique aussi à eux.
Par exemple, dans sa prière modèle, Jésus présente d’abord la requête suivante : “Que ton nom soit sanctifié.”
Sanctifier le nom de Dieu est tout le contraire de le prendre en vain.
L’apôtre Pierre écrivit que Dieu tira les chrétiens d’entre les nations pour en faire “un peuple pour son nom”.
— Mat. 6:9 ; Actes 15:14.
Tout d’abord, le troisième commandement vise ceux qui prononcent le nom de Dieu de manière irrespectueuse.
Il interdit l’usage du nom de Dieu dans des malédictions ou des jurons.
Employer les termes “Dieu” et “Jésus” dans diverses exclamations revient à le prendre en vain, le profaner.
En deuxième lieu, comme l’ont fait remarquer certains exégètes juifs, jurer faussement par le nom de Dieu est également le prendre en vain.
Toutefois, ce n’est pas là la principale ou seule façon de violer le troisième commandement, comme ils le prétendent.
On peut encore prendre le nom de Dieu en vain en le portant de façon indigne.
Par exemple, les Israélites sont devenus un peuple pour le nom de Dieu parce qu’ils furent délivrés par Jéhovah, qui leur donna ses lois et ses statuts et fit une alliance avec eux.
C’est pourquoi Moïse put dire à Israël : “Tous les peuples verront que le nom de Jéhovah est nommé sur toi, et ils te craindront.”
— Deut. 28:10, Crampon 1905.
Les Israélites étaient donc un peuple qui portait le nom de Dieu. Jéhovah lui-même déclara par la bouche du prophète Ésaïe (chapitre 43, verset 10, Crampon 1905) : “Vous êtes mes témoins, dit Jéhovah, et mon serviteur que j’ai choisi.”
Comme ils ne remplissaient pas leurs obligations en tant que peuple portant le nom de Dieu, les Israélites prenaient ce nom en vain.
C’est pourquoi, parlant de la part de Dieu, le prophète Ézéchiel leur dit : “Ce n’est pas à cause de vous que j’agis de la sorte, maison d’Israël ; c’est à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations où vous êtes allés.”
(Ézéch. 36:22).
Ainsi, par leur conduite idolâtre, alors qu’ils se prétendaient adorateurs de Jéhovah, ils profanaient le nom de Dieu. Ils le prenaient en vain, car ils jetaient l’opprobre sur ce nom.
On peut encore violer le troisième commandement d’une autre manière, c’est-à-dire en cachant, en passant sous silence ou en négligeant le nom de Dieu.
De nos jours, ce nom est passé sous silence à tel point que de nombreux Juifs et prétendus chrétiens, qui pourtant connaissent bien le troisième commandement, ne savent pas que Dieu a un nom personnel, distinctif, ni quel est ce nom.
La majorité de ceux qui connaissent ce nom l’ont appris grâce aux témoins de Jéhovah et non grâce aux chefs religieux.
Cependant, ce nom identifie le Créateur du ciel et de la terre comme étant le seul vrai Dieu et le distingue des faux dieux.
Soit dit en passant, de nombreux traducteurs de la Bible ont passé ce nom sous silence.
Jéhovah nous a averti qu’il ne laisserait pas impuni ceux qui prennent son nom en vain, qui l’utilisent de manière indigne et le profanent.
Le peuple d’Israël a vraiment pris le nom de Jéhovah en vain des quatre manières mentionnées plus haut.
À cause de cela, Jéhovah le châtia en permettant qu’il soit emmené en exil à Babylone.
Plus tard, les Israélites se montrèrent de nouveau indignes du nom de Jéhovah et le prirent en vain.
Après que Dieu les eut rejetés en tant que peuple pour son nom, il permit qu’ils fussent punis plus sévèrement encore, en l’an 70 de notre ère.
Les avertissements de Jéhovah s’étaient révélés exacts.
Aujourd’hui aussi, celui qui se dit témoin de Jéhovah mais qui enseigne l’apostasie ou qui a une conduite immorale, ne reste pas impuni.
Il n’agit pas en harmonie avec le nom qu’il porte.
Aussi est-il exclu de la congrégation chrétienne comme étant indigne de porter le nom de témoin de Jéhovah.
Les personnes de ce genre ont “accepté la bonté imméritée de Dieu pour en manquer le but”.
— II Cor. 6:1 ; Jude 8-16.
En outre, tous ceux qui passent sous silence le nom de Jéhovah ou qui, d’une façon ou d’une autre, lui manquent de respect, périront au cours de la “grande tribulation” toute proche.
Seuls seront épargnés ceux qui acceptent ce nom, le respectent et l’honorent.
En vérité, “le nom de Jéhovah est une tour forte. Le juste s’y réfugie et il y est en sûreté”.
— Prov. 18:10, Crampon 1905.
Référence:
https://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/101970613