La souffrance du monde
Posté : 18 oct.23, 03:15
Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.» Matthieu 5:45
Le monde est un mystère et la souffrance difficilement gérable car l'être qu'il soit homme ou animal traversent, dans l'angoisse les affres de l'inacceptable !
Ce qui est le moins acceptable pourtant, c'est la souffrance atroce du Fils de l'Homme sur la croix innocent des crimes qu'on lui imputait, victime de la barbarie humaine.
Ce péché, dont il est forcément question, était-il "programmé" dès l'instant de la création ? Est-ce par le biais du choix libre que l'Homme, en définitive, s'est effondré dans la pire des situations et astreint le Christ à payer pour la réconciliation ultime, alors que Dieu connaissait d'avance la réaction négative de l'Homme ? Le couteau du sacrifice n'a t-il pas été soustrait par Dieu lors du sacrifice d'Abraham sur son fils Isaac ? Il en a été autrement du sacrifice de Jésus !
Tout dans l'Univers est basé sur le positif et le négatif, la matière contre l'anti-matière, la présence et l'absence, la nuit et le jour, n'ont-ils pas été élaborés pour avaliser, en quelque sorte, le concept d'opposition du Bien contre le Mal ? Le parallélisme me paraît évident !
Dans notre vie de tous les jours, notre corps et ses désirs (le Mal ?) s'opposent à la perfection de l'âme (Le Bien ?) et ce combat ne prendra fin que lors de notre mort, assuré de l'Amour de Dieu grâce à notre foi et notre Espérance.
Au travers toutes les philosophies, ce mystère des oppositions est sans cesse au centre des angoisses récurrentes.
A titre d'exemple, Socrate, le père de la philosophie antique, bien avant l'avènement du Christ, parlait déjà de l'influence néfaste du corps et de son impact sur l'âme qui aspire pourtant à la perfection :
"Le corps ne nous mène jamais à la sagesse. Qui fait naître les guerres, les divisions, les combats ? Ce n'est que le corps avec toutes ses passions. En effet, ... tout ce qui satisfait le corps nous force à le servir comme des esclaves et pourvoir ainsi à ses besoins"
Nous vivons dans un monde où la recherche du pouvoir, le rejet de l'opinion d'autrui, de sa religion, gangrènent tout le corps de la société et il nous vient la pensée de l'Homme comme étant le pire prédateur d'autrui , de la faune et de la flore créés pourtant pour être élevés en gloire pour la reconnaissance des grâces qui les subliment.
"Christ est ma vie, et la mort m'est un gain. Mais s'il est utile pour mon oeuvre que je vive dans la chair, je ne saurais dire ce que je dois préférer.…" (Philippiens 1). Doit-on en arriver là ?
Martial107
Le monde est un mystère et la souffrance difficilement gérable car l'être qu'il soit homme ou animal traversent, dans l'angoisse les affres de l'inacceptable !
Ce qui est le moins acceptable pourtant, c'est la souffrance atroce du Fils de l'Homme sur la croix innocent des crimes qu'on lui imputait, victime de la barbarie humaine.
Ce péché, dont il est forcément question, était-il "programmé" dès l'instant de la création ? Est-ce par le biais du choix libre que l'Homme, en définitive, s'est effondré dans la pire des situations et astreint le Christ à payer pour la réconciliation ultime, alors que Dieu connaissait d'avance la réaction négative de l'Homme ? Le couteau du sacrifice n'a t-il pas été soustrait par Dieu lors du sacrifice d'Abraham sur son fils Isaac ? Il en a été autrement du sacrifice de Jésus !
Tout dans l'Univers est basé sur le positif et le négatif, la matière contre l'anti-matière, la présence et l'absence, la nuit et le jour, n'ont-ils pas été élaborés pour avaliser, en quelque sorte, le concept d'opposition du Bien contre le Mal ? Le parallélisme me paraît évident !
Dans notre vie de tous les jours, notre corps et ses désirs (le Mal ?) s'opposent à la perfection de l'âme (Le Bien ?) et ce combat ne prendra fin que lors de notre mort, assuré de l'Amour de Dieu grâce à notre foi et notre Espérance.
Au travers toutes les philosophies, ce mystère des oppositions est sans cesse au centre des angoisses récurrentes.
A titre d'exemple, Socrate, le père de la philosophie antique, bien avant l'avènement du Christ, parlait déjà de l'influence néfaste du corps et de son impact sur l'âme qui aspire pourtant à la perfection :
"Le corps ne nous mène jamais à la sagesse. Qui fait naître les guerres, les divisions, les combats ? Ce n'est que le corps avec toutes ses passions. En effet, ... tout ce qui satisfait le corps nous force à le servir comme des esclaves et pourvoir ainsi à ses besoins"
Nous vivons dans un monde où la recherche du pouvoir, le rejet de l'opinion d'autrui, de sa religion, gangrènent tout le corps de la société et il nous vient la pensée de l'Homme comme étant le pire prédateur d'autrui , de la faune et de la flore créés pourtant pour être élevés en gloire pour la reconnaissance des grâces qui les subliment.
"Christ est ma vie, et la mort m'est un gain. Mais s'il est utile pour mon oeuvre que je vive dans la chair, je ne saurais dire ce que je dois préférer.…" (Philippiens 1). Doit-on en arriver là ?
Martial107