Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 20 oct.23, 04:41Bonjour à tous!
Qui dites-vous que je suis ? Cette question, Yèshoua l’a posée à ses apôtres lors du retour d’une prédication à travers la Palestine. Citons ce passage :
13 Or, lorsque Jésus fut venu aux quartiers de Césarée de Philippe, il interrogea ses disciples, disant : Qui disent les hommes que je suis, moi, le fils de l’homme ?
14 Et ils dirent : Les uns disent : Jean le baptiseur ; les autres : Élie ; et d’autres : Jérémie ou l’un des prophètes. 15 Il leur dit : Et vous, qui dites-vous que je suis ?
16 Et Simon Pierre, répondant, dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.17 Et Jésus, répondant, lui dit : Tu es bienheureux, Simon Barjonas, car la chair et le sang ne t’ont pas révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 16)
Les apôtres savaient déjà très bien qui était Yèshoua et cela dès le début, dès son baptême pratiqué par Jean le Baptiste. Tous savaient qu’il était le fils de Dieu et ceci est confirmé dès le début des quatre Évangiles. Si nous comprenons cela en profondeur, la question qui est posée nous interroge, pourquoi une telle interrogation si cela ne soulève pas ces autres questions comme, qui est ce fils de Dieu, d’où vient-il, qu’elles sont ses origines et bien d’autres questionnements puisque les apôtres savaient déjà qu’il était le fils de Dieu ? Il est un fait qu’aujourd’hui, et de manière pressante, cette question nous est posée à tous et un grand nombre de réponses ont fusé de tout temps et de toute part au cours de l’histoire. Cependant une seule réponse peut être avancée et pour cause, le Christ est unique, il est ce qu’il a été et ce qu’il a été est unique et ne change pas.
Cette fameuse question qui dit, qui dites-vous que je suis, est extraite de la bible et c’est dans ce livre, rien que dans ce livre que l’on doit trouver la réponse à ce questionnement ainsi qu’à toutes les questions relatives à ce sujet.
Les juifs connaissaient le Christ surtout par les miracles qu’il faisait à travers tout le pays. En une certaine circonstance un grand enseignant juif, nommé Nicodème, ayant approché Yèshoua en cachette et de nuit lui dira que personne ne peut faire ces miracles si Dieu n’est pas avec lui. Voyons ce Passage dans l’Evangile de Jean 3 :
1Mais il y avait un homme d’entre les pharisiens, dont le nom était Nicodème, qui était un chef des Juifs
2 Celui-ci vint à lui de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que toi tu fais, si Dieu n’est avec lui. (Jean 3)
Selon le rapport des apôtres fait à Yèshoua, lors de leur retour d’une prédication à travers la Palestine, les juifs étaient convaincus qu’il pouvait être un des grands hommes bibliques du passé réincarné par Dieu pour sauver Israël qui se trouvait sous la domination romaine. Citons ce passage déjà cité en tête:
13 Or, lorsque Jésus fut venu aux quartiers de Césarée de Philippe, il interrogea ses disciples, disant : Qui disent les hommes que je suis, moi, le fils de l’homme ?
14 Et ils dirent : Les uns disent : Jean le baptiseur ; les autres : Élie ; et d’autres : Jérémie ou l’un des prophètes.
15 Il leur dit : Et vous, qui dites-vous que je suis ?
16 Et Simon Pierre, répondant, dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
17 Et Jésus, répondant, lui dit : Tu es bienheureux, Simon Barjonas, car la chair et le sang ne t’ont pas révélé [cela], mais mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 16)
Constatons que Yèshoua ne nia pas être le fils de Dieu ni être la réincarnation d’un grand homme du passé, et, dans cette éventualité, de qui exactement pouvait-il être la réincarnation ? La bible répond à cette question, à une condition : celle d’accepter et de ne pas chercher à interpréter ce qui est écrit car dans cette éventualité nous n’aurions pour réponse que notre propre interprétation, et non ce que la bible veut ce que nous sachions. C’est d’ailleurs là la volonté de Dieu comme le rappelle Jean et c’est un point très important pour ce que ce livre veut réellement nous dire :
40 Car c’est ici la volonté de mon Père : que quiconque discerne le Fils et croit en lui, ait la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. (Jean 6)
Dans ce verset la volonté de Dieu est que nous discernions et que nous n’interprétions pas de mille manières sa parole. A ce sujet, pour comprendre tout ce que je veux vous dire, ne disons pas au premier abord que la bible est la parole de Dieu car cela peut paraître stupide dans certains cas. En effet pour pouvoir le dire, il faut d’abord lire ce livre, l’étudier sérieusement et c’est très insuffisant car encore faut-il réellement avoir compris ce que ce livre veut réellement nous enseigner et ce n’est qu’après cela que nous pourrons conclure si la bible est, ou n’est pas ce qu’elle prétend être, c'est-à-dire, être la parole de Dieu. Ceci est vrai aussi pour tous les livres qui ont cette prétention.
Nous devons en permanence garder présent à l’esprit que l’interprétation des textes appartient à Dieu, et si l’interprétation appartient à Dieu elle ne nous appartient pas. Voici la confirmation dans ce passage :
23 Je sais, Éternel, que la voie de l’homme n’est pas à lui, qu’il n’est pas au pouvoir de l’homme qui marche de diriger ses pas. (Jérémie 10)
Alors nous ne dirons pas que la bible est la parole de Dieu mais nous pouvons dire avec une certitude absolue que la bible est un livre qui prétend être la parole de Dieu. Je dis bien le verbe prétendre et pour aller jusqu’au bout de mon raisonnement, faisons comme si cela était vrai et considérons cela comme une hypothèse qui facilitera notre travail de recherche tout en nous libérant de toutes les choses qui nous ont été enseignées d’une manière ou d’une autre et souvent depuis l’enfance.
Que la bible prétende être la parole de Dieu et que cela soit tant de fois écrit dans ce livre fait que cette prétention est omniprésente, comme une toile de fond dans cet ouvrage merveilleux, d’où l’importance d’aborder ce livre avec pragmatisme, avec un esprit cartésien, un esprit libre par rapport à ce livre le plus publié dans le monde, le premier à avoir été imprimé. Ce best-seller peut vraiment être considéré comme le monument littéraire fait pour l’humanité !
Maintenant une chose extrêmement importante : en aucun cas, vous ne devez prendre pour argent comptant tout ce que je peux dire ou écrire, ce serait du sectarisme qui consiste à suivre des enseignements d’homme mais vous devez vérifier dans votre bible si cela est écrit ou ne l’est pas noir sur blanc. Après c’est votre conscience qui entre en jeu, il y va de votre responsabilité et, surtout, si cela n’est pas écrit soyez sans crainte.
Souvent je compare la bible à une toile d’araignée complexe faite de milliers de fils où chaque fil représenterait des portions de ce livre. Si je gratte un seul de ces fils, c’est toute la toile qui vibre car tout est en harmonie puisque tout est lié dans une toile d’araignée et si ce fil est détérioré, rien ne se passe, pas de signal, pas de réponse. Il en est de même pour ce qui est de la bible, modifiez le sens d’un mot et l’idée qui est développée perd tout son sens comme cela est le cas du premier mot et de la première phrase qui perturbe tout le sens de la bible. Tous les textes de la bible sont en parfaite harmonie, cela seulement lorsque l’on a vraiment compris ce que ce livre veut nous dire, d’où l’impossibilité d’affirmer au premier abord que ce livre est la parole de Dieu ou pas.
Il est impossible de tout comprendre d’emblée mais cela vient petit à petit. Intellectuellement c’est à la portée de tous, à condition d’avoir un esprit simple, après, ce sera comme toucher Dieu et son fils du bout des doigts ! La bible utilisée ici est la traduction de John-Nelson Darby, une traduction réputée pour être très proche de l’original. Elle est pour moi presque parfaite, j’insiste sur le mot presque !
Encore une mise en garde : ce qui sera dit ici par rapport à ce qui est enseigné dans toutes les religions touchant la vie du Christ est très différent et remet beaucoup de choses en question sur de nombreux points et peut paraître insolent voire pire. C’est la raison qui fait que vous ne pourrez croire que si vous vérifiez dans la bible si cela est écrit ou pas. Si vous faites cela petit à petit vous serez envahis par un sentiment de paix dont parle le Christ. Jean 14 :
24 Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas la mienne, mais celle du Père qui m’a envoyé.
25 Je vous ai dit ces choses demeurant avec vous ;
26 mais le Consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites.
27 Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif.
Le Presbytre04.
Ajouté 22 heures 37 minutes 43 secondes après :
Bonjour à tous !
Le Christ n’a-t-il jamais péché ?
La bible est un livre écrit en grande partie en allégories, en paraboles, en similitudes, en contradictions qui ne sont qu’apparences, ou encore en images qui ont des sens cachés qu'il nous faut découvrir à l’aide des écrits là où ils sont cachés leurs explications. Il est dit qu'au temps de la fin que certains comprendront, que la connaissance ira grandissante, que nous comprendrons la colère de Dieu... Remarquons qu'il est bien dit "comprendront". Cela ne pourra être réservé qu'à ceux qui auront cherché et qui n'iront pas au-delà de ce qui est écrit.
1ère Preuve écrite du péché de Christ selon le Psaume 69.
Le Temple de Jérusalem était le centre religieux des juifs dans les temps anciens. Il y avait un endroit qui était appelé le Saint des Saints et qui était entouré de différents endroits appelés cours. Ainsi il y avait des cours pour les prêtres, pour les juifs, pour les hommes et pour les femmes. La cour la plus extérieure était pour les non-juifs qui en effet avaient le droit de venir au Temple pour y prier, droit qui est rappelé dans la prière de Salomon lors de l'inauguration du temple du même nom.
C'est cette cour réservée aux non-juifs qui fit scandale aux yeux de Yèshoua lors de son entrée dans le Temple de Jérusalem lors d'une fête juive de grande importance. On avait fait de cette cour réservée, aux non-juifs ou gentils, un centre de commerce, ce qui a révolté Yèshoua. Cet épisode est rapporté dans les quatre évangiles mais je ne vais vous reproduire que celui de Jean car il a quelque chose de plus que les trois autres. Jean 2 :
13 Et la Pâque des Juifs étaient proches, et Jésus monta à Jérusalem
14 Et il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs et de brebis et de colombes, et les changeurs qui y étaient assis.
15 Et ayant fait un fouet de cordes, il les chassa tous hors du temple, et les brebis et les bœufs ; et il répandit la monnaie des changeurs et renversa les tables.
16 Et il dit à ceux qui vendaient les colombes : Ôtez ces choses d’ici ; ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic.
17 Et ses disciples se souvinrent qu’il est écrit : « Le zèle de ta maison me dévore ».
Le détail important, à la différence des autres évangiles, c’est que Jean signale qu'ils se souvinrent qu'il est écrit : « Le zèle de ta maison me dévore ». S'il est dit que c'est écrit, c'est que ça l'est quelque part. Toutes les bibles qui ont des notes marginales pour signaler les concordances nous rappellent que c'est dans le psaume 69 :9 que cela est écrit. Je cite ce passage :
9 Car le zèle de ta maison m’a dévoré, et les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi.
Sans faire outrage à la vérité du texte en allant au-delà de ce qui est écrit, nous ne pouvons qu'admettre que ce Psaume 69 est à l'adresse de Yèshoua car celui-ci est clairement désigné et repris dans l’Évangile de Jean au chapitre 2. Il y a donc une parfaite concordance entre Jean 2 : 17 et Psaume 69 : 9 !
Voyez également en complément ce qui est écrit dans Jérémie au chapitre7 :
11 Cette maison qui est appelée de mon nom, est-elle une caverne de voleurs à vos yeux ? Moi aussi, voici, je l’ai vu, dit l’Éternel.
Toujours avec la même façon de raisonner je vous cite un autre passage dans Jean 19 :
28 Après cela Jésus, sachant que toutes choses étaient déjà accomplies, dit, afin que l’écriture fût accomplie : J’ai soif.
29 Il y avait donc là un vase plein de vinaigre. Et ils emplirent de vinaigre une éponge, et, l’ayant mise sur de l’hysope, ils la lui présentèrent à la bouche.
30 Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit : C’est accompli. Et ayant baissé la tête, il remit son esprit.
Là aussi, quelle bible ne fait pas le lien de cet autre passage de Jean où Yèshoua est clairement désigné avec le Psaume 69 que nous étudions ? Le voici :
21 Ils ont mis du fiel dans ma nourriture, et, dans ma soif, ils m’ont abreuvé de vinaigre.
Si nous approfondissons cette étude, nous constaterons que tout ce Psaume 69 est à l'adresse de Yèshoua dans tout ce qui est dit. Il faut comprendre ce Psaume comme une prière de Yèshoua à son Père et c'est la raison pour laquelle ce Psaume n'est écrit qu'à la première personne du singulier avec des je, me, mon, ma, mes, etc. comme par exemple il est dit :
2 Je suis enfoncé dans une boue profonde, et il n’y a pas où prendre pied ; je suis entré dans la profondeur des eaux, et le courant me submerge.
Et encore :
5 Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont pas cachées.
Et encore :
14 Délivre-moi du bourbier, et que je n’y enfonce point ; que je sois délivré de ceux qui me haïssent et des profondeurs des eaux.
Et encore :
19 Toi, tu connais mon opprobre, et ma honte, et ma confusion : tous mes adversaires sont devant toi.
Remarquez que ce n'est pas moi qui parle ici du péché de Yèshoua, je ne fais que vous montrer là où c’est écrit au verset 5. Je vous laisse lire !
5 Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont pas cachées.
Bien sûr vous ne savez pas encore où, quand, comment Yèshoua aurait péché car je ne vous l'ai pas dit présentement car j'ai l'intention de vous citer encore bien d’autres passages du même genre et de même intensité. Fort de ces passages, peut-être comprendrez-vous que je n'outrage pas la parole de Dieu et que je ne vais pas au-delà de ce qui est écrit.
Je ne peux que dire et redire que je ne peux que vous supplier de lire et relire simplement, lentement en vérifiant bien tout ce que j'écris dans votre bible car vous n'avez pas à m'écouter, moi, mais le livre qui prétend être la parole de Dieu.
Si vous avez suivi les bonnes règles de lecture vous devez avoir constaté qu’il n’est question dans ce Psaume 69 que de deux personnages : Yèshoua (Jésus), puisque c’est lui qui est désigné et qu’il est seul lançant une supplique à son Père. Si vous voulez croire qu’il y a aussi un autre personnage, un troisième, vous devez obligatoirement pouvoir démontrer une éventuelle transition qui le prouverait dans ce Psaume 69. Posez-vous la question : ai-je fait ou suis-je capable de faire cette transition ?
C’est vital !
Amicalement.
Le Presbytre04.
Qui dites-vous que je suis ? Cette question, Yèshoua l’a posée à ses apôtres lors du retour d’une prédication à travers la Palestine. Citons ce passage :
13 Or, lorsque Jésus fut venu aux quartiers de Césarée de Philippe, il interrogea ses disciples, disant : Qui disent les hommes que je suis, moi, le fils de l’homme ?
14 Et ils dirent : Les uns disent : Jean le baptiseur ; les autres : Élie ; et d’autres : Jérémie ou l’un des prophètes. 15 Il leur dit : Et vous, qui dites-vous que je suis ?
16 Et Simon Pierre, répondant, dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.17 Et Jésus, répondant, lui dit : Tu es bienheureux, Simon Barjonas, car la chair et le sang ne t’ont pas révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 16)
Les apôtres savaient déjà très bien qui était Yèshoua et cela dès le début, dès son baptême pratiqué par Jean le Baptiste. Tous savaient qu’il était le fils de Dieu et ceci est confirmé dès le début des quatre Évangiles. Si nous comprenons cela en profondeur, la question qui est posée nous interroge, pourquoi une telle interrogation si cela ne soulève pas ces autres questions comme, qui est ce fils de Dieu, d’où vient-il, qu’elles sont ses origines et bien d’autres questionnements puisque les apôtres savaient déjà qu’il était le fils de Dieu ? Il est un fait qu’aujourd’hui, et de manière pressante, cette question nous est posée à tous et un grand nombre de réponses ont fusé de tout temps et de toute part au cours de l’histoire. Cependant une seule réponse peut être avancée et pour cause, le Christ est unique, il est ce qu’il a été et ce qu’il a été est unique et ne change pas.
Cette fameuse question qui dit, qui dites-vous que je suis, est extraite de la bible et c’est dans ce livre, rien que dans ce livre que l’on doit trouver la réponse à ce questionnement ainsi qu’à toutes les questions relatives à ce sujet.
Les juifs connaissaient le Christ surtout par les miracles qu’il faisait à travers tout le pays. En une certaine circonstance un grand enseignant juif, nommé Nicodème, ayant approché Yèshoua en cachette et de nuit lui dira que personne ne peut faire ces miracles si Dieu n’est pas avec lui. Voyons ce Passage dans l’Evangile de Jean 3 :
1Mais il y avait un homme d’entre les pharisiens, dont le nom était Nicodème, qui était un chef des Juifs
2 Celui-ci vint à lui de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que toi tu fais, si Dieu n’est avec lui. (Jean 3)
Selon le rapport des apôtres fait à Yèshoua, lors de leur retour d’une prédication à travers la Palestine, les juifs étaient convaincus qu’il pouvait être un des grands hommes bibliques du passé réincarné par Dieu pour sauver Israël qui se trouvait sous la domination romaine. Citons ce passage déjà cité en tête:
13 Or, lorsque Jésus fut venu aux quartiers de Césarée de Philippe, il interrogea ses disciples, disant : Qui disent les hommes que je suis, moi, le fils de l’homme ?
14 Et ils dirent : Les uns disent : Jean le baptiseur ; les autres : Élie ; et d’autres : Jérémie ou l’un des prophètes.
15 Il leur dit : Et vous, qui dites-vous que je suis ?
16 Et Simon Pierre, répondant, dit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
17 Et Jésus, répondant, lui dit : Tu es bienheureux, Simon Barjonas, car la chair et le sang ne t’ont pas révélé [cela], mais mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 16)
Constatons que Yèshoua ne nia pas être le fils de Dieu ni être la réincarnation d’un grand homme du passé, et, dans cette éventualité, de qui exactement pouvait-il être la réincarnation ? La bible répond à cette question, à une condition : celle d’accepter et de ne pas chercher à interpréter ce qui est écrit car dans cette éventualité nous n’aurions pour réponse que notre propre interprétation, et non ce que la bible veut ce que nous sachions. C’est d’ailleurs là la volonté de Dieu comme le rappelle Jean et c’est un point très important pour ce que ce livre veut réellement nous dire :
40 Car c’est ici la volonté de mon Père : que quiconque discerne le Fils et croit en lui, ait la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. (Jean 6)
Dans ce verset la volonté de Dieu est que nous discernions et que nous n’interprétions pas de mille manières sa parole. A ce sujet, pour comprendre tout ce que je veux vous dire, ne disons pas au premier abord que la bible est la parole de Dieu car cela peut paraître stupide dans certains cas. En effet pour pouvoir le dire, il faut d’abord lire ce livre, l’étudier sérieusement et c’est très insuffisant car encore faut-il réellement avoir compris ce que ce livre veut réellement nous enseigner et ce n’est qu’après cela que nous pourrons conclure si la bible est, ou n’est pas ce qu’elle prétend être, c'est-à-dire, être la parole de Dieu. Ceci est vrai aussi pour tous les livres qui ont cette prétention.
Nous devons en permanence garder présent à l’esprit que l’interprétation des textes appartient à Dieu, et si l’interprétation appartient à Dieu elle ne nous appartient pas. Voici la confirmation dans ce passage :
23 Je sais, Éternel, que la voie de l’homme n’est pas à lui, qu’il n’est pas au pouvoir de l’homme qui marche de diriger ses pas. (Jérémie 10)
Alors nous ne dirons pas que la bible est la parole de Dieu mais nous pouvons dire avec une certitude absolue que la bible est un livre qui prétend être la parole de Dieu. Je dis bien le verbe prétendre et pour aller jusqu’au bout de mon raisonnement, faisons comme si cela était vrai et considérons cela comme une hypothèse qui facilitera notre travail de recherche tout en nous libérant de toutes les choses qui nous ont été enseignées d’une manière ou d’une autre et souvent depuis l’enfance.
Que la bible prétende être la parole de Dieu et que cela soit tant de fois écrit dans ce livre fait que cette prétention est omniprésente, comme une toile de fond dans cet ouvrage merveilleux, d’où l’importance d’aborder ce livre avec pragmatisme, avec un esprit cartésien, un esprit libre par rapport à ce livre le plus publié dans le monde, le premier à avoir été imprimé. Ce best-seller peut vraiment être considéré comme le monument littéraire fait pour l’humanité !
Maintenant une chose extrêmement importante : en aucun cas, vous ne devez prendre pour argent comptant tout ce que je peux dire ou écrire, ce serait du sectarisme qui consiste à suivre des enseignements d’homme mais vous devez vérifier dans votre bible si cela est écrit ou ne l’est pas noir sur blanc. Après c’est votre conscience qui entre en jeu, il y va de votre responsabilité et, surtout, si cela n’est pas écrit soyez sans crainte.
Souvent je compare la bible à une toile d’araignée complexe faite de milliers de fils où chaque fil représenterait des portions de ce livre. Si je gratte un seul de ces fils, c’est toute la toile qui vibre car tout est en harmonie puisque tout est lié dans une toile d’araignée et si ce fil est détérioré, rien ne se passe, pas de signal, pas de réponse. Il en est de même pour ce qui est de la bible, modifiez le sens d’un mot et l’idée qui est développée perd tout son sens comme cela est le cas du premier mot et de la première phrase qui perturbe tout le sens de la bible. Tous les textes de la bible sont en parfaite harmonie, cela seulement lorsque l’on a vraiment compris ce que ce livre veut nous dire, d’où l’impossibilité d’affirmer au premier abord que ce livre est la parole de Dieu ou pas.
Il est impossible de tout comprendre d’emblée mais cela vient petit à petit. Intellectuellement c’est à la portée de tous, à condition d’avoir un esprit simple, après, ce sera comme toucher Dieu et son fils du bout des doigts ! La bible utilisée ici est la traduction de John-Nelson Darby, une traduction réputée pour être très proche de l’original. Elle est pour moi presque parfaite, j’insiste sur le mot presque !
Encore une mise en garde : ce qui sera dit ici par rapport à ce qui est enseigné dans toutes les religions touchant la vie du Christ est très différent et remet beaucoup de choses en question sur de nombreux points et peut paraître insolent voire pire. C’est la raison qui fait que vous ne pourrez croire que si vous vérifiez dans la bible si cela est écrit ou pas. Si vous faites cela petit à petit vous serez envahis par un sentiment de paix dont parle le Christ. Jean 14 :
24 Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas la mienne, mais celle du Père qui m’a envoyé.
25 Je vous ai dit ces choses demeurant avec vous ;
26 mais le Consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites.
27 Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif.
Le Presbytre04.
Ajouté 22 heures 37 minutes 43 secondes après :
Bonjour à tous !
Le Christ n’a-t-il jamais péché ?
La bible est un livre écrit en grande partie en allégories, en paraboles, en similitudes, en contradictions qui ne sont qu’apparences, ou encore en images qui ont des sens cachés qu'il nous faut découvrir à l’aide des écrits là où ils sont cachés leurs explications. Il est dit qu'au temps de la fin que certains comprendront, que la connaissance ira grandissante, que nous comprendrons la colère de Dieu... Remarquons qu'il est bien dit "comprendront". Cela ne pourra être réservé qu'à ceux qui auront cherché et qui n'iront pas au-delà de ce qui est écrit.
1ère Preuve écrite du péché de Christ selon le Psaume 69.
Le Temple de Jérusalem était le centre religieux des juifs dans les temps anciens. Il y avait un endroit qui était appelé le Saint des Saints et qui était entouré de différents endroits appelés cours. Ainsi il y avait des cours pour les prêtres, pour les juifs, pour les hommes et pour les femmes. La cour la plus extérieure était pour les non-juifs qui en effet avaient le droit de venir au Temple pour y prier, droit qui est rappelé dans la prière de Salomon lors de l'inauguration du temple du même nom.
C'est cette cour réservée aux non-juifs qui fit scandale aux yeux de Yèshoua lors de son entrée dans le Temple de Jérusalem lors d'une fête juive de grande importance. On avait fait de cette cour réservée, aux non-juifs ou gentils, un centre de commerce, ce qui a révolté Yèshoua. Cet épisode est rapporté dans les quatre évangiles mais je ne vais vous reproduire que celui de Jean car il a quelque chose de plus que les trois autres. Jean 2 :
13 Et la Pâque des Juifs étaient proches, et Jésus monta à Jérusalem
14 Et il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs et de brebis et de colombes, et les changeurs qui y étaient assis.
15 Et ayant fait un fouet de cordes, il les chassa tous hors du temple, et les brebis et les bœufs ; et il répandit la monnaie des changeurs et renversa les tables.
16 Et il dit à ceux qui vendaient les colombes : Ôtez ces choses d’ici ; ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic.
17 Et ses disciples se souvinrent qu’il est écrit : « Le zèle de ta maison me dévore ».
Le détail important, à la différence des autres évangiles, c’est que Jean signale qu'ils se souvinrent qu'il est écrit : « Le zèle de ta maison me dévore ». S'il est dit que c'est écrit, c'est que ça l'est quelque part. Toutes les bibles qui ont des notes marginales pour signaler les concordances nous rappellent que c'est dans le psaume 69 :9 que cela est écrit. Je cite ce passage :
9 Car le zèle de ta maison m’a dévoré, et les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi.
Sans faire outrage à la vérité du texte en allant au-delà de ce qui est écrit, nous ne pouvons qu'admettre que ce Psaume 69 est à l'adresse de Yèshoua car celui-ci est clairement désigné et repris dans l’Évangile de Jean au chapitre 2. Il y a donc une parfaite concordance entre Jean 2 : 17 et Psaume 69 : 9 !
Voyez également en complément ce qui est écrit dans Jérémie au chapitre7 :
11 Cette maison qui est appelée de mon nom, est-elle une caverne de voleurs à vos yeux ? Moi aussi, voici, je l’ai vu, dit l’Éternel.
Toujours avec la même façon de raisonner je vous cite un autre passage dans Jean 19 :
28 Après cela Jésus, sachant que toutes choses étaient déjà accomplies, dit, afin que l’écriture fût accomplie : J’ai soif.
29 Il y avait donc là un vase plein de vinaigre. Et ils emplirent de vinaigre une éponge, et, l’ayant mise sur de l’hysope, ils la lui présentèrent à la bouche.
30 Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit : C’est accompli. Et ayant baissé la tête, il remit son esprit.
Là aussi, quelle bible ne fait pas le lien de cet autre passage de Jean où Yèshoua est clairement désigné avec le Psaume 69 que nous étudions ? Le voici :
21 Ils ont mis du fiel dans ma nourriture, et, dans ma soif, ils m’ont abreuvé de vinaigre.
Si nous approfondissons cette étude, nous constaterons que tout ce Psaume 69 est à l'adresse de Yèshoua dans tout ce qui est dit. Il faut comprendre ce Psaume comme une prière de Yèshoua à son Père et c'est la raison pour laquelle ce Psaume n'est écrit qu'à la première personne du singulier avec des je, me, mon, ma, mes, etc. comme par exemple il est dit :
2 Je suis enfoncé dans une boue profonde, et il n’y a pas où prendre pied ; je suis entré dans la profondeur des eaux, et le courant me submerge.
Et encore :
5 Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont pas cachées.
Et encore :
14 Délivre-moi du bourbier, et que je n’y enfonce point ; que je sois délivré de ceux qui me haïssent et des profondeurs des eaux.
Et encore :
19 Toi, tu connais mon opprobre, et ma honte, et ma confusion : tous mes adversaires sont devant toi.
Remarquez que ce n'est pas moi qui parle ici du péché de Yèshoua, je ne fais que vous montrer là où c’est écrit au verset 5. Je vous laisse lire !
5 Ô Dieu ! Tu connais ma folie, et mes fautes ne te sont pas cachées.
Bien sûr vous ne savez pas encore où, quand, comment Yèshoua aurait péché car je ne vous l'ai pas dit présentement car j'ai l'intention de vous citer encore bien d’autres passages du même genre et de même intensité. Fort de ces passages, peut-être comprendrez-vous que je n'outrage pas la parole de Dieu et que je ne vais pas au-delà de ce qui est écrit.
Je ne peux que dire et redire que je ne peux que vous supplier de lire et relire simplement, lentement en vérifiant bien tout ce que j'écris dans votre bible car vous n'avez pas à m'écouter, moi, mais le livre qui prétend être la parole de Dieu.
Si vous avez suivi les bonnes règles de lecture vous devez avoir constaté qu’il n’est question dans ce Psaume 69 que de deux personnages : Yèshoua (Jésus), puisque c’est lui qui est désigné et qu’il est seul lançant une supplique à son Père. Si vous voulez croire qu’il y a aussi un autre personnage, un troisième, vous devez obligatoirement pouvoir démontrer une éventuelle transition qui le prouverait dans ce Psaume 69. Posez-vous la question : ai-je fait ou suis-je capable de faire cette transition ?
C’est vital !
Amicalement.
Le Presbytre04.
Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 21 oct.23, 03:31Bonjour,
Il y a une constante, immuable, incontournable, qui présente un caractère de permanence, qui ne varie pas et ni qui s'interrompt et cette constante est : "Il n'y a pas d'autre Dieu que D.IEU".
A partir de cette vérité absolue qui est Jésus ?
Il y a une constante, immuable, incontournable, qui présente un caractère de permanence, qui ne varie pas et ni qui s'interrompt et cette constante est : "Il n'y a pas d'autre Dieu que D.IEU".
A partir de cette vérité absolue qui est Jésus ?
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 21 oct.23, 05:25La prémisse est fausse, d'où la question tout aussi fausse...
C'est plutôt : Il n'y a pas d'autre que dieu...
Car dieu seul peut ''être''...
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 22 oct.23, 06:27Bonjour Prisca !
Qui est vraiment Yèshoua ?
Avec tout ce que l’on a pu vous enseigner dans le passé, j’imagine votre surprise, comment est-ce possible, le Christ pécheur, inimaginable ! Votre surprise doit être de taille et ce n’est pas fini ! Avant de continuer dans l’explication d’une dizaine de passages montrant clairement, dans la bible appartenant à tous, que Yèshoua a connu le péché et pour plus de clarté, il serait bien avant de continuer, de décrire brièvement les origines du Christ selon la bible pour faciliter l’acceptation d’un Christ pécheur, car présenter cet homme de cette façon, il y a là certainement un mur plus que difficile à franchir.
Les Églises Chrétiennes s’accordent pour admettre qu’il est bien écrit que Dieu a réalisé toutes les choses pour son Fils. Donc, après avoir réalisé toutes ces choses, c’est à ce Fils que ce tout a été donné puisque c’est pour ce Fils que toutes choses ont été réalisées. C’est sur ce point capital que notre acceptation doit s’appuyer. Simple logique et au nom de cette logique la question qui doit se poser sur toutes nos lèvres est, à qui Dieu a-t-il réellement tout donné dans les faits selon ce qui est écrit afin d’avoir la réponse à la question posée, le sujet de cette étude. Dès les premières pages de la bible nous voyons que c’est à Adam que tout a été donné et à personne d’autre. Tout le sens de la bible en dépend.
Genèse 1 :
26 Et Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’ils dominent sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout animal rampant qui rampe sur la terre.
27 Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle.
28 Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Fructifiez, et multipliez, et remplissez la terre et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur tout être vivant qui se meut sur la terre.
L’essence de ces versets est reprise dans bien d’autres passages de la bible. Retenons que cet homme a été oint ou établi sur tout l’avoir de Dieu déjà avant son existence réelle sur terre en tant qu’être sans tache allant être façonné à l’image de Dieu, ce qu’il n’était pas encore. Bien-sûr vous le savez certainement, il s’agit de l’Homme Adam. Quand je parle de l’avoir de Dieu, il s’agit exclusivement de ses réalisations décrites dans le chapitre 1 et absolument rien d’autre.
Celui que nous appelons Adam, Dieu l’a toujours appelé « Ish » en hébreux ce qui signifie « l’Homme » dans notre langue et il l’a oint ou établi sur toute son œuvre décrite dès les premières lignes du premier chapitre de la bible. Rappelons que les mots oint, christ, établi signifient exactement la même chose, il s’agit du Saint de Dieu. Sur cet épisode il y a tant de choses à dire, cependant soulignons que dans la généalogie de Christ toujours en vigueur en son temps, Adam est le seul à être appelé Fils de Dieu faisant de lui le Fils unique connu de Dieu car il est le seul à avoir été façonné directement par Dieu. Luc chapitre 3 traduit ainsi dans la plupart des bibles :
(…) 38 fils d'Enos, fils de Seth, fils d'Adam, fils de Dieu. (Traduit ainsi dans la plupart des bibles)
Ce que nous venons de voir semble nous faire comprendre qu’Adam serait ce fils unique de Dieu que Dieu appelle toujours « l’Homme » avec l’article défini ou « Ish » en hébreux qui signifie « l’Homme » et jamais Adam qui veut dire tiré du sol ou tiré de la poussière. Lors de l’énumération des conséquences du péché, la femme appelée jusque-là « Isha » parce qu’elle a été tirée de « Ish », verra son mari prendre la parole au milieu de l’énumération par Dieu des conséquences de leur péché, et changer son nom en Eve qui vient du verbe « khava » en hébreux qui signifie, vivre, parce qu’à cet instant précis elle était enceinte de Caïn à qui elle allait donner la vie. Genèse 3 :
20 Et l’homme appela sa femme du nom d’Ève, parce qu’elle était la mère de tous les vivants.
Ce n’est certainement pas par hasard que Pilate présentera le Christ à la foule qui voulait sa mort en disant : « Voici l’Homme ». Maintenant juste une curiosité, pourquoi à juste titre le Christ est aussi appelé « le fils de l’Homme », comment peut-il être fils de lui-même ou qu’est-ce que cela signifie ? Ceci pour susciter un peu de curiosité en vous, la réponse viendra plus tard !
Avant de poursuivre notre étude, rappelons qu’après avoir péché en Éden, Adam vivra encore un peu moins de 900 ans au milieu de sa descendance. Il mènera une vie de repentance et nous verrons que c’est grandement ce que nous enseigne la bible dans le Livre des Psaumes comme le 40 que nous allons étudier maintenant qui présente aussi le Christ comme un homme ayant connu le péché, examinons-le. (Donc à suivre)
Amicalement.
Le Presbytre.
Qui est vraiment Yèshoua ?
Avec tout ce que l’on a pu vous enseigner dans le passé, j’imagine votre surprise, comment est-ce possible, le Christ pécheur, inimaginable ! Votre surprise doit être de taille et ce n’est pas fini ! Avant de continuer dans l’explication d’une dizaine de passages montrant clairement, dans la bible appartenant à tous, que Yèshoua a connu le péché et pour plus de clarté, il serait bien avant de continuer, de décrire brièvement les origines du Christ selon la bible pour faciliter l’acceptation d’un Christ pécheur, car présenter cet homme de cette façon, il y a là certainement un mur plus que difficile à franchir.
Les Églises Chrétiennes s’accordent pour admettre qu’il est bien écrit que Dieu a réalisé toutes les choses pour son Fils. Donc, après avoir réalisé toutes ces choses, c’est à ce Fils que ce tout a été donné puisque c’est pour ce Fils que toutes choses ont été réalisées. C’est sur ce point capital que notre acceptation doit s’appuyer. Simple logique et au nom de cette logique la question qui doit se poser sur toutes nos lèvres est, à qui Dieu a-t-il réellement tout donné dans les faits selon ce qui est écrit afin d’avoir la réponse à la question posée, le sujet de cette étude. Dès les premières pages de la bible nous voyons que c’est à Adam que tout a été donné et à personne d’autre. Tout le sens de la bible en dépend.
Genèse 1 :
26 Et Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’ils dominent sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout animal rampant qui rampe sur la terre.
27 Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle.
28 Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Fructifiez, et multipliez, et remplissez la terre et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur tout être vivant qui se meut sur la terre.
L’essence de ces versets est reprise dans bien d’autres passages de la bible. Retenons que cet homme a été oint ou établi sur tout l’avoir de Dieu déjà avant son existence réelle sur terre en tant qu’être sans tache allant être façonné à l’image de Dieu, ce qu’il n’était pas encore. Bien-sûr vous le savez certainement, il s’agit de l’Homme Adam. Quand je parle de l’avoir de Dieu, il s’agit exclusivement de ses réalisations décrites dans le chapitre 1 et absolument rien d’autre.
Celui que nous appelons Adam, Dieu l’a toujours appelé « Ish » en hébreux ce qui signifie « l’Homme » dans notre langue et il l’a oint ou établi sur toute son œuvre décrite dès les premières lignes du premier chapitre de la bible. Rappelons que les mots oint, christ, établi signifient exactement la même chose, il s’agit du Saint de Dieu. Sur cet épisode il y a tant de choses à dire, cependant soulignons que dans la généalogie de Christ toujours en vigueur en son temps, Adam est le seul à être appelé Fils de Dieu faisant de lui le Fils unique connu de Dieu car il est le seul à avoir été façonné directement par Dieu. Luc chapitre 3 traduit ainsi dans la plupart des bibles :
(…) 38 fils d'Enos, fils de Seth, fils d'Adam, fils de Dieu. (Traduit ainsi dans la plupart des bibles)
Ce que nous venons de voir semble nous faire comprendre qu’Adam serait ce fils unique de Dieu que Dieu appelle toujours « l’Homme » avec l’article défini ou « Ish » en hébreux qui signifie « l’Homme » et jamais Adam qui veut dire tiré du sol ou tiré de la poussière. Lors de l’énumération des conséquences du péché, la femme appelée jusque-là « Isha » parce qu’elle a été tirée de « Ish », verra son mari prendre la parole au milieu de l’énumération par Dieu des conséquences de leur péché, et changer son nom en Eve qui vient du verbe « khava » en hébreux qui signifie, vivre, parce qu’à cet instant précis elle était enceinte de Caïn à qui elle allait donner la vie. Genèse 3 :
20 Et l’homme appela sa femme du nom d’Ève, parce qu’elle était la mère de tous les vivants.
Ce n’est certainement pas par hasard que Pilate présentera le Christ à la foule qui voulait sa mort en disant : « Voici l’Homme ». Maintenant juste une curiosité, pourquoi à juste titre le Christ est aussi appelé « le fils de l’Homme », comment peut-il être fils de lui-même ou qu’est-ce que cela signifie ? Ceci pour susciter un peu de curiosité en vous, la réponse viendra plus tard !
Avant de poursuivre notre étude, rappelons qu’après avoir péché en Éden, Adam vivra encore un peu moins de 900 ans au milieu de sa descendance. Il mènera une vie de repentance et nous verrons que c’est grandement ce que nous enseigne la bible dans le Livre des Psaumes comme le 40 que nous allons étudier maintenant qui présente aussi le Christ comme un homme ayant connu le péché, examinons-le. (Donc à suivre)
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 22 oct.23, 14:12Le Presbytre04 a écrit : ↑21 oct.23, 03:19 Jean 14 : 26 mais le Consolateur, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites.
Pas trop sûr qui fait quoi quand je lis un peu plus loin :
Jean 15:26 Mais quand le Consolateur sera venu, lequel moi je vous enverrai d'auprès du Père, l'Esprit de vérité, qui procède du Père, celui-là rendra témoignage de moi.
C'est plutôt bizarre qu'on lui colle ce type de pensée d'autant plus qu'il n'est pas dit que quelqu'un savait précisément lire dans les pensées...28 Après cela Jésus, sachant que toutes choses étaient déjà accomplies, dit, afin que l’écriture fût accomplie : J’ai soif.
Vous ne voyez pas l'entourloupe?
Avant même de se lancer dans quelque hypothèse ou interprétation quant à ce psaume, il faut se demander qui en est l'auteur...Là aussi, quelle bible ne fait pas le lien de cet autre passage de Jean où Yèshoua est clairement désigné avec le Psaume 69 que nous étudions ? Le voici :
21 Ils ont mis du fiel dans ma nourriture, et, dans ma soif, ils m’ont abreuvé de vinaigre.
Psaume de David... Shhit!!
Le reste est à corriger avec cela en tête...
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 22 oct.23, 20:51C'est un mensonge puisque Jéhovah avoue qu'il est jaloux des autres dieux.
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 22 oct.23, 21:50Bonjour Saint Glinglin !
Il est totalement impossible à Dieu de donner vie à un être qui soit incorruptible et à son image. Pourquoi? Parce que Dieu est amour et que l'amour est totalement indissociable de la liberté, libre d'aller dans un sens comme dans l'autre, libre d'aimer ou de haïr, libre de faire le bien comme de faire le mal... et Dieu ne punit pas, c'est l'homme qui imparablement récolte ce qu'il a semé! C'est une règle de vie ou de mort qui a été dévoilée à nos premiers parents comme aussi à Israël lors du renouvellement des alliances de bénédictions ou de malédictions avant leur entrée en terre promise à leurs ancêtres. Des règles toujours d'actualité car ce sont des règles de vie pour l'éternité et c'est le principe de base du christianisme. C'est nous-mêmes qui nous nous détruisons ou nous construisons sous la direction des lois divines.
Dieu ne peut pas faire tout seul l'homme à son image, il ne pourrait que faire un automate ou un animal. C'est pourquoi il dit à partir d'un homme encore animal :"Faisons l'Homme à notre image" car il lui faut le complicité de l'homme pour le construire ensemble à son image et ainsi être Un dans une parfaite communion, ce à quoi nous sommes tous appelés. C'est vrai pour Adam réincarné par la suite sous le nom de Yèshoua ("Dieu sauve"; parce qu'il a perdu pour un temps cette possibilité de vie éternelle) comme pour chacun de nous.
C'est pourquoi le nom de Dieu originel Éloah est devenu Élohim au pluriel car nous aussi sommes de Dieux puisque des fils de Dieu et comme le dit Paul : "Car aussi nous sommes de sa race".
Amicalement.
Le Presbytre.
Il est totalement impossible à Dieu de donner vie à un être qui soit incorruptible et à son image. Pourquoi? Parce que Dieu est amour et que l'amour est totalement indissociable de la liberté, libre d'aller dans un sens comme dans l'autre, libre d'aimer ou de haïr, libre de faire le bien comme de faire le mal... et Dieu ne punit pas, c'est l'homme qui imparablement récolte ce qu'il a semé! C'est une règle de vie ou de mort qui a été dévoilée à nos premiers parents comme aussi à Israël lors du renouvellement des alliances de bénédictions ou de malédictions avant leur entrée en terre promise à leurs ancêtres. Des règles toujours d'actualité car ce sont des règles de vie pour l'éternité et c'est le principe de base du christianisme. C'est nous-mêmes qui nous nous détruisons ou nous construisons sous la direction des lois divines.
Dieu ne peut pas faire tout seul l'homme à son image, il ne pourrait que faire un automate ou un animal. C'est pourquoi il dit à partir d'un homme encore animal :"Faisons l'Homme à notre image" car il lui faut le complicité de l'homme pour le construire ensemble à son image et ainsi être Un dans une parfaite communion, ce à quoi nous sommes tous appelés. C'est vrai pour Adam réincarné par la suite sous le nom de Yèshoua ("Dieu sauve"; parce qu'il a perdu pour un temps cette possibilité de vie éternelle) comme pour chacun de nous.
C'est pourquoi le nom de Dieu originel Éloah est devenu Élohim au pluriel car nous aussi sommes de Dieux puisque des fils de Dieu et comme le dit Paul : "Car aussi nous sommes de sa race".
Amicalement.
Le Presbytre.
Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 22 oct.23, 22:21Bonjour Le Presbytre04,Le Presbytre04 a écrit : ↑22 oct.23, 06:27 Bonjour Prisca !
Qui est vraiment Yèshoua ?
Avec tout ce que l’on a pu vous enseigner dans le passé, j’imagine votre surprise, comment est-ce possible, le Christ pécheur, inimaginable ! Votre surprise doit être de taille et ce n’est pas fini ! Avant de continuer dans l’explication d’une dizaine de passages montrant clairement, dans la bible appartenant à tous, que Yèshoua a connu le péché et pour plus de clarté, il serait bien avant de continuer, de décrire brièvement les origines du Christ selon la bible pour faciliter l’acceptation d’un Christ pécheur, car présenter cet homme de cette façon, il y a là certainement un mur plus que difficile à franchir.
Les Églises Chrétiennes s’accordent pour admettre qu’il est bien écrit que Dieu a réalisé toutes les choses pour son Fils. Donc, après avoir réalisé toutes ces choses, c’est à ce Fils que ce tout a été donné puisque c’est pour ce Fils que toutes choses ont été réalisées. C’est sur ce point capital que notre acceptation doit s’appuyer. Simple logique et au nom de cette logique la question qui doit se poser sur toutes nos lèvres est, à qui Dieu a-t-il réellement tout donné dans les faits selon ce qui est écrit afin d’avoir la réponse à la question posée, le sujet de cette étude. Dès les premières pages de la bible nous voyons que c’est à Adam que tout a été donné et à personne d’autre. Tout le sens de la bible en dépend.
Genèse 1 :
26 Et Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’ils dominent sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout animal rampant qui rampe sur la terre.
27 Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle.
28 Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Fructifiez, et multipliez, et remplissez la terre et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur tout être vivant qui se meut sur la terre.
L’essence de ces versets est reprise dans bien d’autres passages de la bible. Retenons que cet homme a été oint ou établi sur tout l’avoir de Dieu déjà avant son existence réelle sur terre en tant qu’être sans tache allant être façonné à l’image de Dieu, ce qu’il n’était pas encore. Bien-sûr vous le savez certainement, il s’agit de l’Homme Adam. Quand je parle de l’avoir de Dieu, il s’agit exclusivement de ses réalisations décrites dans le chapitre 1 et absolument rien d’autre.
Celui que nous appelons Adam, Dieu l’a toujours appelé « Ish » en hébreux ce qui signifie « l’Homme » dans notre langue et il l’a oint ou établi sur toute son œuvre décrite dès les premières lignes du premier chapitre de la bible. Rappelons que les mots oint, christ, établi signifient exactement la même chose, il s’agit du Saint de Dieu. Sur cet épisode il y a tant de choses à dire, cependant soulignons que dans la généalogie de Christ toujours en vigueur en son temps, Adam est le seul à être appelé Fils de Dieu faisant de lui le Fils unique connu de Dieu car il est le seul à avoir été façonné directement par Dieu. Luc chapitre 3 traduit ainsi dans la plupart des bibles :
(…) 38 fils d'Enos, fils de Seth, fils d'Adam, fils de Dieu. (Traduit ainsi dans la plupart des bibles)
Ce que nous venons de voir semble nous faire comprendre qu’Adam serait ce fils unique de Dieu que Dieu appelle toujours « l’Homme » avec l’article défini ou « Ish » en hébreux qui signifie « l’Homme » et jamais Adam qui veut dire tiré du sol ou tiré de la poussière. Lors de l’énumération des conséquences du péché, la femme appelée jusque-là « Isha » parce qu’elle a été tirée de « Ish », verra son mari prendre la parole au milieu de l’énumération par Dieu des conséquences de leur péché, et changer son nom en Eve qui vient du verbe « khava » en hébreux qui signifie, vivre, parce qu’à cet instant précis elle était enceinte de Caïn à qui elle allait donner la vie. Genèse 3 :
20 Et l’homme appela sa femme du nom d’Ève, parce qu’elle était la mère de tous les vivants.
Ce n’est certainement pas par hasard que Pilate présentera le Christ à la foule qui voulait sa mort en disant : « Voici l’Homme ». Maintenant juste une curiosité, pourquoi à juste titre le Christ est aussi appelé « le fils de l’Homme », comment peut-il être fils de lui-même ou qu’est-ce que cela signifie ? Ceci pour susciter un peu de curiosité en vous, la réponse viendra plus tard !
Avant de poursuivre notre étude, rappelons qu’après avoir péché en Éden, Adam vivra encore un peu moins de 900 ans au milieu de sa descendance. Il mènera une vie de repentance et nous verrons que c’est grandement ce que nous enseigne la bible dans le Livre des Psaumes comme le 40 que nous allons étudier maintenant qui présente aussi le Christ comme un homme ayant connu le péché, examinons-le. (Donc à suivre)
Amicalement.
Le Presbytre.
Je vais tenter de suivre ta trame analytique.
Qui est Jésus ?
C'est la première question et elle a grande importance.
Toi tu vois Jésus comme un homme de surcroit "pécheur" (je te cite : " Yèshoua a connu le péché")
Tu indiques qu'à Jésus D.IEU a tout donné, mais en fait tu substitues Jésus a Adam pour dire qu'en fait c'est à Adam que Dieu a tout donné.
Adam sans tâche tu précises, oui bien sûr puisque sous l'égide de D.IEU puisqu'Adam vivait en Eden sous la bonne garde de l'ETERNEL.
Et je lis que tu penses qu'Adam est "ce fils unique" que D.IEU appelle "homme".
Mais tu dis que l'homme dans le sens spirituel du terme et non pas l'Adam tiré de la glaise. (le glébeux)
Donc pour toi il y a l'homme qui vit en Eden qui est spirituel, et puis il y a l'homme qui sort de l'Eden et qui est animal.
Ensuite tu parles du Christ et tu fais allusion à Pilate qui annonce "voici l'homme".
Après nous serions interpelés pour savoir pourquoi en fait Jésus est appelé "fils de l'homme".
Tu laisses la réponse en suspens et tu abordes le sujet du comportement d'Adam lequel se repent dis tu.
Tu établis un lien entre Adam en repentance et Jésus que tu identifies à Adam.
Tu indiques : "à suivre", donc j'attends la suite.
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 23 oct.23, 01:35Ah les problèmes d'ophtalmos !
Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 23 oct.23, 02:33Un presbytre (du grec ancien πρεσβύτερος / presbutéros) est un « ancien » ou un « aîné » en grec classique avant de désigner une fonction de responsable et de conseiller dans les premières communautés chrétiennes. Ce terme est à l'origine du mot actuel « prêtre ».
Nous avons donc comme interlocuteur un prêtre du département 04 ? A savoir les Alpes de Haute Provence, chef lieu Digne ?
Nous avons donc comme interlocuteur un prêtre du département 04 ? A savoir les Alpes de Haute Provence, chef lieu Digne ?
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 23 oct.23, 04:50Tu ne parles donc pas du dieu de l'AT.Le Presbytre04 a écrit : ↑22 oct.23, 21:50 Bonjour Saint Glinglin !
Il est totalement impossible à Dieu de donner vie à un être qui soit incorruptible et à son image. Pourquoi? Parce que Dieu est amour
Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 23 oct.23, 06:26Si, Amour de lui-même.
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 28 oct.23, 01:03Bonjour Prisca !
Excuses-moi de tarder à te répondre, le problème est que j'ai fais un petit séjour à l'hôpital mais tout va pour le mieux. Je pense et je suis presque certain que nous aurons de bonnes conversations et en attendant saches de moi que j'aime bien ton étoile... Je continue comme promis pour comprendre qui est ce fils de Dieu!
2ème Preuve écrite du péché de Christ selon le Psaume 40.
1 J’ai attendu patiemment l’Éternel ; et il s’est penché vers moi, et a entendu mon cri.
2 Il m’a fait monter hors du puits de la destruction, hors d’un bourbier fangeux ; et il a mis mes pieds sur un roc, il a établi mes pas.
3 Et il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, la louange de notre Dieu. Plusieurs le verront, et craindront, et se confieront en l’Éternel.
Dans le verset 2 le puits de la destruction est synonyme de bourbier fangeux et symbolise le péché qui entraîne la destruction et la mort de laquelle on ne peut sortir sans une aide extérieure capable de sortir de là celui qui, dans la réalité, voudrait sortir seul d’un tel bourbier sans un appui, c’est-à-dire sans une aide extérieure, ne pourrait que s’enfoncer davantage et succomber.
Ce Psaume 40 fait partie du premier Livre des Psaumes qui en compte quatre. Comme un peu partout dans ces livres du même nom, écrits entre autres par David mais inspirés par Dieu, nous voyons le véritable Auteur nous montrer la bonne et constante attitude d’un homme réclamant sans cesse, à force de prières, de repentances, sa volonté à vouloir racheter sa faute grave avec les conséquences que cela allait entraîner. Qui est cet homme qui crie si fort vers Dieu selon les textes ? Puisque j’associe cet homme à Christ, qui lors du séjour parmi nous que nous connaissons a vécu d’une manière absolument parfaite aux yeux de Dieu et des hommes, comment cela est-il possible ? C’est tout le sens de cette démonstration que je vous propose qui répond à la question posée par Christ : «Qui dit-on que je suis ?».
Des versets de ce Psaume 40 nous disent également :
6 Au sacrifice et à l’offrande de gâteau tu n’as pas pris plaisir : tu m’as creusé des oreilles ; tu n’as pas demandé d’holocauste ni de sacrifice pour le péché.
7 Alors j’ai dit : Voici, je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre.
Nous tiendrons avec ce passage les mêmes raisonnements que nous tiendrons par la suite dans notre étude des psaumes et autres passages utiles pour notre démonstration du péché de Yèshoua.
À qui attribuer ce passage des Psaumes cités ci-dessus ? Sans nul doute à Yèshoua et cela est confirmé par Paul qui, environ mille ans après, reprend ce passage de David dans sa Lettre aux Hébreux qui montre, là aussi, la concordance entre le Psaume 40 : 6 et 7 et les versets 5 à 10 de la Lettre aux Hébreux au chapitre 10 que nous citons ci-dessous :
5 C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : « Tu n’as pas voulu de sacrifice ni d’offrande, mais tu m’as formé un corps.
6 Tu n’as pas pris plaisir aux holocaustes ni aux sacrifices pour le péché ;
7 alors j’ai dit : Voici, je viens, — il est écrit de moi dans le rouleau du livre — pour faire, ô Dieu, ta volonté. (Psaume 40 :6-8).
8 Ayant dit plus haut : « Tu n’as pas voulu de sacrifices, ni d’offrandes, ni d’holocaustes, ni de sacrifices pour le péché, et tu n’y as pas pris plaisir » — lesquels sont offerts selon la loi,
9 — alors il dit : « Voici, je viens pour faire ta volonté ». Il ôte le premier afin d’établir le second. 10 C’est par cette volonté que nous avons été sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus Christ faite une fois pour toutes.
L’expression « rouleau du livre » est reprise dans les notes en bas de page de la Bible de John-Nelson Darby comme signifiant en tête du livre, c’est-à-dire « Le premier livre de Moïse » nommé en ce temps-là « Béréchit » et présenté presque toujours dans nos bibles sous le titre de Genèse pour traduire le mot hébreux Béréchit lors de la traduction de l’ancien testament écrit en hébreux vers sa première traduction en grec et qui est presque toujours, pour ne pas dire toujours, traduit par Genèse, une expression qui n’existait pas à l’origine dans la Torah et n’existe toujours pas chez les juifs dans le Sefer -Torah.
C’est le Christ du Nouveau Testament qui est clairement identifié dans le Psaume 40 verset 6 et qui au verset 12 montre le péché de celui qui dit au verset 7 : « Voici je viens, il est écrit de moi dans le rouleau du livre ». Le voici :
12 Car des maux sans nombre m’ont entouré ; mes iniquités m’ont atteint, et je ne puis les regarder ; elles sont plus nombreuses que les cheveux de ma tête, et mon cœur m’a abandonné.
Que faire avec ce verset 12 ? La réponse vous appartient, qu’en ferez-vous ?
Puisque dans tout ce Psaume 40 nous ne pouvons déceler qu’un seul personnage en prière avec Dieu et puisque aucune transition n’est possible vers un troisième autre personnage qui aurait pu dire : « Voici je viens, il est écrit de moi dans le rouleau du Livre » et qui plus loin dire : « Mes iniquités m’ont atteint, et je ne puis les regarder » et qui réclame le secours à celui qui l’a façonné, fait que nous pouvons dire avec confiance que ce personnage ne peut être que le Christ, appelé aussi Jésus-Christ par beaucoup et est celui qui a dit : « Voici, je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre ».
Nous avons vu dans les faits que c’est à Adam, appelé l’Homme ou Ish en hébreux, que la bible décrit jusque-là, que Dieu a tout donné et que ce fils a « dilapidé » son droit d’aînesse en péchant contre Dieu. Après une longue repentance et une confiance que Dieu lui a accordée ou plutôt la grâce que Dieu lui a accordée, celle de pouvoir racheter sa faute, Dieu le réincarnera et l’enverra à nouveau parmi nous pour racheter d’abord son propre péché puis celui du peuple, sa descendance de fait. Ceci est certifié et nous verrons cela par la suite dans la Lettre aux Hébreux, une lettre qui nous apprend beaucoup. Pour bien comprendre le sacrifice de Yèshoua, comprenons déjà que ce n’est pas dans sa mort en soi qu’il y a sacrifice et rachat mais dans sa fidélité parfaite à toute épreuve qui l’a mené jusqu’à la mort, à la mort sur une croix déjà prophétisé par le serpent d’airain que fit Moïse dans le désert après leur sortie d’Égypte. Nombres 21 :
4 Et ils partirent de la montagne de Hor, par le chemin de la mer Rouge, pour faire le tour du pays d’Édom, et le cœur du peuple se découragea en chemin.
5 Et le peuple parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour mourir dans le désert ? car il n’y a pas de pain, et il n’y a pas d’eau, et notre âme est dégoûtée de ce pain misérable.
6 Et l’Éternel envoya parmi le peuple les serpents brûlants, et ils mordaient le peuple ; et, de ceux d’Israël, il mourut un grand peuple.
7 Et le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Éternel et contre toi ; prie l’Éternel qu’il retire de dessus nous les serpents. Et Moïse pria pour le peuple.
8 Et l’Éternel dit à Moïse : Fais-toi un [serpent] brûlant, et mets-le sur une perche ; et il arrivera que quiconque sera mordu, et le regardera, vivra.
9 Et Moïse fit un serpent d’airain, et le mit sur une perche ; et il arrivait que, lorsqu’un serpent avait mordu un homme, et qu’il regardait le serpent d’airain, il vivait.
Celui qui est prophétisé ici par l’image du serpent d’airain est celui qui est la cause de nos malheurs et de la mort en faisant entrer le péché dans le monde et c’est aussi celui que nous devrons tous regarder sur la croix et croire en ses paroles pour être sauvés de la mort et c’est Adam réincarné sous le nom Yèshoua, signifiant Dieu sauve, que Dieu a donné de pouvoir racheter sa propre faute et celle du monde, d’où son nom, comme nous le verrons dans la Lettre aux Hébreux.
Peut-être pensez-vous qu’il pouvait s’agir d’un serpent capable de parler en Éden mais non, en aucun cas, car un serpent réel ne peut pas parler, nous induire en erreur mais peu parfaitement représenter dans une allégorie l’attitude d’un homme qui a eu une attitude grandissante, louvoyante et trompeuse faisant de lui le tentateur. C’est d’ailleurs ce que signifie le nom de Satan, comme on peut appeler Charpentier celui qui est charpentier car c’est ainsi que de nombreux noms propres se sont construits de tout temps. Dans une certaine circonstance, l’apôtre Pierre a été appelé Satan par Yèshoua dans Matthieu 16
21 Dès lors Jésus commença à montrer à ses disciples qu’il fallait qu’il allât à Jérusalem, et qu’il souffrît beaucoup de la part des anciens et des principaux sacrificateurs et des scribes, et qu’il fût mis à mort, et qu’il fût ressuscité le troisième jour.
22 Et Pierre, le prenant à part, se mit à le reprendre, disant : Seigneur, Dieu t’en préserve, cela ne t’arrivera point !
23 Mais lui, se retournant, dit à Pierre : Va arrière de moi, Satan, tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas aux choses de Dieu, mais à celles des hommes.
J’ouvre ici une courte parenthèse : si nous aussi, vivons et raisonnons comme Pierre, nous sommes aussi des « Satan » à ces instants où nous raisonnons comme tel, je ferme la parenthèse et continuons.
Puisque dans la bible un serpent d’airain peut représenter un homme et son attitude. Puisque Dieu était « absent » de la scène à l’instant de la tentation. Puisque n’étaient présent en Éden qu’Adam et Eve et que c’est Eve qui a été tentée par le « Serpent ». Puisqu’il n’y a pas d’autre personnage lors de cet événement-là, à moins d’en inventer un bien-sûr. Ce serpent ne peut que représenter Adam dans son rôle désastreux de tentateur qui fera chuter la Femme.
Il ne s’agit pas là d’une petite histoire anodine, car pourquoi, lors de la visite de nuit de Nicodème à Yèshoua, Jean dans son Évangile au chapitre 2 nous rappelle ce récit du Serpent d’airain cité par Yèshoua aux versets 14 et 15. Remarquons que juste auparavant, Jean reprenant les paroles de Christ qui nous lance une mise en garde dans le verset 12 qui précède concernant les versets 14 et 15 :
12 Si je vous ai parlé des choses terrestres, et que vous ne croyiez pas, comment croirez-vous, si je vous parle des choses célestes ?
Ce verset se comprends tout seul, puis dans la foulée il leur cite deux exemples et pas des moindres :
Premier exemple : 13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel.
Nous connaissons celui qui est descendu du Ciel, il s’agit de Yèshoua, ce qui tend à nous démontrer que pour être déjà monté au Ciel il faut qu’il ait d’abord avoir séjourné un temps sur terre !
Deuxième exemple : 14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l’homme soit élevé,15 afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
D’après ce que nous ne pouvons que voire, Yèshoua est Adam revenu à la vie sur terre et qui, lors de son premier séjour, avait commis le péché et donné ainsi naissance à toute une descendance de serpents que nous sommes en conséquence du péché d’Adam, nous sommes tous des fils du péché, tous des rebelles contre Dieu à cause de notre imperfection. Par la repentance d’Adam et sa piété que nous pouvons percevoir à travers le Livre des Psaumes et par la grâce que Dieu lui a accordée lui permettant un retour sur terre parmi les hommes pour démontrer sa fidélité reconquise et son incorruptibilité, il a acquis le droit d’être le modèle à suivre, d’être ce chemin qui mène à la vie éternelle que nous devrons nous aussi emprunter. Hébreux 5 :
7 (…), qui (Yèshoua), durant les jours de sa chair, ayant offert, avec de grands cris et avec larmes, des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété,
8 quoiqu’il fût Fils, a appris l’obéissance par les choses qu’il a souffertes ;
9 et ayant été consommé, il est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur du salut éternel,
10 étant salué par Dieu souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédec,
11 au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Consommé, selon les notes en bas de page de la traduction J-N Darby, signifie être rendu apte à être l’auteur du salut éternel. Nous pouvons également refaire un lien entre le verset 11 de ci-dessus et celui de Jean 3 que nous avons déjà vu :
12 Si je vous ai parlé des choses terrestres, et que vous ne croyiez pas, comment croirez-vous, si je vous parle des choses célestes ?
Et nous avons ce passage très claire, limpide dans la Lettre aux Hébreux au chapitre 2 qui nous dit :
7 Tu l’as fait un peu moindre que les anges ; tu l’as couronné de gloire et d’honneur, et l’as établi sur les œuvres de tes mains ;
8 tu as assujetti toutes choses sous ses pieds » "[Psaume 8:4-6]" ; car en lui assujettissant toutes choses, il n’a rien laissé qui ne lui soit assujetti ; mais maintenant nous ne voyons pas encore que toutes choses lui soient assujetties ;
9 mais nous voyons Jésus, qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort, couronné de gloire et d’honneur, en sorte que, par la grâce de Dieu, il goûtât la mort pour tout.
10 Car il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef de leur salut par des souffrances.
Au verset 10 le mot « Car » est une conjonction qui vient du latin « quare », et signifie « c’est pourquoi » et donc annonce l’introduction d’une explication et nous donne la raison de ce qui précède en l’occurrence l’expression pour laquelle « il goûtât la mort pour tout » du verset 9, c’est-à-dire de son péché et des conséquences que cela a entraîné pour l’humanité.
Ainsi le serpent d’airain préfigurait le Christ, à cause de qui et par qui sont toutes choses, qui allait racheter sa propre faute sur le bois de la croix et ainsi racheter le monde par l’exemple de sa fidélité, rachat que Dieu permit, tout comme ce fut le cas pour le serpent d’airain que les juifs devaient regarder et croire pour être sauvés. Jean 3 :
16 Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Nous devrons nous aussi regarder ce serpent apte à nous donner la vie éternelle et avoir foi en lui en marchant dans ses pas pour être sauvés. Nous verrons que ce n’est pas sa mort en soi qui nous sauvera mais le chemin d’une fidélité parfaite qu’il a lui-même vécu si nous nous élançons sur ce même chemin à la suite de Yèshoua en marchant dans ses pas, c’est-à-dire si nous nous donnons pour objectif de grandir en connaissance et en sagesse afin d’atteindre cette sagesse aboutissant à l’incorruptibilité qui elle seule peut détruire le péché, le véritable aiguillon de la mort. 1Corinthiens 15:
25 Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds.
26 le dernier ennemi qui sera aboli, c’est la mort.
27 Car « il a assujetti toutes choses sous ses pieds » "[Psaume 8:6]". Or, quand il dit que toutes choses sont assujetties, il est évident que c’est à l’exclusion de celui qui lui a assujetti toutes choses.
28 Mais quand toutes choses lui auront été assujetties, alors le Fils aussi lui-même sera assujetti à celui qui lui a assujetti toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.
1Corinthiens : 15
53 Car il faut que ce corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce mortel revête l’immortalité.
54 Or quand ce corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : « La mort a été engloutie en victoire » "[Ésaïe 25:8]".
55 « Où est, ô mort, ton aiguillon ? où est, ô mort, ta victoire ? » " [Osée 13 :14]".
56 Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi.
57 Mais grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre seigneur Jésus Christ !
Amicalement.
Le Presbytre.
Ajouté 17 minutes 11 secondes après :
Bonjour Prisca !
Tu as dit :
Un presbytre (du grec ancien πρεσβύτερος / presbutéros) est un « ancien » ou un « aîné » en grec classique avant de désigner une fonction de responsable et de conseiller dans les premières communautés chrétiennes. Ce terme est à l'origine du mot actuel « prêtre ».
C'est exact et ensuite tu nous as dit:
Nous avons donc comme interlocuteur un prêtre du département 04 ? A savoir les Alpes de Haute Provence, chef lieu Digne ?
C'est encore exact mais prêtre je ne sais pas mais j'en serais très heureux faisant de mon mieux et j'habite un petit village de 140 habitants mais beau, tout au bout d'une vallée qui va bientôt se parer de toutes les couleurs d'automne et non loin de mes abeilles.
Amicalement.
Le Presbytre. :
Excuses-moi de tarder à te répondre, le problème est que j'ai fais un petit séjour à l'hôpital mais tout va pour le mieux. Je pense et je suis presque certain que nous aurons de bonnes conversations et en attendant saches de moi que j'aime bien ton étoile... Je continue comme promis pour comprendre qui est ce fils de Dieu!
2ème Preuve écrite du péché de Christ selon le Psaume 40.
1 J’ai attendu patiemment l’Éternel ; et il s’est penché vers moi, et a entendu mon cri.
2 Il m’a fait monter hors du puits de la destruction, hors d’un bourbier fangeux ; et il a mis mes pieds sur un roc, il a établi mes pas.
3 Et il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, la louange de notre Dieu. Plusieurs le verront, et craindront, et se confieront en l’Éternel.
Dans le verset 2 le puits de la destruction est synonyme de bourbier fangeux et symbolise le péché qui entraîne la destruction et la mort de laquelle on ne peut sortir sans une aide extérieure capable de sortir de là celui qui, dans la réalité, voudrait sortir seul d’un tel bourbier sans un appui, c’est-à-dire sans une aide extérieure, ne pourrait que s’enfoncer davantage et succomber.
Ce Psaume 40 fait partie du premier Livre des Psaumes qui en compte quatre. Comme un peu partout dans ces livres du même nom, écrits entre autres par David mais inspirés par Dieu, nous voyons le véritable Auteur nous montrer la bonne et constante attitude d’un homme réclamant sans cesse, à force de prières, de repentances, sa volonté à vouloir racheter sa faute grave avec les conséquences que cela allait entraîner. Qui est cet homme qui crie si fort vers Dieu selon les textes ? Puisque j’associe cet homme à Christ, qui lors du séjour parmi nous que nous connaissons a vécu d’une manière absolument parfaite aux yeux de Dieu et des hommes, comment cela est-il possible ? C’est tout le sens de cette démonstration que je vous propose qui répond à la question posée par Christ : «Qui dit-on que je suis ?».
Des versets de ce Psaume 40 nous disent également :
6 Au sacrifice et à l’offrande de gâteau tu n’as pas pris plaisir : tu m’as creusé des oreilles ; tu n’as pas demandé d’holocauste ni de sacrifice pour le péché.
7 Alors j’ai dit : Voici, je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre.
Nous tiendrons avec ce passage les mêmes raisonnements que nous tiendrons par la suite dans notre étude des psaumes et autres passages utiles pour notre démonstration du péché de Yèshoua.
À qui attribuer ce passage des Psaumes cités ci-dessus ? Sans nul doute à Yèshoua et cela est confirmé par Paul qui, environ mille ans après, reprend ce passage de David dans sa Lettre aux Hébreux qui montre, là aussi, la concordance entre le Psaume 40 : 6 et 7 et les versets 5 à 10 de la Lettre aux Hébreux au chapitre 10 que nous citons ci-dessous :
5 C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : « Tu n’as pas voulu de sacrifice ni d’offrande, mais tu m’as formé un corps.
6 Tu n’as pas pris plaisir aux holocaustes ni aux sacrifices pour le péché ;
7 alors j’ai dit : Voici, je viens, — il est écrit de moi dans le rouleau du livre — pour faire, ô Dieu, ta volonté. (Psaume 40 :6-8).
8 Ayant dit plus haut : « Tu n’as pas voulu de sacrifices, ni d’offrandes, ni d’holocaustes, ni de sacrifices pour le péché, et tu n’y as pas pris plaisir » — lesquels sont offerts selon la loi,
9 — alors il dit : « Voici, je viens pour faire ta volonté ». Il ôte le premier afin d’établir le second. 10 C’est par cette volonté que nous avons été sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus Christ faite une fois pour toutes.
L’expression « rouleau du livre » est reprise dans les notes en bas de page de la Bible de John-Nelson Darby comme signifiant en tête du livre, c’est-à-dire « Le premier livre de Moïse » nommé en ce temps-là « Béréchit » et présenté presque toujours dans nos bibles sous le titre de Genèse pour traduire le mot hébreux Béréchit lors de la traduction de l’ancien testament écrit en hébreux vers sa première traduction en grec et qui est presque toujours, pour ne pas dire toujours, traduit par Genèse, une expression qui n’existait pas à l’origine dans la Torah et n’existe toujours pas chez les juifs dans le Sefer -Torah.
C’est le Christ du Nouveau Testament qui est clairement identifié dans le Psaume 40 verset 6 et qui au verset 12 montre le péché de celui qui dit au verset 7 : « Voici je viens, il est écrit de moi dans le rouleau du livre ». Le voici :
12 Car des maux sans nombre m’ont entouré ; mes iniquités m’ont atteint, et je ne puis les regarder ; elles sont plus nombreuses que les cheveux de ma tête, et mon cœur m’a abandonné.
Que faire avec ce verset 12 ? La réponse vous appartient, qu’en ferez-vous ?
Puisque dans tout ce Psaume 40 nous ne pouvons déceler qu’un seul personnage en prière avec Dieu et puisque aucune transition n’est possible vers un troisième autre personnage qui aurait pu dire : « Voici je viens, il est écrit de moi dans le rouleau du Livre » et qui plus loin dire : « Mes iniquités m’ont atteint, et je ne puis les regarder » et qui réclame le secours à celui qui l’a façonné, fait que nous pouvons dire avec confiance que ce personnage ne peut être que le Christ, appelé aussi Jésus-Christ par beaucoup et est celui qui a dit : « Voici, je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre ».
Nous avons vu dans les faits que c’est à Adam, appelé l’Homme ou Ish en hébreux, que la bible décrit jusque-là, que Dieu a tout donné et que ce fils a « dilapidé » son droit d’aînesse en péchant contre Dieu. Après une longue repentance et une confiance que Dieu lui a accordée ou plutôt la grâce que Dieu lui a accordée, celle de pouvoir racheter sa faute, Dieu le réincarnera et l’enverra à nouveau parmi nous pour racheter d’abord son propre péché puis celui du peuple, sa descendance de fait. Ceci est certifié et nous verrons cela par la suite dans la Lettre aux Hébreux, une lettre qui nous apprend beaucoup. Pour bien comprendre le sacrifice de Yèshoua, comprenons déjà que ce n’est pas dans sa mort en soi qu’il y a sacrifice et rachat mais dans sa fidélité parfaite à toute épreuve qui l’a mené jusqu’à la mort, à la mort sur une croix déjà prophétisé par le serpent d’airain que fit Moïse dans le désert après leur sortie d’Égypte. Nombres 21 :
4 Et ils partirent de la montagne de Hor, par le chemin de la mer Rouge, pour faire le tour du pays d’Édom, et le cœur du peuple se découragea en chemin.
5 Et le peuple parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour mourir dans le désert ? car il n’y a pas de pain, et il n’y a pas d’eau, et notre âme est dégoûtée de ce pain misérable.
6 Et l’Éternel envoya parmi le peuple les serpents brûlants, et ils mordaient le peuple ; et, de ceux d’Israël, il mourut un grand peuple.
7 Et le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Éternel et contre toi ; prie l’Éternel qu’il retire de dessus nous les serpents. Et Moïse pria pour le peuple.
8 Et l’Éternel dit à Moïse : Fais-toi un [serpent] brûlant, et mets-le sur une perche ; et il arrivera que quiconque sera mordu, et le regardera, vivra.
9 Et Moïse fit un serpent d’airain, et le mit sur une perche ; et il arrivait que, lorsqu’un serpent avait mordu un homme, et qu’il regardait le serpent d’airain, il vivait.
Celui qui est prophétisé ici par l’image du serpent d’airain est celui qui est la cause de nos malheurs et de la mort en faisant entrer le péché dans le monde et c’est aussi celui que nous devrons tous regarder sur la croix et croire en ses paroles pour être sauvés de la mort et c’est Adam réincarné sous le nom Yèshoua, signifiant Dieu sauve, que Dieu a donné de pouvoir racheter sa propre faute et celle du monde, d’où son nom, comme nous le verrons dans la Lettre aux Hébreux.
Peut-être pensez-vous qu’il pouvait s’agir d’un serpent capable de parler en Éden mais non, en aucun cas, car un serpent réel ne peut pas parler, nous induire en erreur mais peu parfaitement représenter dans une allégorie l’attitude d’un homme qui a eu une attitude grandissante, louvoyante et trompeuse faisant de lui le tentateur. C’est d’ailleurs ce que signifie le nom de Satan, comme on peut appeler Charpentier celui qui est charpentier car c’est ainsi que de nombreux noms propres se sont construits de tout temps. Dans une certaine circonstance, l’apôtre Pierre a été appelé Satan par Yèshoua dans Matthieu 16
21 Dès lors Jésus commença à montrer à ses disciples qu’il fallait qu’il allât à Jérusalem, et qu’il souffrît beaucoup de la part des anciens et des principaux sacrificateurs et des scribes, et qu’il fût mis à mort, et qu’il fût ressuscité le troisième jour.
22 Et Pierre, le prenant à part, se mit à le reprendre, disant : Seigneur, Dieu t’en préserve, cela ne t’arrivera point !
23 Mais lui, se retournant, dit à Pierre : Va arrière de moi, Satan, tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas aux choses de Dieu, mais à celles des hommes.
J’ouvre ici une courte parenthèse : si nous aussi, vivons et raisonnons comme Pierre, nous sommes aussi des « Satan » à ces instants où nous raisonnons comme tel, je ferme la parenthèse et continuons.
Puisque dans la bible un serpent d’airain peut représenter un homme et son attitude. Puisque Dieu était « absent » de la scène à l’instant de la tentation. Puisque n’étaient présent en Éden qu’Adam et Eve et que c’est Eve qui a été tentée par le « Serpent ». Puisqu’il n’y a pas d’autre personnage lors de cet événement-là, à moins d’en inventer un bien-sûr. Ce serpent ne peut que représenter Adam dans son rôle désastreux de tentateur qui fera chuter la Femme.
Il ne s’agit pas là d’une petite histoire anodine, car pourquoi, lors de la visite de nuit de Nicodème à Yèshoua, Jean dans son Évangile au chapitre 2 nous rappelle ce récit du Serpent d’airain cité par Yèshoua aux versets 14 et 15. Remarquons que juste auparavant, Jean reprenant les paroles de Christ qui nous lance une mise en garde dans le verset 12 qui précède concernant les versets 14 et 15 :
12 Si je vous ai parlé des choses terrestres, et que vous ne croyiez pas, comment croirez-vous, si je vous parle des choses célestes ?
Ce verset se comprends tout seul, puis dans la foulée il leur cite deux exemples et pas des moindres :
Premier exemple : 13 Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel.
Nous connaissons celui qui est descendu du Ciel, il s’agit de Yèshoua, ce qui tend à nous démontrer que pour être déjà monté au Ciel il faut qu’il ait d’abord avoir séjourné un temps sur terre !
Deuxième exemple : 14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l’homme soit élevé,15 afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
D’après ce que nous ne pouvons que voire, Yèshoua est Adam revenu à la vie sur terre et qui, lors de son premier séjour, avait commis le péché et donné ainsi naissance à toute une descendance de serpents que nous sommes en conséquence du péché d’Adam, nous sommes tous des fils du péché, tous des rebelles contre Dieu à cause de notre imperfection. Par la repentance d’Adam et sa piété que nous pouvons percevoir à travers le Livre des Psaumes et par la grâce que Dieu lui a accordée lui permettant un retour sur terre parmi les hommes pour démontrer sa fidélité reconquise et son incorruptibilité, il a acquis le droit d’être le modèle à suivre, d’être ce chemin qui mène à la vie éternelle que nous devrons nous aussi emprunter. Hébreux 5 :
7 (…), qui (Yèshoua), durant les jours de sa chair, ayant offert, avec de grands cris et avec larmes, des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété,
8 quoiqu’il fût Fils, a appris l’obéissance par les choses qu’il a souffertes ;
9 et ayant été consommé, il est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur du salut éternel,
10 étant salué par Dieu souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédec,
11 au sujet duquel nous avons beaucoup de choses à dire et qui sont difficiles à expliquer, puisque vous êtes devenus paresseux à écouter.
Consommé, selon les notes en bas de page de la traduction J-N Darby, signifie être rendu apte à être l’auteur du salut éternel. Nous pouvons également refaire un lien entre le verset 11 de ci-dessus et celui de Jean 3 que nous avons déjà vu :
12 Si je vous ai parlé des choses terrestres, et que vous ne croyiez pas, comment croirez-vous, si je vous parle des choses célestes ?
Et nous avons ce passage très claire, limpide dans la Lettre aux Hébreux au chapitre 2 qui nous dit :
7 Tu l’as fait un peu moindre que les anges ; tu l’as couronné de gloire et d’honneur, et l’as établi sur les œuvres de tes mains ;
8 tu as assujetti toutes choses sous ses pieds » "[Psaume 8:4-6]" ; car en lui assujettissant toutes choses, il n’a rien laissé qui ne lui soit assujetti ; mais maintenant nous ne voyons pas encore que toutes choses lui soient assujetties ;
9 mais nous voyons Jésus, qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort, couronné de gloire et d’honneur, en sorte que, par la grâce de Dieu, il goûtât la mort pour tout.
10 Car il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef de leur salut par des souffrances.
Au verset 10 le mot « Car » est une conjonction qui vient du latin « quare », et signifie « c’est pourquoi » et donc annonce l’introduction d’une explication et nous donne la raison de ce qui précède en l’occurrence l’expression pour laquelle « il goûtât la mort pour tout » du verset 9, c’est-à-dire de son péché et des conséquences que cela a entraîné pour l’humanité.
Ainsi le serpent d’airain préfigurait le Christ, à cause de qui et par qui sont toutes choses, qui allait racheter sa propre faute sur le bois de la croix et ainsi racheter le monde par l’exemple de sa fidélité, rachat que Dieu permit, tout comme ce fut le cas pour le serpent d’airain que les juifs devaient regarder et croire pour être sauvés. Jean 3 :
16 Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Nous devrons nous aussi regarder ce serpent apte à nous donner la vie éternelle et avoir foi en lui en marchant dans ses pas pour être sauvés. Nous verrons que ce n’est pas sa mort en soi qui nous sauvera mais le chemin d’une fidélité parfaite qu’il a lui-même vécu si nous nous élançons sur ce même chemin à la suite de Yèshoua en marchant dans ses pas, c’est-à-dire si nous nous donnons pour objectif de grandir en connaissance et en sagesse afin d’atteindre cette sagesse aboutissant à l’incorruptibilité qui elle seule peut détruire le péché, le véritable aiguillon de la mort. 1Corinthiens 15:
25 Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds.
26 le dernier ennemi qui sera aboli, c’est la mort.
27 Car « il a assujetti toutes choses sous ses pieds » "[Psaume 8:6]". Or, quand il dit que toutes choses sont assujetties, il est évident que c’est à l’exclusion de celui qui lui a assujetti toutes choses.
28 Mais quand toutes choses lui auront été assujetties, alors le Fils aussi lui-même sera assujetti à celui qui lui a assujetti toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.
1Corinthiens : 15
53 Car il faut que ce corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce mortel revête l’immortalité.
54 Or quand ce corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : « La mort a été engloutie en victoire » "[Ésaïe 25:8]".
55 « Où est, ô mort, ton aiguillon ? où est, ô mort, ta victoire ? » " [Osée 13 :14]".
56 Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi.
57 Mais grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre seigneur Jésus Christ !
Amicalement.
Le Presbytre.
Ajouté 17 minutes 11 secondes après :
Bonjour Prisca !
Tu as dit :
Un presbytre (du grec ancien πρεσβύτερος / presbutéros) est un « ancien » ou un « aîné » en grec classique avant de désigner une fonction de responsable et de conseiller dans les premières communautés chrétiennes. Ce terme est à l'origine du mot actuel « prêtre ».
C'est exact et ensuite tu nous as dit:
Nous avons donc comme interlocuteur un prêtre du département 04 ? A savoir les Alpes de Haute Provence, chef lieu Digne ?
C'est encore exact mais prêtre je ne sais pas mais j'en serais très heureux faisant de mon mieux et j'habite un petit village de 140 habitants mais beau, tout au bout d'une vallée qui va bientôt se parer de toutes les couleurs d'automne et non loin de mes abeilles.
Amicalement.
Le Presbytre. :
Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 28 oct.23, 01:24Bonjour Le Presbytre04,Le Presbytre04 a écrit : ↑28 oct.23, 01:03 Bonjour Prisca !
Excuses-moi de tarder à te répondre, le problème est que j'ai fais un petit séjour à l'hôpital mais tout va pour le mieux. Je pense et je suis presque certain que nous aurons de bonnes conversations et en attendant saches de moi que j'aime bien ton étoile... Je continue comme promis pour comprendre qui est ce fils de Dieu!
2ème Preuve écrite du péché de Christ selon le Psaume 40.
1 J’ai attendu patiemment l’Éternel ; et il s’est penché vers moi, et a entendu mon cri.
2 Il m’a fait monter hors du puits de la destruction, hors d’un bourbier fangeux ; et il a mis mes pieds sur un roc, il a établi mes pas.
3 Et il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, la louange de notre Dieu. Plusieurs le verront, et craindront, et se confieront en l’Éternel.
Dans le verset 2 le puits de la destruction est synonyme de bourbier fangeux et symbolise le péché qui entraîne la destruction et la mort de laquelle on ne peut sortir sans une aide extérieure capable de sortir de là celui qui, dans la réalité, voudrait sortir seul d’un tel bourbier sans un appui, c’est-à-dire sans une aide extérieure, ne pourrait que s’enfoncer davantage et succomber.
Ce Psaume 40 fait partie du premier Livre des Psaumes qui en compte quatre. Comme un peu partout dans ces livres du même nom, écrits entre autres par David mais inspirés par Dieu, nous voyons le véritable Auteur nous montrer la bonne et constante attitude d’un homme réclamant sans cesse, à force de prières, de repentances, sa volonté à vouloir racheter sa faute grave avec les conséquences que cela allait entraîner. Qui est cet homme qui crie si fort vers Dieu selon les textes ? Puisque j’associe cet homme à Christ, qui lors du séjour parmi nous que nous connaissons a vécu d’une manière absolument parfaite aux yeux de Dieu et des hommes, comment cela est-il possible ? C’est tout le sens de cette démonstration que je vous propose qui répond à la question posée par Christ : «Qui dit-on que je suis ?».
Heureuse de savoir que ton épisode hospitalisation s'est terminé sous de bons auspices.
Concernant ces versets de Psaume 40 je suis d'accord avec toi pour dire qu'ils nous décrivent l'acharnement dont fait preuve David pour se sortir d'une situation aggravante lui qui est Juif et soumis aux Lois de l'Eternel auxquelles il ne doit pas déroger, en invitant les humains au sens large du terme à faire de même, à prendre exemple sur sa détermination de sortir du péché.
Mais je ne vois aucun lien avec Christ qui est l'Oint par excellence, donc Saint dès son apparition puisqu'il est le Messie.
Je lis que l'ETERNEL ne prend pas de plaisir au sacrifice et à l'offrande parce que l'humain a des oreilles pour entendre et comprendre, et l'Eternel ne demande aucunement la mort de quelqu'un pour servir de bouc émissaire pour le péché.a écrit :Des versets de ce Psaume 40 nous disent également :
6 7 Au sacrifice et à l’offrande ...(gateau est absent du verset, c'est l'Offrande dans le sens général du terme).... tu n’as pas pris plaisir : tu m’as creusé des oreilles ; tu n’as pas demandé d’holocauste ni de sacrifice pour le péché.
7 8 Alors j’ai dit : Voici, je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre.
Nous tiendrons avec ce passage les mêmes raisonnements que nous tiendrons par la suite dans notre étude des psaumes et autres passages utiles pour notre démonstration du péché de Yèshoua.
Et voilà l'homme dans sa réconciliation qui vient car il a compris 9 Mon Dieu, j'ai pris plaisir à faire ta volonté, et ta loi est au-dedans de mes entrailles. que ce qu'il doit faire l'humain, c'est la Volonté de D.IEU et que la Loi est au coeur de son être d'humain mortel complètement dans l'obéissance.
Ces versets m'inspirent car ils viennent corroborer au fait que Jésus ne constitue pas du tout une Offrande envers l'Eternel et ce que l'humain doit prendre à coeur c'est d'écouter les Lois.
Je ne vois pas du tout pourquoi tu as dans l'idée de rabaisser Jésus au rang de simple humain surtout en le dénaturant dans le péché.
Je ne vois pas pourquoi tu as cette démarche déshonorante envers Jésus.
Ou plutôt je vois que tu essaies de me dire que Jésus est pécheur et qu'il paie pour tous les pécheurs ?
Ce chemin là n'est pas le bon, car JESUS est l'OINT de l'Eternel, est Saint, donc même nous pouvons dire tout haut que Jésus n'est même pas humain car l'humain est dans la chair de la putréfaction, car animal, et Jésus est hautement saint donc il n' a rien de près ou de loin à voir avec une quelconque "race humaine".
Je lirais plus tard ton message plus bas, mais je tenais à réagir d'ores et déjà pour ne pas alourdir mon intervention qui deviendrait trop fastidieuse si elle était trop longue.
Bien cordialement.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
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Re: Yèshoua (Jésus), cet homme incompris du monde juif, chrétien et musulman !...
Ecrit le 29 oct.23, 03:17Bonjour Prisca !
Je n'ai pas bien compris ta réponse et j'ai commencé à te répondre jusqu'au moment où j'ai tout effacé car j'ai compris que tu n'avais lu qu'une petite portion de l'étude du psaume 40. C'est vrai que c'est un peu long mais c'est nécessaire pour comprendre. Il faut prendre psaume après psaume et autres passages que je vais prendre pour démontrer que Christ a lui aussi connu le péché. Je m’arrêterai à 10 exemples même s'il y en a d'autres que chacun pourra découvrir au fil de ses lectures de la bible s'il a assimilé ces dix premiers exemples.
Pour tout te dire je suis en train d'écrire une sorte de thèse qui pourrait se présenter comme un discours long d'une cinquantaine de pages format A4 et d'une trentaine de lignes par page... et je n'en suis qu'à la vingtième page. Aussi il faut prendre son temps pour me lire car je ne suis pas toujours très clair pour écrire, normal ce n'est pas mon fort. J'ai derrière moi une carrière de charpentier bois et d'apiculteur donc pas grand chose à voir.
C'est après avoir découvert toutes ces choses que je vais décrire que j'ai compris que Christ ainsi que son Père étaient beaucoup plus proche de moi et de nous tous. Ça a déclenché en moi un amour pour Yèshoua et pour Dieu comme jamais je n'avais connu. Comme tu le vois pas question pour moi de les dénigrer. Tu remarqueras par la suite que je ne fais que suivre les textes de la bible que je fais parler et rien de plus.
Toute mon amitié.
Le Presbytre.
Je n'ai pas bien compris ta réponse et j'ai commencé à te répondre jusqu'au moment où j'ai tout effacé car j'ai compris que tu n'avais lu qu'une petite portion de l'étude du psaume 40. C'est vrai que c'est un peu long mais c'est nécessaire pour comprendre. Il faut prendre psaume après psaume et autres passages que je vais prendre pour démontrer que Christ a lui aussi connu le péché. Je m’arrêterai à 10 exemples même s'il y en a d'autres que chacun pourra découvrir au fil de ses lectures de la bible s'il a assimilé ces dix premiers exemples.
Pour tout te dire je suis en train d'écrire une sorte de thèse qui pourrait se présenter comme un discours long d'une cinquantaine de pages format A4 et d'une trentaine de lignes par page... et je n'en suis qu'à la vingtième page. Aussi il faut prendre son temps pour me lire car je ne suis pas toujours très clair pour écrire, normal ce n'est pas mon fort. J'ai derrière moi une carrière de charpentier bois et d'apiculteur donc pas grand chose à voir.
C'est après avoir découvert toutes ces choses que je vais décrire que j'ai compris que Christ ainsi que son Père étaient beaucoup plus proche de moi et de nous tous. Ça a déclenché en moi un amour pour Yèshoua et pour Dieu comme jamais je n'avais connu. Comme tu le vois pas question pour moi de les dénigrer. Tu remarqueras par la suite que je ne fais que suivre les textes de la bible que je fais parler et rien de plus.
Toute mon amitié.
Le Presbytre.
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