Le racisme
Posté : 16 mars24, 04:16
Le racisme est l'idéologie postulant une hiérarchie des races. Tout acte raciste et discriminatoire est sanctionné par la loi.
Si de nos jours, les démocraties prônent l'égalité, la liberté et la fraternité, on constate qu'il perdure hélas dans nos sociétés un certain nombre d'actes haineux qui s'expliquent difficilement.
D'où vient le racisme ? Fait-il lâchement partie de notre nature ?
La question n'est pas si bête quand on sait que le comportement de l'Homme est largement déterminé par son milieu d'origine, lequel lui transmet les clés pour survivre.
Depuis toujours, au sein des tribus et espèces animales, il se transmet ce bagage inconscient et reptilien lié à la survie.
Ainsi, on apprend très tôt aux jeunes à se méfier des étrangers, de ceux qui n'appartiennent pas à la tribu.
Il y a foncièrement, quoiqu'on en dise, une logique de fond en chacun de nous qui nous rapproche de nos semblables et nous éloigne des gens différents.
L'appartenance à un groupe, c'est du même coup la désappartenance aux autres groupes. Plus ce sentiment est violent, plus son revers l'est aussi (cf. ultras des clubs de football).
La mixité semble donc ne pas être "naturelle", c'est un phénomène relativement nouveau pour nos sociétés. Les cultures, les "races" (sans hiérarchie) s'affrontent et se regardent. Il ne peut en résulter que des doutes, des questionnements et des dissonances.
On peut se demander pourquoi le programme de l'Education nationale n'aborde l'Afrique que comme un sous-continent victime de colonisation, alors qu'il y eut des civilisations et des royaumes d'une grande richesse, d'une grande intelligence.
C'est déjà conditionner l'enfant au paradigme de l'Afrique inférieure.
S'agit-il là de l'expression sournoise d'un tribalisme, en réalité antipathique à la mixité et l'égalité ?
La nature animale de l'Homme semble avoir le dernier mot, et s'exprimer incognito dans toutes les constructions idéologiques et institutionnelles de notre société.
Tous les peuples se valent, sont l'expression d'une même nature dans des configurations géographiques différentes.
Chaque peuple aborde la question de la survie, de la pérennité selon les cartes qui lui sont distribuées.
Si de nos jours, les démocraties prônent l'égalité, la liberté et la fraternité, on constate qu'il perdure hélas dans nos sociétés un certain nombre d'actes haineux qui s'expliquent difficilement.
D'où vient le racisme ? Fait-il lâchement partie de notre nature ?
La question n'est pas si bête quand on sait que le comportement de l'Homme est largement déterminé par son milieu d'origine, lequel lui transmet les clés pour survivre.
Depuis toujours, au sein des tribus et espèces animales, il se transmet ce bagage inconscient et reptilien lié à la survie.
Ainsi, on apprend très tôt aux jeunes à se méfier des étrangers, de ceux qui n'appartiennent pas à la tribu.
Il y a foncièrement, quoiqu'on en dise, une logique de fond en chacun de nous qui nous rapproche de nos semblables et nous éloigne des gens différents.
L'appartenance à un groupe, c'est du même coup la désappartenance aux autres groupes. Plus ce sentiment est violent, plus son revers l'est aussi (cf. ultras des clubs de football).
La mixité semble donc ne pas être "naturelle", c'est un phénomène relativement nouveau pour nos sociétés. Les cultures, les "races" (sans hiérarchie) s'affrontent et se regardent. Il ne peut en résulter que des doutes, des questionnements et des dissonances.
On peut se demander pourquoi le programme de l'Education nationale n'aborde l'Afrique que comme un sous-continent victime de colonisation, alors qu'il y eut des civilisations et des royaumes d'une grande richesse, d'une grande intelligence.
C'est déjà conditionner l'enfant au paradigme de l'Afrique inférieure.
S'agit-il là de l'expression sournoise d'un tribalisme, en réalité antipathique à la mixité et l'égalité ?
La nature animale de l'Homme semble avoir le dernier mot, et s'exprimer incognito dans toutes les constructions idéologiques et institutionnelles de notre société.
Tous les peuples se valent, sont l'expression d'une même nature dans des configurations géographiques différentes.
Chaque peuple aborde la question de la survie, de la pérennité selon les cartes qui lui sont distribuées.