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Il y a l’agnosticisme de savoir. IL y a aussi l’agnosticisme de croyance, plus souvent pertinent.


EG. Un prof:
Cf.
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BEING NEUTRAL: AGNOSTICISM, INQUIRY AND THE SUSPENSION OF JUDGMENT
Matthew McGrath Rutgers University
Epistemologists generally agree that belief and disbelief do not exhaust one’s doxastic options. Plausibly, there are also graded doxastic states of confidence in propositions. But even considering only “categorical” doxastic options, it’s agreed that there is a third neutral option.1 Many expressions are used for it, including ‘suspension of judgment’, ‘agnosticism’, ‘withholding of judgment’, ‘withholding’, etc"


Après des analyses sont souvent ajoutées à l’effet par exemple que les arbres et les animaux ne peuvent être agnostiques bien que ne croyant et ne sachant rien (de connaissance intellectuelle) etc.


On pourrait aussi parler de position neutre : celui qui suspend sa croyance entre Dieu existe et Dieu n’existe pas est neutre.

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L'agnosticisme pour d'autres choses que l'existence ou l'inexstence d'un Dieu untel, ne se définit pas comme le fait de ne pas croire P ni non P, mais comme le fait de ne pas savoir P ni non P, quand il n'y a pas un savoir P ou non P.

Ne pas croire P ni non P, c'est de l'incroyance sur tout sujet (P) dont on ne sait rien. C'est l'attitude rationnelle qui découle de l'agnosticisme sur d'autres positions, lequel consiste à ne pas savoir P ni non P, quand il n'y a pas un savoir P ou non P.

À ne pas confondre non plus avec le scepticisme radical qui postule qu'on ne peut rien savoir du tout.

Rappel : on peut être agnostique sur d'autres positions que l'affirmation ou la négation de l'existence d'un Dieu untel, et défendre la position irrationnelle d'y croire ou non.
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Ceci ne répond nullement au document cité : l’agnosticisme concerne aussi les beliefs, croyances. Suspension de croyance.