L'athéisme où l'humain, au centre de ces préoccupations
Posté : 03 oct.05, 14:08
L’acceptation de l’appauvrissement de soi pour ne penser qu’à Dieu, au détriment du reste, interdit à l’humanité d’aller en quête du bonheur. Une société du bonheur ne peut accepter la souffrance, quand la combattant par tous les moyens. Jusqu’à aujourd’hui, on sert à l’être humain des anesthésiants pour le garder tranquille. Le pauvre n’a pas le droit au bonheur, il doit accepter sa condition. Ne lui martèle t-on pas qu’il vaut mieux être pauvre et heureux que l’inverse? C’est la belle illusion consolatrice, l’excuse qu’on lui donne pour qu’il reste à sa place. Les religions ont de cesse de culpabiliser l’humanité sur la richesse, les plaisirs, tout ce qui peut l’amener aux bonheur de soi, ainsi l’homme se retourne mieux vers un Dieu, comme seul remède à sa condition. Elles sont les soupapes de sécurité de tous les gouvernements, afin de garder les pauvres à genoux. La revendication d’un monde meilleur ne se fera que dans une autre vie, celle-ci, il n’en est pas question.
Les mendiants sont devenu une banalité, la misère du monde une réalité normale, le gaspillage en abondance, un critère de sélection, et l’être humain, un numéro parmi tant d’autres qui ne doit vivre que pour Dieu. L’acceptation de la souffrance et de la pauvreté sont les quotidiens de notre monde, le bonheur banni.
L’athéisme dans tout ça est l’ennemi à tout point de vue. Sans morale définie, ni acceptation de la pauvreté, l’athéisme est au contraire la glorification du genre humain, de la pensée diverse. Le soi doit être entretenu, non culpabilisé. La vie est ici bas, le bonheur est donc là, la quête peut commencer. Avec les athées, il n’y a plus de soupape de sécurité, terminé les illusions infantiles, la raison est. On veut être riche et heureux, le reste on s’en fout! La quête du bonheur passe par la richesse de soi et la richesse matérielle. La culture, le respect d’autrui, le partage, la protection de l’environnement, la connaissance, les plaisirs de la vie, additionné au confort du progrès, voici quelques cibles de choix pour atteindre une société du bonheur. C’est le début d’une révolution, le bonheur passe par tout, les gouvernements doivent abdiquer, les politiques doivent changer, la science doit servir l'humain. L’humanité est au centre des préoccupations des hommes et des femmes, son bonheur est le but à atteindre. La pauvreté doit être combattu, banni de partout. La raison devient l’outil de l’homme pour construire et passer tous les étapes du toujours mieux, à l’attente de sa condition. Le monde de l’athéisme, par la raison et son individualisme, à l’inverse des croyances de tout bord, offre à l’humanité de penser enfin à soi.
Les mendiants sont devenu une banalité, la misère du monde une réalité normale, le gaspillage en abondance, un critère de sélection, et l’être humain, un numéro parmi tant d’autres qui ne doit vivre que pour Dieu. L’acceptation de la souffrance et de la pauvreté sont les quotidiens de notre monde, le bonheur banni.
L’athéisme dans tout ça est l’ennemi à tout point de vue. Sans morale définie, ni acceptation de la pauvreté, l’athéisme est au contraire la glorification du genre humain, de la pensée diverse. Le soi doit être entretenu, non culpabilisé. La vie est ici bas, le bonheur est donc là, la quête peut commencer. Avec les athées, il n’y a plus de soupape de sécurité, terminé les illusions infantiles, la raison est. On veut être riche et heureux, le reste on s’en fout! La quête du bonheur passe par la richesse de soi et la richesse matérielle. La culture, le respect d’autrui, le partage, la protection de l’environnement, la connaissance, les plaisirs de la vie, additionné au confort du progrès, voici quelques cibles de choix pour atteindre une société du bonheur. C’est le début d’une révolution, le bonheur passe par tout, les gouvernements doivent abdiquer, les politiques doivent changer, la science doit servir l'humain. L’humanité est au centre des préoccupations des hommes et des femmes, son bonheur est le but à atteindre. La pauvreté doit être combattu, banni de partout. La raison devient l’outil de l’homme pour construire et passer tous les étapes du toujours mieux, à l’attente de sa condition. Le monde de l’athéisme, par la raison et son individualisme, à l’inverse des croyances de tout bord, offre à l’humanité de penser enfin à soi.