morale judéo-chrétienne
Posté : 18 oct.05, 01:23
La pluspart des gens dans les sociétés occidentales sont enfermés dans un culte maladif du désir. Le système basé sur la recherche du profit encourage sans cesse à la consommation, notemment à l'aide de publicités en tous genres. La consommation suggère non seulement que nous ayons des désirs mais que nous ayons le désir des désirs. C'est pour cela que le système propage une idéologie qui fait passer la consommation pour le modèle du bonheur, qui est confondu avec le plaisir.
Etant en recherche du bonheur, l'ésprit des gens passe d'un désir à l'autre à tout bout de champ, car aussitôt celui-ci assouvi, le désir renaît sous une autre forme, désignant un autre objet et ne demandant pas moins à être satisfait. Les pauvres victimes du système sont alors condamnées à l'agitation perpetuelle, à la frénésie. Toute sérénité leur est interdite ; le supplice est infernal. Quel sens cela fait il de chercher à combler ce qui ne peut être satisfait, d'être en quête perpetuelle? Comment être heureux dans le manque que suppose le désir? Le désir peut également créer l'impatience et le moindre obstacle sur son chemin la frustration.
Que penser alors d'un système qui entretient ce phénomène? Ne serait il pas démoniaque? Ne faudrait il pas préférer à cette vie inassouvie et sans frein, une vie règlée par un art de vivre qui nous rendrait content et satisfait de chaque jour qu'elle nous apporte? Quelles solutions apporteriez vous à ce problème?
L'Eglise a une solution bien à elle... dans sa morale dite judéo-chrétienne, elle condamne toute forme de désir... ce qui est très culpabilisant pour celui qui y souscrit étant donné que l'homme ne peut s'empêcher de désirer. On remplace ainsi une souffrance par une autre. Je n'y vois qu'une preuve de plus de l'incapacité de l'Eglise à rendre l'homme heureux. Il est par exemple interdit d'avoir des vues sur une femme/un homme dans la rue.. Cela est FEROCEMENT puni par Dieu...
Etant en recherche du bonheur, l'ésprit des gens passe d'un désir à l'autre à tout bout de champ, car aussitôt celui-ci assouvi, le désir renaît sous une autre forme, désignant un autre objet et ne demandant pas moins à être satisfait. Les pauvres victimes du système sont alors condamnées à l'agitation perpetuelle, à la frénésie. Toute sérénité leur est interdite ; le supplice est infernal. Quel sens cela fait il de chercher à combler ce qui ne peut être satisfait, d'être en quête perpetuelle? Comment être heureux dans le manque que suppose le désir? Le désir peut également créer l'impatience et le moindre obstacle sur son chemin la frustration.
Que penser alors d'un système qui entretient ce phénomène? Ne serait il pas démoniaque? Ne faudrait il pas préférer à cette vie inassouvie et sans frein, une vie règlée par un art de vivre qui nous rendrait content et satisfait de chaque jour qu'elle nous apporte? Quelles solutions apporteriez vous à ce problème?
L'Eglise a une solution bien à elle... dans sa morale dite judéo-chrétienne, elle condamne toute forme de désir... ce qui est très culpabilisant pour celui qui y souscrit étant donné que l'homme ne peut s'empêcher de désirer. On remplace ainsi une souffrance par une autre. Je n'y vois qu'une preuve de plus de l'incapacité de l'Eglise à rendre l'homme heureux. Il est par exemple interdit d'avoir des vues sur une femme/un homme dans la rue.. Cela est FEROCEMENT puni par Dieu...