[Jéhovah] Russell ne se dit pas avoir reçue de révélation
Posté : 24 déc.03, 12:29
Charles Russell ne se dit pas avoir reçue de révélation divine
Citation du livre : les témoin de Jéhovah prédicateur du royaume de Dieu pages 623-début 624 Publier par l’organisation des témoins de Jéhovah
Frère Russell n'affirmait pas posséder un pouvoir surnaturel, ni avoir reçu des révélations divines. Il ne revendiquait pas le mérite de ce qu'il enseignait. C'était un étudiant de la Bible hors du commun. Mais il a expliqué que sa compréhension exceptionnelle des Écritures était due 'au simple fait que le moment prévu par Dieu était arrivé'. Il a dit: "Si je ne parlais pas, et si on ne trouvait aucun autre instrument, les pierres mêmes crieraient." Il disait de lui-même qu'il n'était qu'un index pointé sur le contenu de la Parole de Dieu.
Charles Russell ne voulait pas être glorifié par les hommes. Pour rectifier le point de vue de ceux qui auraient eu tendance à lui accorder trop d'honneur, frère Russell a écrit en 1896: "Étant donné que nous sommes dans une certaine mesure, par la grâce de Dieu, utilisé dans le ministère de l'Évangile, il n'est peut-être pas déplacé de dire ici ce que nous avons souvent dit en privé, et précédemment dans ces colonnes, à savoir que, tout en appréciant l'amour, la sympathie, la confiance et la compagnie d'autres serviteurs de Dieu et de la famille entière de la foi, nous ne voulons aucun hommage, aucune révérence, ni pour nous-même ni pour nos écrits; nous ne désirons pas non plus être appelé Révérend ou Rabbi. Nous ne voulons pas non plus que qui que ce soit se réclame de notre nom."
À l'approche de sa mort, il ne pensait pas qu'il ne restait plus rien à apprendre, qu'il ne restait plus rien à faire. Il avait souvent évoqué la préparation d'un septième tome des Études des Écritures. Interrogé à ce sujet avant de mourir, il a dit à Menta Sturgeon, son compagnon de voyage: "Quelqu'un d'autre peut l'écrire." Dans son testament, il a exprimé le désir que La Tour de Garde continue de paraître, sous la direction d'un comité d'hommes voués sans réserve au Seigneur. Il a déclaré que ceux qui en feraient partie devraient être des hommes "entièrement fidèles aux enseignements des Écritures et surtout à la doctrine de la rançon, aux doctrines selon lesquelles Dieu n'accepte quiconque, ne lui donne le salut et la vie éternelle, si ce n'est par la foi en Christ, l'obéissance à Sa Parole et à l'esprit de celle-ci".
Frère Russell était conscient qu'il restait encore beaucoup à faire dans la prédication de la bonne nouvelle. En 1915, lors d'une séance de questions et réponses à Vancouver, au Canada, on lui a demandé quand les disciples du Christ oints de l'esprit qui vivaient alors pouvaient s'attendre à recevoir leur récompense céleste. Il a répondu: "Je ne sais pas, mais il y a une grande oeuvre à accomplir. Et il faudra des milliers de frères et de l'argent par millions pour l'effectuer. D'où ils viendront, je l'ignore: le Seigneur connaît son affaire." Puis, en 1916, peu avant de commencer la tournée de discours durant laquelle il est décédé, il a demandé à Alexander Macmillan, un de ses collaborateurs, de venir dans son bureau. Il lui a dit à cette occasion: "Je ne suis plus en état de diriger l'oeuvre, et pourtant il reste un grand travail à faire." Pendant trois heures, il a décrit à frère Macmillan l'immense oeuvre de prédication qu'il entrevoyait, d'après les Écritures. Devant les objections de son interlocuteur, il a rétorqué: "L'oeuvre que nous effectuons n'est pas celle d'un homme."
Citation du livre : les témoin de Jéhovah prédicateur du royaume de Dieu pages 623-début 624 Publier par l’organisation des témoins de Jéhovah
Frère Russell n'affirmait pas posséder un pouvoir surnaturel, ni avoir reçu des révélations divines. Il ne revendiquait pas le mérite de ce qu'il enseignait. C'était un étudiant de la Bible hors du commun. Mais il a expliqué que sa compréhension exceptionnelle des Écritures était due 'au simple fait que le moment prévu par Dieu était arrivé'. Il a dit: "Si je ne parlais pas, et si on ne trouvait aucun autre instrument, les pierres mêmes crieraient." Il disait de lui-même qu'il n'était qu'un index pointé sur le contenu de la Parole de Dieu.
Charles Russell ne voulait pas être glorifié par les hommes. Pour rectifier le point de vue de ceux qui auraient eu tendance à lui accorder trop d'honneur, frère Russell a écrit en 1896: "Étant donné que nous sommes dans une certaine mesure, par la grâce de Dieu, utilisé dans le ministère de l'Évangile, il n'est peut-être pas déplacé de dire ici ce que nous avons souvent dit en privé, et précédemment dans ces colonnes, à savoir que, tout en appréciant l'amour, la sympathie, la confiance et la compagnie d'autres serviteurs de Dieu et de la famille entière de la foi, nous ne voulons aucun hommage, aucune révérence, ni pour nous-même ni pour nos écrits; nous ne désirons pas non plus être appelé Révérend ou Rabbi. Nous ne voulons pas non plus que qui que ce soit se réclame de notre nom."
À l'approche de sa mort, il ne pensait pas qu'il ne restait plus rien à apprendre, qu'il ne restait plus rien à faire. Il avait souvent évoqué la préparation d'un septième tome des Études des Écritures. Interrogé à ce sujet avant de mourir, il a dit à Menta Sturgeon, son compagnon de voyage: "Quelqu'un d'autre peut l'écrire." Dans son testament, il a exprimé le désir que La Tour de Garde continue de paraître, sous la direction d'un comité d'hommes voués sans réserve au Seigneur. Il a déclaré que ceux qui en feraient partie devraient être des hommes "entièrement fidèles aux enseignements des Écritures et surtout à la doctrine de la rançon, aux doctrines selon lesquelles Dieu n'accepte quiconque, ne lui donne le salut et la vie éternelle, si ce n'est par la foi en Christ, l'obéissance à Sa Parole et à l'esprit de celle-ci".
Frère Russell était conscient qu'il restait encore beaucoup à faire dans la prédication de la bonne nouvelle. En 1915, lors d'une séance de questions et réponses à Vancouver, au Canada, on lui a demandé quand les disciples du Christ oints de l'esprit qui vivaient alors pouvaient s'attendre à recevoir leur récompense céleste. Il a répondu: "Je ne sais pas, mais il y a une grande oeuvre à accomplir. Et il faudra des milliers de frères et de l'argent par millions pour l'effectuer. D'où ils viendront, je l'ignore: le Seigneur connaît son affaire." Puis, en 1916, peu avant de commencer la tournée de discours durant laquelle il est décédé, il a demandé à Alexander Macmillan, un de ses collaborateurs, de venir dans son bureau. Il lui a dit à cette occasion: "Je ne suis plus en état de diriger l'oeuvre, et pourtant il reste un grand travail à faire." Pendant trois heures, il a décrit à frère Macmillan l'immense oeuvre de prédication qu'il entrevoyait, d'après les Écritures. Devant les objections de son interlocuteur, il a rétorqué: "L'oeuvre que nous effectuons n'est pas celle d'un homme."