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Le contrôle banquaire

Posté : 31 déc.03, 12:31
par Laurent Comeau
La dictature des banquiers et leur système d'argent-dette ne se limitent pas seulement au Canada, mais s'étendent dans tous les pays du monde. Cette lutte des banquiers internationaux pour installer leur système frauduleux d'argent-dette a été particulièrement virulente aux États-Unis depuis le tout début de leur existence, où les faits montrent que plusieurs hommes d'État américains étaient bien au courant du système d'argent malhonnête que les financiers voulaient imposer et de tous les malheurs qu'il entraînerait pour l'Amérique. Ces hommes d'États étaient de véritables patriotes, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour conserver aux États-Unis un système d'argent honnête, libre du contrôle des financiers. Les Illuminati font tout pour tenir cachée cette facette de l'histoire des États-Unis, de peur que l'exemple de ces patriotes ne soit suivi encore aujourd'hui. Voici les faits que ces financiers voudraient que la population ignore: Nous sommes en 1750. Les États-Unis d'Amérique n'existent pas encore; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la Nouvelle-Angleterre, possession de la mère-patrie, l'Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps: ''Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe''. Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie: ''C'est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons ''Colonial Script'', et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons aucun intérêt à payer à personne''. Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d'or et d'argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié. ''En un ans, dit Franklin, les conditions changèrent tellement que l'ère de prospérité se termina, et une dépression s'installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs''. Alors advint la guerre contre l'Angleterre et la déclaration d'indépendance des États-Unis, en 1776. Les manuels d'histoire enseignent faussement que la Révolutions Américaine était due à la taxe sur le thé. Mais Franklin déclara: ''Les colonies auraient volontiers supporté l'insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement, ce qui a créé dans les colonies la haine de l'Angleterre et causé la guerre de la Révolution''. Les Pères Fondateurs des États-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l'exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américaine, signée à Philadelphie en 1787, dans l'article 1, section 8, paragraphe 5: ''C'est au Congrès qu'appartiendra le droit de frapper l'argent et d'en régler la valeure''. Mais les banquiers ne lâchèrent pas le morceau. Leur représentant, Alexander Hamilton, fut nommé Secrétaire du Trésor (l'équivalent de notre ministre des finances) dans le cabinet de George Washington, et se fit l'avocat d'une banque nationale privée et de la création d'un argent-dette avec de faux arguments, tels que: ''Une dette nationale, pourvu qu'elle ne soit pas exessive, est une bénédiction nationale... Le gouvernement se montrera sage en renonçant à l'usage d'un expédient aussi séduisant et dangereux, soit d'émettre sont propre papier-monnaie''. Hamilton leur fit aussi accroire que seul l'argent-dette des banques privées était valable pour les transactions avec les pays étrangers. Thomas Jefferson, le Secrétaire d'État, était fortement opposé à ce projet, mais le président Washington se laissa finalement convaincre par les arguments d'Hamilton. Une banque nationale fut donc créée en 1791, la ''Bank of the United States'' (Banque des États-Unis), avec une charte d'une durée de 20 ans. Quoique nommée Banque des États-Unis, elle était plus véritablement la banque des banquiers, puisqu'elle n'appartenait pas du tout à la nation, au gouvernement américain, mais aux individus détenteurs des actions de la banque, les banquiers privés. Le nom de Banque des États-Unis fut délibérément choisi dans le but de laisser croire à la population américaine qu'elle était propriétaire de la banque, ce qui n'était pas du tout le cas. La charte expira en 1811 et le Congrès vota contre son renouvellement, grâce à l'influence de Jefferson et d'Andrew Jackson: ''Si le Congrès, dit Jackson, a le droit d'après la Constitution d'émettre du papier-monnaie, ce droit leur a été donné pour être utilisé par eux seuls, non pas pour être délégué à des individus ou des compagnies privées''. Ainsi se terminait l'histoire de la première Banque des États-Unis, mais les banquiers n'avaient pas dit leur dernier mot. Nathan Rothschild, de la Banque d'Angleterre, lança un ultimatum: ''Ou bien le renouvellement de la charte est accordé, ou bien les États-Unis sont impliqués dans une guerre très désastreuse''. Jackson et les patriotes américains ne se doutaient pas que le pouvoir des banquiers pouvait s'étendre jusque-là. ''Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur dit le Président Jackson. J'ai l'intention de vous déloger, et par le Dieu Éternel, je le ferai''! Rothschild émit des ordres: ''Donnez une leçon à ces impudents Américains. Ramenez-les au statut de colonie''. Le gouvernement anglais déclencha la guerre de 1812 contre les États-Unis. Le plan de Rothschild était d'apauvrir les Américains par la guerre à un tel point qu'ils seraient obligés de demander de l'aide financière, qui bien sûr ne serait accordée qu'en retour du renouvellement de la charte de la Banque des États-Unis. Il y eut des milliers de morts, mais qu'importe à Rothschild? Il avait atteint son but, la charte fut renouvelée en 1816. En 1862, le Président Abraham Lincoln, en plein accord avec la Constitution américaine, émit 450 millions de ''greenbacks'' libres de dette pour payer les dépences de la Guerre de Sécession. Réélu en 1864, il promit de s'attaquer au pouvoir des banquiers une fois la guerre terminée. Lincoln fut assassiné le 14 avril 1865, et suivit une formidable restriction du crédit, organisée par les banques. L'argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions en 1866, tomba à 605 millions en 1876. Résultat: en 10 ans, 54446 faillites, pertes de 2 milliards. En 1913, Le Congrès des États-Unis alla à l'encontre de la Constitution, et vota la Loi de la ''Federal Reserve'' (Réserve Fédérale). Le droit de créer l'argent ou d'avoir tout contrôle sur sa création fut enlevé du Congrès et donné à la Réserve Fédérale, une compagnie privée, contrôlée par les banquiers. La Réserve Fédérale émit les ''Federal Reserve Notes'' (Billets de la Réserve Fédérale) pour être utilisés comme argent ayant cours légal dans le pays. Depuis que la Loi de la Réserve Fédérale fut votée en 1913, ces banquiers privés ont créé des milliards et des milliards de dollars en argent et crédit pour administrer les États-Unis. Mais puisqu'ils considèrent cet argent comme étant leur propriété personnelle, ces banquiers le prêtent au gouvernement et au peuple américain à intéret. En 1963, John F. Kennedy, qui était alors le président en fonction aux États-Unis, prit la décision de créer son propre argent pour administrer le pays. Le Président Kennedy émit les ''United States Notes'' (Billets des États-Unis), pour un montant d'environ 4 milliards, pour être utilisé comme argent ayant cours légal dans le pays. Cet argent était sans intérêt, sans dettes. Les deux billets sont semblables, sauf que sur un billet il est écrit: ''United States Note'' et sur l'autre; ''Federal Reserve Note''. Et, le Billets des États-Unies ne porte que le sceau du Trésor américain, alors que le Billet de la Réserve Fédérale porte le sceau du Trésor américain et le sceau de la Réserve Fédérale. Maleureusement, le Président Kennedy fut assassiné, en Novembre 1963. Les Billets des États-Units qu'il avait émit furent retirés de la circulation, et les Billets de la Réserve Fédérale continuèrent de servir comme argent ayant cours légal pour la nation, même si la loi de la Réserve Fédérale de 1913 qui le permet peut encore être déclarée inconstitutionnelle.

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Frère ou chrétien?

Posté : 13 janv.04, 08:04
par Laurent Comeau
Salut Laurent Comeau, je suis franc-maçon et j'en suis fier et je suis pasteur baptiste et la marque est une dépendance spirituelle et ça c'est la réalité ton texte est bon, une question es-tu Franc-maçon?car tes connaissances sont très pointue seul un élu ou frère de haut niveau possède cette connaissance es-tu frustré contre ta loge? je peu t'aider si tu veux, n'hésite pas explique moi ce qu'il ton fait pour que tu agisses de la sorte. Ton ami
F_M