Les Juifs étaient-ils heureux sous l'islam?
Posté : 13 déc.05, 08:18
Mes "amis" islamiques, que savez-vous du statut de dhimmi ? Rien.
Cette fausse vérité de l'histoire qui consiste à dire que les juifs étaient heureux sous l'Islam ? C'est un mensonge éhonté!
Apprenez:
La dhimmitude fut l'univers juridique, politique, spirituel des Juifs et des Chrétiens indigènes dont les pays furent conquis par le jihâd et gouvernés par la loi islamique: la shari'a. L'univers de la dhimmitude a englobé des millions de personnes, il a couvert trois continents - Afrique, Asie, Europe - il a duré de treize siècles à quelques siècles selon les régions. La dhimmitude vient du mot arabe "dhimmi" qui désignait les Juifs et les Chrétiens indigènes gouvernés et protégés par la loi islamique.
Une partie de ces populations fut massacrée, une autre réduite en esclavage, une autre déportée, et une autre devint dhimmi.
Le monde de la dhimmitude est celui de l'esclavage spirituel, de la souffrance, de l'avilissement, de l'insécurité, de la haine de soi et des autres. Juifs et Chrétiens vécurent ainsi côte à côte, servant le maître musulman, s'entre-aidant parfois, se trahissant toujours. Une situation encore actuelle.
Les droits du dhimmi sont des droits concédés, c'est-à-dire qu'ils peuvent être annulés, ils ne sont pas attachés à la personne humaine. Ses droits à la vie et à la sécurité sont monnayables, il doit sans cesse les racheter par une capitation coranique, la jizya. Le rachat de ses droits est indissociable d'une condition obligatoire d'humiliation, d'infériorité et de vulnérabilité extrême.
A Jérusalem au début du 19e siècle, la population juive ne pouvait excéder 2,000 personnes sous peine de mort. Elle disposait de quatre synagogues à peine meublées et réunies sous un seul toit. Le rangement de livres liturgiques dans une autre pièce qui accueillerait des fidèles pour le culte, était interdit. La communauté survivait grâce aux aumônes expédiées par toutes les synagogues de l'étranger. Selon J. Finn, consul anglais à Jérusalem (1845-1862), les musulmans profitaient de cette situation par des exactions et des rapines qui, de génération en génération, chargeaient la communauté juive d'une dette exorbitante, dont l'intérêt grevait lourdement le revenu perçu de l'étranger.
A Safed, le départ des troupes françaises (1799) déclencha une razzia sur le quartier juif avec pillage, massacre et rançon de 50,000 piastres, augmentée en 1810 de 75,000. En 1820, nouvel emprisonnement des notables et exigence d'une rançon qui éleva l'endettement de la communauté de 125,000 à 400,000 piastres. Cette même politique de tortures, d'emprisonnement et d'extorsion sévissait à Tibériade en 1822 et de façon chronique jusqu'en 1852.
L'insécurité de la personne est un des éléments du statut du dhimmi. Elle se manifeste par le renouvellement constant du rachat de ses droits, l'interdiction de se défendre par les armes et par le témoignage. Généralement les périodes d'affrontements islamo-chrétien, modifiaient cette insécurité individuelle en danger collectif pour toutes les communautés. Ainsi les massacres perpétrés par l'armée française en Terre sainte aggravèrent le ressentiment des musulmans. Au siège d'Acre par Bonaparte, toute la communauté grecque orthodoxe fut enfermée dans le Saint-Sépulcre et tandis que l'armée française marchait sur Jérusalem, les musulmans menacèrent d'y exterminer tous les juifs.
C'est l'empereur romain Hadrien qui a appelé ce pays: Palestine en 135 de notre ère. Et dans cette Palestine-là, on n'y parlait pas l'arabe, on n'y enseignait pas le Coran mais la Bible, et la population était juive.
La Palestine fut colonisée cinq siècles plus tard par les armées arabes du jihad islamique. Beaucoup de juifs furent alors massacrés, d'autres déportés en esclavage en Arabie, tout le peuple fut exproprié et réduit à l'état de dhimmis, comme le furent tous les indigènes juifs et chrétiens des pays du Sud méditerranéen conquis par le jihad, et ceux de beaucoup de pays d'Europe. Est-ce que ces pays conquis par l'islam tels que le Portugal, l'Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la Crète, les régions sud de la France, de l'Italie, sont des terres arabes? La shari'a fut imposée jusque dans des provinces de Hongrie et de Pologne, sans parler de toute l'Europe centrale, y compris des régions de la Grèce, de l'ex-Yougoslavie, la Roumanie et la Bulgarie jusqu'à la fin du 19è siècle. Est-ce que ces pays sont des terres musulmanes et leurs habitants non-musulmans doivent-ils redevenir des dhimmis dont le témoignage est refusé par les tribunaux islamiques?
Vous en voulez encore où cela vous suffit ? Qui sont les traîtres ?
Nous ne sommes plus des dhimmi et jamais plus nous ne le serons.
Avant de vous prendre pour des palestiniens, vous êtes des musulmans. Apprenez VOTRE HISTOIRE et sachez en prendre acte avant de taper sur les autres communautés religieuses que vous ne cessez d'insulter et de rabaisser avec des théories de quatre sous.
LA DHIMMITUDE C'EST TERMINE ET PLUS JAMAIS VOUS NE REDUIREZ LES JUIFS EN ESCLAVAGE
Cette fausse vérité de l'histoire qui consiste à dire que les juifs étaient heureux sous l'Islam ? C'est un mensonge éhonté!
Apprenez:
La dhimmitude fut l'univers juridique, politique, spirituel des Juifs et des Chrétiens indigènes dont les pays furent conquis par le jihâd et gouvernés par la loi islamique: la shari'a. L'univers de la dhimmitude a englobé des millions de personnes, il a couvert trois continents - Afrique, Asie, Europe - il a duré de treize siècles à quelques siècles selon les régions. La dhimmitude vient du mot arabe "dhimmi" qui désignait les Juifs et les Chrétiens indigènes gouvernés et protégés par la loi islamique.
Une partie de ces populations fut massacrée, une autre réduite en esclavage, une autre déportée, et une autre devint dhimmi.
Le monde de la dhimmitude est celui de l'esclavage spirituel, de la souffrance, de l'avilissement, de l'insécurité, de la haine de soi et des autres. Juifs et Chrétiens vécurent ainsi côte à côte, servant le maître musulman, s'entre-aidant parfois, se trahissant toujours. Une situation encore actuelle.
Les droits du dhimmi sont des droits concédés, c'est-à-dire qu'ils peuvent être annulés, ils ne sont pas attachés à la personne humaine. Ses droits à la vie et à la sécurité sont monnayables, il doit sans cesse les racheter par une capitation coranique, la jizya. Le rachat de ses droits est indissociable d'une condition obligatoire d'humiliation, d'infériorité et de vulnérabilité extrême.
A Jérusalem au début du 19e siècle, la population juive ne pouvait excéder 2,000 personnes sous peine de mort. Elle disposait de quatre synagogues à peine meublées et réunies sous un seul toit. Le rangement de livres liturgiques dans une autre pièce qui accueillerait des fidèles pour le culte, était interdit. La communauté survivait grâce aux aumônes expédiées par toutes les synagogues de l'étranger. Selon J. Finn, consul anglais à Jérusalem (1845-1862), les musulmans profitaient de cette situation par des exactions et des rapines qui, de génération en génération, chargeaient la communauté juive d'une dette exorbitante, dont l'intérêt grevait lourdement le revenu perçu de l'étranger.
A Safed, le départ des troupes françaises (1799) déclencha une razzia sur le quartier juif avec pillage, massacre et rançon de 50,000 piastres, augmentée en 1810 de 75,000. En 1820, nouvel emprisonnement des notables et exigence d'une rançon qui éleva l'endettement de la communauté de 125,000 à 400,000 piastres. Cette même politique de tortures, d'emprisonnement et d'extorsion sévissait à Tibériade en 1822 et de façon chronique jusqu'en 1852.
L'insécurité de la personne est un des éléments du statut du dhimmi. Elle se manifeste par le renouvellement constant du rachat de ses droits, l'interdiction de se défendre par les armes et par le témoignage. Généralement les périodes d'affrontements islamo-chrétien, modifiaient cette insécurité individuelle en danger collectif pour toutes les communautés. Ainsi les massacres perpétrés par l'armée française en Terre sainte aggravèrent le ressentiment des musulmans. Au siège d'Acre par Bonaparte, toute la communauté grecque orthodoxe fut enfermée dans le Saint-Sépulcre et tandis que l'armée française marchait sur Jérusalem, les musulmans menacèrent d'y exterminer tous les juifs.
C'est l'empereur romain Hadrien qui a appelé ce pays: Palestine en 135 de notre ère. Et dans cette Palestine-là, on n'y parlait pas l'arabe, on n'y enseignait pas le Coran mais la Bible, et la population était juive.
La Palestine fut colonisée cinq siècles plus tard par les armées arabes du jihad islamique. Beaucoup de juifs furent alors massacrés, d'autres déportés en esclavage en Arabie, tout le peuple fut exproprié et réduit à l'état de dhimmis, comme le furent tous les indigènes juifs et chrétiens des pays du Sud méditerranéen conquis par le jihad, et ceux de beaucoup de pays d'Europe. Est-ce que ces pays conquis par l'islam tels que le Portugal, l'Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la Crète, les régions sud de la France, de l'Italie, sont des terres arabes? La shari'a fut imposée jusque dans des provinces de Hongrie et de Pologne, sans parler de toute l'Europe centrale, y compris des régions de la Grèce, de l'ex-Yougoslavie, la Roumanie et la Bulgarie jusqu'à la fin du 19è siècle. Est-ce que ces pays sont des terres musulmanes et leurs habitants non-musulmans doivent-ils redevenir des dhimmis dont le témoignage est refusé par les tribunaux islamiques?
Vous en voulez encore où cela vous suffit ? Qui sont les traîtres ?
Nous ne sommes plus des dhimmi et jamais plus nous ne le serons.
Avant de vous prendre pour des palestiniens, vous êtes des musulmans. Apprenez VOTRE HISTOIRE et sachez en prendre acte avant de taper sur les autres communautés religieuses que vous ne cessez d'insulter et de rabaisser avec des théories de quatre sous.
LA DHIMMITUDE C'EST TERMINE ET PLUS JAMAIS VOUS NE REDUIREZ LES JUIFS EN ESCLAVAGE