Islam et christianisme: les différences
Posté : 08 janv.06, 05:31
Petite analyse effectuée sur Mejliss concernant la véritable nature de l'islam:
Les conceptions musulmanes et chrétiennes s'opposent fondamentalement sur la personnalité de Dieu, sur la notion de salut, sur celle du bien et du mal, sur le fonctionnement de la société… pour générer deux civilisations en totale opposition de valeurs.
Pour l'islam:
1) Allah ne peut être comparé physiquement à ses créatures; pourtant il est dit que les pieux verront sa face au paradis. Allah n'a pas besoin d'un Médiateur entre lui et les hommes comme Jésus remplit ce rôle pour les chrétiens depuis la chute d'Adam. Allah n'est pas littéralement le Père des esprits des hommes, et ces derniers ne sont pas littéralement ses enfants d'esprit.
2) Le principe du paradis musulman repose sur la satisfaction illimitée de la sensualité (à discrètion: houris voluptueuses éternellement vierges, jeunes hommes dociles, orgasme à volonté, vin capiteux, viande, etc.). Pour cela, la relation amoureuse romantique, le grand amour éternel entre l'homme et la femme, la pureté des sentiments dans le couple sont autant de notions inexistantes dans l'islam où la jouissance sexuelle est une fin en soi.
3) Allah a créé l'homme uniquement pour être adoré.
4) L'enfer-feu (tortures physiques), un paradis promettant un grand nombre de femmes (houris) pour satisfaire les besoins sexuels des pieux (sur terre, exploitation sexuelle des esclaves et servantes en plus de la polygamie), une pratique religieuse bâillonnant la liberté de pensée, des formules de gouvernement politico-religieuses autoritaristes mais exigées par la religion et les masses musulmanes, "protègeront" et "convaincront" le peuple à rester toujours soumis à Allah pour gagner le paradis.
5) Le projet d'Allah ne semble pas reposer sur l'idée du libre-arbitre et sur le développement de notre capacité à partager avec autrui par amour du prochain (fondement du bien et du mal dicté par la conscience universelle) pour atteindre la perfection ou la justice nécessaire pour vivre avec Dieu en sainteté.
6) Le mal consiste à s'opposer ou à menacer ce concept de paradis sexuel en laissant la raison ou les sentiments naturels le remettre en question - donc à contester Mohamed et le Coran (le jihad promis aux "injustes" ou non-musulmans, et l'enfer-feu éternel promis aux mécréants et apostats). En fait, l'islam est perpètuellement en guerre contre les Juifs dont la présence en terre sainte leur conteste leur légitimité prophétique, et en conflit plus ou moins larvé ou déclarée avec le reste du monde:
" Et si jamais tu crains vraiment une trahison de la part d'un peuple, dénonce alors le pacte (que tu as conclu avec), d'une façon franche et loyale car Dieu n'aime pas les traîtres." (sour. 8:58).
" Tuez les polythéistes là où vous les trouvez " (sour. 9:5).
" Combattez ceux qui ne croient pas en Dieu " (sour. 9:9).
7) Une miséricorde finale totale s'exerce à terme, automatiquement (à travers certains rites, actes spécifiques, mécanismes d'annulation automatique des mauvaises actions, voire séjour temporaire en enfer-feu, etc.), pour toutes formes d'injustice personnelle en dehors du shirk (associer d'autres divinités à Dieu (exemple: christianisme), et cela quelque soit leur niveau de gravité! Donc, repentance et pardon des péchés ne sont pas spécialement recherchés par absence de nécessité absolue; et aussi, par absence de possibilité de savoir si le pardon est accordé (négation de la révélation personnelle).
Pour le christianisme:
1) Dieu apparut à certains prophètes bibliques. Dieu créa physiquement l'homme à son image, selon sa ressemblance, il le créa homme et femme. Dieu est littéralement le Père des esprits des hommes qu’il engendra longtemps avant la création physique du monde (Jésus premier-né - voir Col.1:15, Héb.1:6 et Col.1:18). Il communique avec l'humanité par la médiation de Jésus-Christ rendue possible grâce à l'expiation infinie qu'il réalisa à Géthsémanée et sur la croix.
2) Le paradis est difficile à atteindre: respect des 10 commandements, faire alliance avec Dieu par le baptême, recevoir le pardon des péchés dans cette vie par révélation personnelle (voir Marc 2:5 ; Luc.11:4; Marc 11:24; Actes 10:43-44) et persévérer jusqu'à la fin (Matt.24:13).
3) La joie, dans le paradis chrétien à la résurrection, consistera en une capacité illimitée de l'homme et de la femme, ensemble, à créer, aimer, bénir, servir et sauver comme Dieu le fait pour nous sur terre (Héb.12:23; Rom.8:17; Ephés.3:19).
4) Le Dieu chrétien aime parfaitement l'homme et la femme parce qu'il est leur Père (littéralement, le Père de leurs esprits). Le Dieu chrétien cherche avant tout le bonheur de ses créatures avant d'être adoré.
5) En attendant le jugement dernier, et dans la résurrection, le Dieu chrétien n'a pas d'enfer-feu littéral, il respecte le libre-arbitre de l'homme dans son choix de le rejeter partiellement ou entièrement; il le récompensera dans la mesure de ce que celui-ci sera capable de maîtriser - certains se verront rester partiellement ou totalement séparés de Dieu et d'accroissement éternel selon les privilège du genre de vie divin (seconde mort).
6) Le projet du Dieu chrétien consiste en ce que chacun ait l'occasion d'accepter de venir prendre un corps physique sur terre pour y être éprouvé dans son amour envers Lui et envers son prochain, et retrouver ensuite ses êtres chers dans la résurrection pour hériter de la plénitude de sa gloire (sagesse, connaissance, pouvoir et accroissement éternel) en tant que co-héritiers avec Jésus de tout ce que possède Dieu. Pour cela, il suscitera des conditions propices de liberté en favorisant l'établissement de la démocratie dans le respect des droits de l'homme.
7) Le mal consiste à ne pas ressentir le prix que Jésus paya pour nous en souffrant pour nos péchés personnels à Géthsémanée et sur la croix; à être insensible à l'amour d'un Père céleste qui laissa sacrifier son Fils unique afin que l'on puisse espérer en cette vie et en la vie à venir; à refuser d'aimer comme soi-même chaque enfant de Dieu créé à son image; à ne pas permettre au Saint-Esprit de nous aider à vaincre le péché et persévérer jusqu'à la fin dans la justice.
Les conceptions musulmanes et chrétiennes s'opposent fondamentalement sur la personnalité de Dieu, sur la notion de salut, sur celle du bien et du mal, sur le fonctionnement de la société… pour générer deux civilisations en totale opposition de valeurs.
Pour l'islam:
1) Allah ne peut être comparé physiquement à ses créatures; pourtant il est dit que les pieux verront sa face au paradis. Allah n'a pas besoin d'un Médiateur entre lui et les hommes comme Jésus remplit ce rôle pour les chrétiens depuis la chute d'Adam. Allah n'est pas littéralement le Père des esprits des hommes, et ces derniers ne sont pas littéralement ses enfants d'esprit.
2) Le principe du paradis musulman repose sur la satisfaction illimitée de la sensualité (à discrètion: houris voluptueuses éternellement vierges, jeunes hommes dociles, orgasme à volonté, vin capiteux, viande, etc.). Pour cela, la relation amoureuse romantique, le grand amour éternel entre l'homme et la femme, la pureté des sentiments dans le couple sont autant de notions inexistantes dans l'islam où la jouissance sexuelle est une fin en soi.
3) Allah a créé l'homme uniquement pour être adoré.
4) L'enfer-feu (tortures physiques), un paradis promettant un grand nombre de femmes (houris) pour satisfaire les besoins sexuels des pieux (sur terre, exploitation sexuelle des esclaves et servantes en plus de la polygamie), une pratique religieuse bâillonnant la liberté de pensée, des formules de gouvernement politico-religieuses autoritaristes mais exigées par la religion et les masses musulmanes, "protègeront" et "convaincront" le peuple à rester toujours soumis à Allah pour gagner le paradis.
5) Le projet d'Allah ne semble pas reposer sur l'idée du libre-arbitre et sur le développement de notre capacité à partager avec autrui par amour du prochain (fondement du bien et du mal dicté par la conscience universelle) pour atteindre la perfection ou la justice nécessaire pour vivre avec Dieu en sainteté.
6) Le mal consiste à s'opposer ou à menacer ce concept de paradis sexuel en laissant la raison ou les sentiments naturels le remettre en question - donc à contester Mohamed et le Coran (le jihad promis aux "injustes" ou non-musulmans, et l'enfer-feu éternel promis aux mécréants et apostats). En fait, l'islam est perpètuellement en guerre contre les Juifs dont la présence en terre sainte leur conteste leur légitimité prophétique, et en conflit plus ou moins larvé ou déclarée avec le reste du monde:
" Et si jamais tu crains vraiment une trahison de la part d'un peuple, dénonce alors le pacte (que tu as conclu avec), d'une façon franche et loyale car Dieu n'aime pas les traîtres." (sour. 8:58).
" Tuez les polythéistes là où vous les trouvez " (sour. 9:5).
" Combattez ceux qui ne croient pas en Dieu " (sour. 9:9).
7) Une miséricorde finale totale s'exerce à terme, automatiquement (à travers certains rites, actes spécifiques, mécanismes d'annulation automatique des mauvaises actions, voire séjour temporaire en enfer-feu, etc.), pour toutes formes d'injustice personnelle en dehors du shirk (associer d'autres divinités à Dieu (exemple: christianisme), et cela quelque soit leur niveau de gravité! Donc, repentance et pardon des péchés ne sont pas spécialement recherchés par absence de nécessité absolue; et aussi, par absence de possibilité de savoir si le pardon est accordé (négation de la révélation personnelle).
Pour le christianisme:
1) Dieu apparut à certains prophètes bibliques. Dieu créa physiquement l'homme à son image, selon sa ressemblance, il le créa homme et femme. Dieu est littéralement le Père des esprits des hommes qu’il engendra longtemps avant la création physique du monde (Jésus premier-né - voir Col.1:15, Héb.1:6 et Col.1:18). Il communique avec l'humanité par la médiation de Jésus-Christ rendue possible grâce à l'expiation infinie qu'il réalisa à Géthsémanée et sur la croix.
2) Le paradis est difficile à atteindre: respect des 10 commandements, faire alliance avec Dieu par le baptême, recevoir le pardon des péchés dans cette vie par révélation personnelle (voir Marc 2:5 ; Luc.11:4; Marc 11:24; Actes 10:43-44) et persévérer jusqu'à la fin (Matt.24:13).
3) La joie, dans le paradis chrétien à la résurrection, consistera en une capacité illimitée de l'homme et de la femme, ensemble, à créer, aimer, bénir, servir et sauver comme Dieu le fait pour nous sur terre (Héb.12:23; Rom.8:17; Ephés.3:19).
4) Le Dieu chrétien aime parfaitement l'homme et la femme parce qu'il est leur Père (littéralement, le Père de leurs esprits). Le Dieu chrétien cherche avant tout le bonheur de ses créatures avant d'être adoré.
5) En attendant le jugement dernier, et dans la résurrection, le Dieu chrétien n'a pas d'enfer-feu littéral, il respecte le libre-arbitre de l'homme dans son choix de le rejeter partiellement ou entièrement; il le récompensera dans la mesure de ce que celui-ci sera capable de maîtriser - certains se verront rester partiellement ou totalement séparés de Dieu et d'accroissement éternel selon les privilège du genre de vie divin (seconde mort).
6) Le projet du Dieu chrétien consiste en ce que chacun ait l'occasion d'accepter de venir prendre un corps physique sur terre pour y être éprouvé dans son amour envers Lui et envers son prochain, et retrouver ensuite ses êtres chers dans la résurrection pour hériter de la plénitude de sa gloire (sagesse, connaissance, pouvoir et accroissement éternel) en tant que co-héritiers avec Jésus de tout ce que possède Dieu. Pour cela, il suscitera des conditions propices de liberté en favorisant l'établissement de la démocratie dans le respect des droits de l'homme.
7) Le mal consiste à ne pas ressentir le prix que Jésus paya pour nous en souffrant pour nos péchés personnels à Géthsémanée et sur la croix; à être insensible à l'amour d'un Père céleste qui laissa sacrifier son Fils unique afin que l'on puisse espérer en cette vie et en la vie à venir; à refuser d'aimer comme soi-même chaque enfant de Dieu créé à son image; à ne pas permettre au Saint-Esprit de nous aider à vaincre le péché et persévérer jusqu'à la fin dans la justice.