les versets « sataniques ???????
Posté : 27 janv.06, 21:58
Les trois filles d’Allah et les versets « sataniques ».
Dans la légende coranique, Mahomet aurait d’abord accepté l’intercession des divinités secondaires, avant de se rétracter.
Allah revendique de faux versets : « Nous avons établi des démons parmi les humains et les djinns, qui s’inspirent des paroles ornées, fallacieusement. Si Allah avait voulu, ils ne l’auraient pas fait. » (6,112)
Il confirme, et pas seulement dans ces versets, qu’il autorise des divinités secondaires à intercéder : « Celle qui a la charge d’intercéder auprès de lui, (n’en a autorité) qu’avec sa permission. Allah sait ce qu’elles ont entre leurs mains, et ce qui est derrière elles, et elles n’embrassent de sa science que ce qu’il veut. » (Cr 2,255)
Cette affaire des versets sataniques, reprise par les théologiens musulmans, est un chiffon rouge pour détourner l’attention de propos bien plus diaboliques. Par exemple « Ils seront tués ou crucifiés, ou bien leur main droite et leur pied gauche seront coupés. » (Cr 5,33) « Tranchez les mains du voleur et de la voleuse. » (5,38) « Vie pour vie, œil pour œil, nez pour nez, oreille pour oreille, dent pour dent. » (5,45)
La loi du talion en vigueur voilà six mille ans, a été abolie par Akhenaton, Bouddha, Zoroastre et Jésus. C’est une idée biblique et coranique, blasphématoire, puisqu’il s’agit de tuer un innocent. Prétendre, pour compenser une victime, en fabriquer une autre, est satanique. Oui, j’aurais aimé qu’un prophète entende Dieu lui dire : « Tous les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droit ».
Allah possède une centaine de « beaux noms ». Un poème datant du XIIe siècle avant J.C. octroie au dieu babylonien Mardouk une cinquantaine de noms, issus des divinités vaincues et assimilées. La plupart de ces noms désigneront Allah.
Les trois filles d’Allah sont l’évolution des épouses de Nergal, dieu des enfers, devenues dans le Coran les déesses des « versets sataniques ».
Ces trois épouses de Nergal deviennent ensuite les trois filles d’Allah, qui était une divinité féminine. Il s’est aussi mélangé au dieu Lune.
Les trois déesses du Coran :
- Al-Uzza est une ogresse mangeuse d’hommes, divinité guerrière. Elle peut guérir la fièvre, les saignements envoyés par les démons. Déesse de la fécondité, de la puissance.
- Manât porte une épée, ou un stylet. Elle agite les djinns (sortes de farfadets considérés comme réels dans le Coran), qui peuvent alors tuer à la faveur de la nuit. Déesse du destin, elle décide de l’heure de la mort. A Sumer, sous le nom de Mammitu, elle était vénérée sous l’aspect d’une… pierre, que l’on retrouvera à la Kaaba.
- Al-lat : sur le temple de sa jumelle Isis/Athéna/Aphrodite, dans le delta du Nil, on trouve sa profession de foi : « Je suis tout ce qui a été, tout ce qui est, et tout ce qui sera ». Elle évolue vers le statut de fille et d’épouse, et de mère des dieux.
Le mouvement psychologique qui consiste à avoir de nombreux dieux, puis un chef des dieux, puis un dieu unique, est universel. Hindous, Celtes, Amérindiens, Africains, avaient depuis longtemps conclu au dieu unique, sans avoir besoin de ces méchants prophètes.
La présence de ces trois divinités, très improbable dans la vallée de La Mecque, est en revanche certaine en Syrie.
Evidemment, elles ne cohabitent pas dans le même sanctuaire. Dans la logique religieuse il peut exister, au mieux, un minuscule sanctuaire à La Mecque, ou plutôt à l’oasis de Taïf, à côté de cette vallée stérile : un sanctuaire chrétien, Nergal devenu Hubal, et Cybèle en train d’être assimilée par Allah par l’intermédiaire de ses filles. Peut-être une statue de Marie, et une croix, symbole qui datait de moins de trois siècles chez les chrétiens, mais de plusieurs millénaires chez les Egyptiens.
On est loin des trois cent soixante idoles dont parlent les légendistes. L’idée que chacun apportait son idole dans le temple est nécessairement tardive, car ce serait un blasphème de les entasser comme au bazar. Il s’agit d’une aberration psychologique, d’autant qu’elles sont dangereuses.
Beaucoup d’Arabes croyaient que le Messie Jésus était fils d’Allah (dieu des Chrétiens arabes à l'époque), et en vinrent à contester le statut divin de ses trois filles, puis à contester leur existence. Le Coran finit par leur concéder un statut divin, avant de renier ces versets en les déclarant sataniques.
En revanche les rédacteurs du Coran ne firent rien pour déclarer sataniques les nombreux versets appelant à frapper les femmes, les enfermer jusqu’à ce qu’elles meurent de faim, les appels aux meurtres, au pillage, à la lapidation et à l’esclavage.
Une religion qui maltraite les femmes ne vient pas de Dieu. Quand la femme est libre, Dieu s’épanouit.
Comme elles sont cruelles, ces « paroles de Dieu », qui oblige à voir sa mère ou sa sœur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l’aimante, la consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d’Allah. Comme elle est difficile, l’exigence coranique qui apprend à mépriser la femme ; à transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure, attendant de peupler l’enfer…
Voilà ce que disait Manou, il y a quatre mille ans, en Inde : « Là où les femmes sont honorées, les dieux sont contents. Là où elles ne le sont pas, les sacrifices sont stériles. » (Loi III. 56)
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Dù vienne s`est versets et sont t-il fiable ou non ?
Dans la légende coranique, Mahomet aurait d’abord accepté l’intercession des divinités secondaires, avant de se rétracter.
Allah revendique de faux versets : « Nous avons établi des démons parmi les humains et les djinns, qui s’inspirent des paroles ornées, fallacieusement. Si Allah avait voulu, ils ne l’auraient pas fait. » (6,112)
Il confirme, et pas seulement dans ces versets, qu’il autorise des divinités secondaires à intercéder : « Celle qui a la charge d’intercéder auprès de lui, (n’en a autorité) qu’avec sa permission. Allah sait ce qu’elles ont entre leurs mains, et ce qui est derrière elles, et elles n’embrassent de sa science que ce qu’il veut. » (Cr 2,255)
Cette affaire des versets sataniques, reprise par les théologiens musulmans, est un chiffon rouge pour détourner l’attention de propos bien plus diaboliques. Par exemple « Ils seront tués ou crucifiés, ou bien leur main droite et leur pied gauche seront coupés. » (Cr 5,33) « Tranchez les mains du voleur et de la voleuse. » (5,38) « Vie pour vie, œil pour œil, nez pour nez, oreille pour oreille, dent pour dent. » (5,45)
La loi du talion en vigueur voilà six mille ans, a été abolie par Akhenaton, Bouddha, Zoroastre et Jésus. C’est une idée biblique et coranique, blasphématoire, puisqu’il s’agit de tuer un innocent. Prétendre, pour compenser une victime, en fabriquer une autre, est satanique. Oui, j’aurais aimé qu’un prophète entende Dieu lui dire : « Tous les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droit ».
Allah possède une centaine de « beaux noms ». Un poème datant du XIIe siècle avant J.C. octroie au dieu babylonien Mardouk une cinquantaine de noms, issus des divinités vaincues et assimilées. La plupart de ces noms désigneront Allah.
Les trois filles d’Allah sont l’évolution des épouses de Nergal, dieu des enfers, devenues dans le Coran les déesses des « versets sataniques ».
Ces trois épouses de Nergal deviennent ensuite les trois filles d’Allah, qui était une divinité féminine. Il s’est aussi mélangé au dieu Lune.
Les trois déesses du Coran :
- Al-Uzza est une ogresse mangeuse d’hommes, divinité guerrière. Elle peut guérir la fièvre, les saignements envoyés par les démons. Déesse de la fécondité, de la puissance.
- Manât porte une épée, ou un stylet. Elle agite les djinns (sortes de farfadets considérés comme réels dans le Coran), qui peuvent alors tuer à la faveur de la nuit. Déesse du destin, elle décide de l’heure de la mort. A Sumer, sous le nom de Mammitu, elle était vénérée sous l’aspect d’une… pierre, que l’on retrouvera à la Kaaba.
- Al-lat : sur le temple de sa jumelle Isis/Athéna/Aphrodite, dans le delta du Nil, on trouve sa profession de foi : « Je suis tout ce qui a été, tout ce qui est, et tout ce qui sera ». Elle évolue vers le statut de fille et d’épouse, et de mère des dieux.
Le mouvement psychologique qui consiste à avoir de nombreux dieux, puis un chef des dieux, puis un dieu unique, est universel. Hindous, Celtes, Amérindiens, Africains, avaient depuis longtemps conclu au dieu unique, sans avoir besoin de ces méchants prophètes.
La présence de ces trois divinités, très improbable dans la vallée de La Mecque, est en revanche certaine en Syrie.
Evidemment, elles ne cohabitent pas dans le même sanctuaire. Dans la logique religieuse il peut exister, au mieux, un minuscule sanctuaire à La Mecque, ou plutôt à l’oasis de Taïf, à côté de cette vallée stérile : un sanctuaire chrétien, Nergal devenu Hubal, et Cybèle en train d’être assimilée par Allah par l’intermédiaire de ses filles. Peut-être une statue de Marie, et une croix, symbole qui datait de moins de trois siècles chez les chrétiens, mais de plusieurs millénaires chez les Egyptiens.
On est loin des trois cent soixante idoles dont parlent les légendistes. L’idée que chacun apportait son idole dans le temple est nécessairement tardive, car ce serait un blasphème de les entasser comme au bazar. Il s’agit d’une aberration psychologique, d’autant qu’elles sont dangereuses.
Beaucoup d’Arabes croyaient que le Messie Jésus était fils d’Allah (dieu des Chrétiens arabes à l'époque), et en vinrent à contester le statut divin de ses trois filles, puis à contester leur existence. Le Coran finit par leur concéder un statut divin, avant de renier ces versets en les déclarant sataniques.
En revanche les rédacteurs du Coran ne firent rien pour déclarer sataniques les nombreux versets appelant à frapper les femmes, les enfermer jusqu’à ce qu’elles meurent de faim, les appels aux meurtres, au pillage, à la lapidation et à l’esclavage.
Une religion qui maltraite les femmes ne vient pas de Dieu. Quand la femme est libre, Dieu s’épanouit.
Comme elles sont cruelles, ces « paroles de Dieu », qui oblige à voir sa mère ou sa sœur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l’aimante, la consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d’Allah. Comme elle est difficile, l’exigence coranique qui apprend à mépriser la femme ; à transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure, attendant de peupler l’enfer…
Voilà ce que disait Manou, il y a quatre mille ans, en Inde : « Là où les femmes sont honorées, les dieux sont contents. Là où elles ne le sont pas, les sacrifices sont stériles. » (Loi III. 56)
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Dù vienne s`est versets et sont t-il fiable ou non ?