Le Sacrement du bapteme Catholique: les trois formes
Posté : 24 janv.04, 07:30
Salut!
J'ai yahooler le mot transfiguration et j'ai trouver un site: 'Tranfiguration. Catholic encyclopédic. Tranfiguration.' Il est fort intéressant ce site en tant que matériel didactique. Tu peut meme te faire venir une copie CD de cette enciclopédie chrétienne qui trait au chatolichisme. Ci-bat, je donne la page web:
Vous pouvez aller lire par vous-meme le Catholic encyclopedia:
http://www.newadvent.org/cathen/15019a.htm
Ici, je désirerais plutot discuter du baptème comme sujet. Le Sacrement du bapteme Catholique est utilisé uniquement comme exemple qu'ils ont déjà, les Catholiques, pratiqué le bapteme par immersion.
Je me suis permise, ici, de vous proposer un texte copié du site internet ci-haut mentioné. Il tiré du Catholic Encyclopidia (la version anglaise), la section qui nous détail le sacrement du bapteme catholique. Plus bas, vous y trouverez la copie exacte du texte dont je vous soumet à la fois pour votre propre satisfaction intellectuelle et spirituelle. Je prend avant, la liberté de traduire cet exemplaire de ce texte selon le meilleur de ma connaissance, spécialement pour ceux d'entre vous qui ne lisez pas en anglais.
Bonne lecture!:
" (b) La forme essentielle du bapteme est l'ablution administré par de l'eau. Le mot meme "baptiser", comme nous le comprenons, veut dire le lavement. Trois formes d'ablution ont prévalue parmis les Chrétiens, et l'Église les tiend tous comme valide parce que ils remplissent la singification requise du lavage baptismal. Ces formes sont l'immersion, l'infusion, et l'aspersion. La plus ancienne forme habituellement employée était sans question l'immersion. Ceci n'est pas seulement évident d'après le écritures des Pères et des premiers rituels rituels des deux Églises Latine et Oriontal, mais ça peut aussi etre trouver de l'Épitre de Saint-Paul, qui parle du bapteme comme étant un bain. (voir Éphis., v., 26
J'ai regardé dans la *Gédéon, la *Segond ordinaire, la *Traduite de l'hébreu et du grec en français courant, la *Martin 1855; ils ne mentionnent aucunement, du moins de façon directe, le bapteme par immersion. Ils disent par la parole, l'eau, laver -- mais n'utilisent pas le mot: 'immersion'. Ce qui me fut fort étonnant je vous l'affirme, car de nos jours, ce sont les Églises Chrétiennes professant le protestantismes qui, plusieurs d'entre le Évangiliste et Chrétiens, pratiques le bapteme par immersion de nos jours; plutot que les Catholiques.
Et dans quelle bible pensez-vous que j'ai trouvé le bapteme par immersion de Jésus qui est enseigné, et ce sans gene? Dans la
-- Bayard--. Oui! Celle-là meme qui est une Catholique Québécoise! Et je vous y réfère donc:
La Bayard:
Éphésiens 5: 26: Oui, maris, aimez vos femmes comme le Christ aussi a aimé l'Assemblée et s'est livré lui-meme pour elle, pour la sanctifier en la rendant pure par "immersion" dans une parole pour qu'il se la présente à lui-meme resplendissante, Assemblée sans tache, sans ride, sans rien de tout ça, mais sainte et inaccusable, alors oui, les hommes sont tenus d'aimer leur propre femme comme leur propre corps.
La Crampon Ephés5:26:
25 Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l'Eglise et s'est livré
lui-même pour elle,
26 afin de la sanctifier, après l'avoir purifiée dans l'eau baptismale, avec la parole, (Prenez bien note ici dans cette version de Crampon, l'utilisation du terme "dans l'eau barptismale" -- 'dans':
C'est chose bien évidente que nous savons tous comment on utilise le mot 'dans' dans notre si belle lanque qu'est le français! Mais examinons ensemble ce que sa diffinition du dictionnaire du Petit Larousse, 2000:
DANS: PRÉP. (LAT.DE ET INTUS, DEDANS). 1. Marque le lieu où l'on est, où l'on entre. Etre dans sa chambre. Marcher dans la foule. Monter dans le train.
Donc, ici, dans ce verset, Jésus va 'dans' l'eau baptismale. Dedans. Mais encore dans cette Crampon, l'on ne spécifie pas de façon claire et concise: l'usage du bapteme par immersion.
Ostervald, 1996: fait usage du terme: "lavant par l'eau" :
26 Afin de la sanctifier, en la purifiant et en la lavant par l'eau de la parole;
Darby:
26 afin qu’il la sanctifiât, en la purifiant par le lavage d’eau par [la] parole ;
Le Petit Larousse, 2000: LAVAGE: n.m. 1. Action de laver.
Et la traduction se pousuit ainsi: Rom.6:4:
Bayard: Nous fumes donc mis au tombeau avec lui par la plongée dans la mort. Afin que, comme le Christ fut réveillé d'entre les morts par la force éclatante du Père, nous marchions aussi dans une vie nouvelle.
-- La version de Bayard est très explicite en ce qui a trait au bapteme. Elle utilise dans ce verset le terme "plongée" dans la mort. Ce qui est le symbolisme du bapteme par immersion.
Le Petit Larousse, 2000: PLONGÉE: nf. 1. Action de plonger, de s'enfoncer dans l'eau... 2. Mouvement de descente plus ou moins rapide. L'avion fit une plongée.
Gédéons: Nous avons donc été ensevelis avec lui par le bapteme en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de meme nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
Le Petit Larousse, 2000: ENSEVELIR: v.t. (lat. insepelire) 1. Litt. Envelopper un cadavre dans un linceuil; l'enterre. 2. Faire disparaitre sous un amoncellement. Village enseveli sous la neige. 3. Garder secret, enfoui; plonger dans l'oubli...
Semeur fait aussi usage du mont 'enseveli'. La Segond, la Martin 1855 aussi l'utilise ce mot 'enseveli'. Parcontre, La Traduite de l'hébreu et du grec en fançais courant utiliserait plutot le terme "enterré". Mais, s.v.p., poursuivez vous-meme une recherche de vos biles préférées afin de les étudier! Moi-meme, je n'ai pas toujours le temps, d'aller les examiner tous et à chacunes là.
Et la version anglaise de ce que je vous traduit, se réfère aussi à Tit.3:5:
Bayard: ...la bonté et l'amour de Dieu notre libérateur pour l'humanité, ce ne fut pas d'après ce que nous-memes avions réalisé avec justice mais d'après sa propre compassion qu'il nous a libérés, dans un bain de renaissance et de renouvellement.
-- Il est à souligner ici dans cette version de la Bible le mot "bain" Le Petit Larousse, 2000: BAIN n.n. (lat. balneum). 1. Action de se baingner, de baigner qqn, qqch. Prendre un bain.... 2. Eau, liquide dans lequel on se baigne, on baigne qqch, une partie du corps, etc.... 4. Solution, préparation dans laquelle on immerge qqch pour le soumettre à une opération quelconque; ... 5. Exposition, immersion dans un milieu quelconque. ...
La Traduite de l'hébreu et du grec en français courant:
il nous a sauvés, non point parce que nous aurions accompli des oeuvres justes, mais parce qu'il a eu pitié de nous. Il nous a sauvés par le bain au travers duquel le Saint-Esprit nous accorde la nouvelle naissance et la vie nouvelle (h). (h) comparer Éph 5.26 et la note.
Cette version utilise elle aussi le mot "bain"!
Le Semeur m'a surpris lui!:
S'il l'a fait, ce n'est pas parce que nous avons accompli des actes conformes à ce qui est juste. Non. Il nous a sauvés parce qu'il a eu pitié de nous, en nous faisont passer par le bain *puirificateur de la nouvelle naissance, c'est-à-dire en nous renouvelant par le Saint-Esprit.
Voici Gédéons qui nous surprendraient ici:
il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le bain(c) de la régénération et renouvellement du Saint-Esprit. (c) Seg. par le bapteme
-- Les Gédéons interpreteraient donc la Version Segond qui nous indique par le bapteme, comme étant un "bain".
La traduction de ce texte ce poursuit donc:
Dans l'Église Latine, l'immersion semble avoir primée jusqu'au douxième siècle. Après ce temps, elle est trouvée dans certains endroits aussi trad que le sixième siècle. Parcontre, l'infusion et l'aspersion grandissaient et devenaient plus communes au treizième siècle, et de façon graduelle, a prévalue dans l'Église de l'Ouest. Les Églises oriontales ont retenus l'immersion, mais pas tout le temps dans le sens de plonge le corps du candidat complètement sous l'eau. Billuart (De Bapt., 1, iii) dit que de façon commune le candidat est placé dans le font baptismal, et puis de l'eau est versé pardessus la tete. Il cite comme autorité Gard pour cet déclaration. Parcontre, comme nous avons dit, l'immersion était la forme de bapteme qui regnait généralement dans les premières années, il ne faudrait pas sous-entendre que les autres formes de baptemes, l'infusion et l'aspersion, n'étaient pas aussi employées et tenues comme étant valides. Dans le cas du malade ou du mourant, l'immersion fut impossible donc l'une ou l'autre forme du sacrment du bapteme fut alors administré. Ceci fut si bien reconnu que l'infusion ou l'aspersion furent donnés le nom du baptème des malades (baptismus clinicorum). St-Cyprien (lxxvi) déclare cette forme de baptème comme valide. Des canons d'un variété de premiers conciles nous savons que les candidats pour les Ordres Sacrés qui avaient été baptisé par cette méthode semble avoir été vue comme étant irrégulier, mais ceci était à cause d'une négligence culpative qui semble manifeste en remettant le baptème jusqu'à la maladie ou la mort. Que de telles personnes, parcontre, n'avaient pas à etre rebaptiser est une preuve que l'Église tenait leur bapteme comme valide. Il est aussi souligner que les circonstances sous lesquelles Saint-Paul (Actes 6) a baptisé celui qui le tenait comme prisonnier et toute sa maisonnée semble l'utilisation de l'immersion. Et enclore plus, les actions des premiers martyres fréquemment fait références à baptiser dans les prisons ou l'infusion et l'aspersons furent certainement employés.
-- Soyez bien à l'aise de lire Actes 6, ci-haut mentionné, dans la bible de votre choix. Bonne lecture.
La version anglaise: (b) Proximate matter
The proximate matter of baptism is the ablution performed with water. The very word "baptize", as we have seen, means a washing. Three forms of ablution have prevailed among Christians, and the Church holds them all to be valid because they fulfill the requisite signification of the baptismal laving. These forms are immersion, infusion, and aspersion. The most ancient form usually employed was unquestionably immersion. This is not only evident from the writings of the Fathers and the early rituals of both the Latin and Oriental Churches, but it can also be gathered from the Epistles of St. Paul, who speaks of baptism as a bath (Ephes., v, 26; Rom., vi, 4; Tit., iii, 5). In the Latin Church, immersion seems to have prevailed until the twelfth century. After that time it is found in some places even as late as the sixteenth century. Infusion and aspersion, however, were growing common in the thirteenth century and gradually prevailed in the Western Church. The Oriental Churches have retained immersion, though not always in the sense of plunging the candidate's entire body below the water. Billuart (De Bapt., I, iii) says that commonly the catechumen is placed in the font, and then water is poured upon the head. He cites the authority of Goar for this statement. Although, as we have said, immersion was the form of baptism that generally prevailed in the early ages, it must not thereby be inferred that the other forms of infusion and aspersion were not also employed and held to be valid. In the case of the sick or dying, immersion was impossible and the sacrament was then conferred by one of the other forms. This was so well recognized that infusion or aspersion received the name of the baptism of the sick (baptismus clinicorum). St. Cyprian (Ep. lxxvi) declares this form to be valid. From the canons of various early councils we know that candidates for Holy orders who had been baptized by this method seem to have been regarded as irregular, but this was on account of the culpable negligence supposed to be manifested in delaying baptism until sick or dying. That such persons, however, were not to be rebaptized is an evidence that the Church held their baptism to be valid. It is also pointed out that the circumstances under which St. Paul (Acts, xvi) baptized his jailer and all his household seem to preclude the use of immersion. Moreover, the acts of the early martyrs frequently refer to baptizing in prisons where infusion or aspersion was certainly employed.
J'ai yahooler le mot transfiguration et j'ai trouver un site: 'Tranfiguration. Catholic encyclopédic. Tranfiguration.' Il est fort intéressant ce site en tant que matériel didactique. Tu peut meme te faire venir une copie CD de cette enciclopédie chrétienne qui trait au chatolichisme. Ci-bat, je donne la page web:
Vous pouvez aller lire par vous-meme le Catholic encyclopedia:
http://www.newadvent.org/cathen/15019a.htm
Ici, je désirerais plutot discuter du baptème comme sujet. Le Sacrement du bapteme Catholique est utilisé uniquement comme exemple qu'ils ont déjà, les Catholiques, pratiqué le bapteme par immersion.
Je me suis permise, ici, de vous proposer un texte copié du site internet ci-haut mentioné. Il tiré du Catholic Encyclopidia (la version anglaise), la section qui nous détail le sacrement du bapteme catholique. Plus bas, vous y trouverez la copie exacte du texte dont je vous soumet à la fois pour votre propre satisfaction intellectuelle et spirituelle. Je prend avant, la liberté de traduire cet exemplaire de ce texte selon le meilleur de ma connaissance, spécialement pour ceux d'entre vous qui ne lisez pas en anglais.
Bonne lecture!:
" (b) La forme essentielle du bapteme est l'ablution administré par de l'eau. Le mot meme "baptiser", comme nous le comprenons, veut dire le lavement. Trois formes d'ablution ont prévalue parmis les Chrétiens, et l'Église les tiend tous comme valide parce que ils remplissent la singification requise du lavage baptismal. Ces formes sont l'immersion, l'infusion, et l'aspersion. La plus ancienne forme habituellement employée était sans question l'immersion. Ceci n'est pas seulement évident d'après le écritures des Pères et des premiers rituels rituels des deux Églises Latine et Oriontal, mais ça peut aussi etre trouver de l'Épitre de Saint-Paul, qui parle du bapteme comme étant un bain. (voir Éphis., v., 26
J'ai regardé dans la *Gédéon, la *Segond ordinaire, la *Traduite de l'hébreu et du grec en français courant, la *Martin 1855; ils ne mentionnent aucunement, du moins de façon directe, le bapteme par immersion. Ils disent par la parole, l'eau, laver -- mais n'utilisent pas le mot: 'immersion'. Ce qui me fut fort étonnant je vous l'affirme, car de nos jours, ce sont les Églises Chrétiennes professant le protestantismes qui, plusieurs d'entre le Évangiliste et Chrétiens, pratiques le bapteme par immersion de nos jours; plutot que les Catholiques.
Et dans quelle bible pensez-vous que j'ai trouvé le bapteme par immersion de Jésus qui est enseigné, et ce sans gene? Dans la
-- Bayard--. Oui! Celle-là meme qui est une Catholique Québécoise! Et je vous y réfère donc:
La Bayard:
Éphésiens 5: 26: Oui, maris, aimez vos femmes comme le Christ aussi a aimé l'Assemblée et s'est livré lui-meme pour elle, pour la sanctifier en la rendant pure par "immersion" dans une parole pour qu'il se la présente à lui-meme resplendissante, Assemblée sans tache, sans ride, sans rien de tout ça, mais sainte et inaccusable, alors oui, les hommes sont tenus d'aimer leur propre femme comme leur propre corps.
La Crampon Ephés5:26:
25 Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l'Eglise et s'est livré
lui-même pour elle,
26 afin de la sanctifier, après l'avoir purifiée dans l'eau baptismale, avec la parole, (Prenez bien note ici dans cette version de Crampon, l'utilisation du terme "dans l'eau barptismale" -- 'dans':
C'est chose bien évidente que nous savons tous comment on utilise le mot 'dans' dans notre si belle lanque qu'est le français! Mais examinons ensemble ce que sa diffinition du dictionnaire du Petit Larousse, 2000:
DANS: PRÉP. (LAT.DE ET INTUS, DEDANS). 1. Marque le lieu où l'on est, où l'on entre. Etre dans sa chambre. Marcher dans la foule. Monter dans le train.
Donc, ici, dans ce verset, Jésus va 'dans' l'eau baptismale. Dedans. Mais encore dans cette Crampon, l'on ne spécifie pas de façon claire et concise: l'usage du bapteme par immersion.
Ostervald, 1996: fait usage du terme: "lavant par l'eau" :
26 Afin de la sanctifier, en la purifiant et en la lavant par l'eau de la parole;
Darby:
26 afin qu’il la sanctifiât, en la purifiant par le lavage d’eau par [la] parole ;
Le Petit Larousse, 2000: LAVAGE: n.m. 1. Action de laver.
Et la traduction se pousuit ainsi: Rom.6:4:
Bayard: Nous fumes donc mis au tombeau avec lui par la plongée dans la mort. Afin que, comme le Christ fut réveillé d'entre les morts par la force éclatante du Père, nous marchions aussi dans une vie nouvelle.
-- La version de Bayard est très explicite en ce qui a trait au bapteme. Elle utilise dans ce verset le terme "plongée" dans la mort. Ce qui est le symbolisme du bapteme par immersion.
Le Petit Larousse, 2000: PLONGÉE: nf. 1. Action de plonger, de s'enfoncer dans l'eau... 2. Mouvement de descente plus ou moins rapide. L'avion fit une plongée.
Gédéons: Nous avons donc été ensevelis avec lui par le bapteme en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de meme nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
Le Petit Larousse, 2000: ENSEVELIR: v.t. (lat. insepelire) 1. Litt. Envelopper un cadavre dans un linceuil; l'enterre. 2. Faire disparaitre sous un amoncellement. Village enseveli sous la neige. 3. Garder secret, enfoui; plonger dans l'oubli...
Semeur fait aussi usage du mont 'enseveli'. La Segond, la Martin 1855 aussi l'utilise ce mot 'enseveli'. Parcontre, La Traduite de l'hébreu et du grec en fançais courant utiliserait plutot le terme "enterré". Mais, s.v.p., poursuivez vous-meme une recherche de vos biles préférées afin de les étudier! Moi-meme, je n'ai pas toujours le temps, d'aller les examiner tous et à chacunes là.
Et la version anglaise de ce que je vous traduit, se réfère aussi à Tit.3:5:
Bayard: ...la bonté et l'amour de Dieu notre libérateur pour l'humanité, ce ne fut pas d'après ce que nous-memes avions réalisé avec justice mais d'après sa propre compassion qu'il nous a libérés, dans un bain de renaissance et de renouvellement.
-- Il est à souligner ici dans cette version de la Bible le mot "bain" Le Petit Larousse, 2000: BAIN n.n. (lat. balneum). 1. Action de se baingner, de baigner qqn, qqch. Prendre un bain.... 2. Eau, liquide dans lequel on se baigne, on baigne qqch, une partie du corps, etc.... 4. Solution, préparation dans laquelle on immerge qqch pour le soumettre à une opération quelconque; ... 5. Exposition, immersion dans un milieu quelconque. ...
La Traduite de l'hébreu et du grec en français courant:
il nous a sauvés, non point parce que nous aurions accompli des oeuvres justes, mais parce qu'il a eu pitié de nous. Il nous a sauvés par le bain au travers duquel le Saint-Esprit nous accorde la nouvelle naissance et la vie nouvelle (h). (h) comparer Éph 5.26 et la note.
Cette version utilise elle aussi le mot "bain"!
Le Semeur m'a surpris lui!:
S'il l'a fait, ce n'est pas parce que nous avons accompli des actes conformes à ce qui est juste. Non. Il nous a sauvés parce qu'il a eu pitié de nous, en nous faisont passer par le bain *puirificateur de la nouvelle naissance, c'est-à-dire en nous renouvelant par le Saint-Esprit.
Voici Gédéons qui nous surprendraient ici:
il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le bain(c) de la régénération et renouvellement du Saint-Esprit. (c) Seg. par le bapteme
-- Les Gédéons interpreteraient donc la Version Segond qui nous indique par le bapteme, comme étant un "bain".
La traduction de ce texte ce poursuit donc:
Dans l'Église Latine, l'immersion semble avoir primée jusqu'au douxième siècle. Après ce temps, elle est trouvée dans certains endroits aussi trad que le sixième siècle. Parcontre, l'infusion et l'aspersion grandissaient et devenaient plus communes au treizième siècle, et de façon graduelle, a prévalue dans l'Église de l'Ouest. Les Églises oriontales ont retenus l'immersion, mais pas tout le temps dans le sens de plonge le corps du candidat complètement sous l'eau. Billuart (De Bapt., 1, iii) dit que de façon commune le candidat est placé dans le font baptismal, et puis de l'eau est versé pardessus la tete. Il cite comme autorité Gard pour cet déclaration. Parcontre, comme nous avons dit, l'immersion était la forme de bapteme qui regnait généralement dans les premières années, il ne faudrait pas sous-entendre que les autres formes de baptemes, l'infusion et l'aspersion, n'étaient pas aussi employées et tenues comme étant valides. Dans le cas du malade ou du mourant, l'immersion fut impossible donc l'une ou l'autre forme du sacrment du bapteme fut alors administré. Ceci fut si bien reconnu que l'infusion ou l'aspersion furent donnés le nom du baptème des malades (baptismus clinicorum). St-Cyprien (lxxvi) déclare cette forme de baptème comme valide. Des canons d'un variété de premiers conciles nous savons que les candidats pour les Ordres Sacrés qui avaient été baptisé par cette méthode semble avoir été vue comme étant irrégulier, mais ceci était à cause d'une négligence culpative qui semble manifeste en remettant le baptème jusqu'à la maladie ou la mort. Que de telles personnes, parcontre, n'avaient pas à etre rebaptiser est une preuve que l'Église tenait leur bapteme comme valide. Il est aussi souligner que les circonstances sous lesquelles Saint-Paul (Actes 6) a baptisé celui qui le tenait comme prisonnier et toute sa maisonnée semble l'utilisation de l'immersion. Et enclore plus, les actions des premiers martyres fréquemment fait références à baptiser dans les prisons ou l'infusion et l'aspersons furent certainement employés.
-- Soyez bien à l'aise de lire Actes 6, ci-haut mentionné, dans la bible de votre choix. Bonne lecture.
La version anglaise: (b) Proximate matter
The proximate matter of baptism is the ablution performed with water. The very word "baptize", as we have seen, means a washing. Three forms of ablution have prevailed among Christians, and the Church holds them all to be valid because they fulfill the requisite signification of the baptismal laving. These forms are immersion, infusion, and aspersion. The most ancient form usually employed was unquestionably immersion. This is not only evident from the writings of the Fathers and the early rituals of both the Latin and Oriental Churches, but it can also be gathered from the Epistles of St. Paul, who speaks of baptism as a bath (Ephes., v, 26; Rom., vi, 4; Tit., iii, 5). In the Latin Church, immersion seems to have prevailed until the twelfth century. After that time it is found in some places even as late as the sixteenth century. Infusion and aspersion, however, were growing common in the thirteenth century and gradually prevailed in the Western Church. The Oriental Churches have retained immersion, though not always in the sense of plunging the candidate's entire body below the water. Billuart (De Bapt., I, iii) says that commonly the catechumen is placed in the font, and then water is poured upon the head. He cites the authority of Goar for this statement. Although, as we have said, immersion was the form of baptism that generally prevailed in the early ages, it must not thereby be inferred that the other forms of infusion and aspersion were not also employed and held to be valid. In the case of the sick or dying, immersion was impossible and the sacrament was then conferred by one of the other forms. This was so well recognized that infusion or aspersion received the name of the baptism of the sick (baptismus clinicorum). St. Cyprian (Ep. lxxvi) declares this form to be valid. From the canons of various early councils we know that candidates for Holy orders who had been baptized by this method seem to have been regarded as irregular, but this was on account of the culpable negligence supposed to be manifested in delaying baptism until sick or dying. That such persons, however, were not to be rebaptized is an evidence that the Church held their baptism to be valid. It is also pointed out that the circumstances under which St. Paul (Acts, xvi) baptized his jailer and all his household seem to preclude the use of immersion. Moreover, the acts of the early martyrs frequently refer to baptizing in prisons where infusion or aspersion was certainly employed.