Les catholiques chinois entre Pékin et Rome.

L'Église catholique est à la fois une communion de communautés et d'Églises ainsi qu'une institution et un clergé organisés de façon hiérarchique.
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Marmhonie

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Les catholiques chinois entre Pékin et Rome.

Ecrit le 09 nov.14, 03:07

Message par Marmhonie »

Je poursuis ici, dans son cadre naturel, le sujet abordé chez nos amis Mormons, dont je remercie la patience et la bonne volonté d'avoir subi cette digression catholique autour du nom Jéhovah.
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Marmhonie a écrit :C'est donc la forme latine Jehovah catholique qui a été adoptée depuis l'accord de paix sous Benoit XVI et le Président Hu Jintao.
Saint Glinglin a écrit :J'ai donc cherché confirmation de cette curieuse apostasie de Benoit XVI et j'ai trouvé un texte disant le contraire.
Ah oui ? Merci de m'en donner la référence, si possible. Je vais de mon côté vous passer tout cela, en chinois, que je vais traduire, avec les références précises. Mais, pardon, je pense que ce serait bien d'aller dans le Forum catholique, c'est Benoît XVI et l'Eglise catholique chinoise qui était en butte avec le Vatican. Ce n'est pas un sujet sur les Mormons. Tout élément porteur pour les mormons sera bien sûr rapporté ici, c'est normal.
Benoît XVI n'a rien "apostasié". Il a repris l'impasse dans laquelle étaient les évêques nommés par Rome, et trop contrôlés par le PCC (Parti Communiste Chinois). Avec des brimades et une peur des catholiques qui risquaient à tout moment un dérapage policier. La Chine, c'est depuis 5000 ans, de l'instabilité permanente, et une grande violence sous l'apparence "zen". 3 Tian An Men, 1 massacre tous les 10 ans en moyenne. Les occidentaux n'en connaissent qu'1. Les chinois : aucun ! Super comme travail de nos journalistes.

Benoît XVI a voulu le rapprochement des 2 Eglises catholiques chinoises, celle de Pékin, contrôlée et infiltrée, et celle de Rome. Tout le monde fut gagnant. Attention, les risques de dérapages existent toujours en Chine continentale. Et puis, la peur, une fois installée, ne part pas de l'humain du jour au lendemain.

Mais enfin, Benoît XVI a donné les garanties qu'exigeaient Pékin. Il a aussi sécurisé les catholiques chinois proches du Vatican. Nous ne pouvions rester dans une telle impasse de guerre anti-communiste comme sous Saint Jean-Paul II. L'URSS a fait de graves erreurs, la Chine continentale n'en fait pas. l'URSS est morte, la Chine de Mao est devenue ultra puissante. Alors, il fallait bien faire quelque chose, non ?
La suite dans le Forum catholique ici.

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